Assassin’s Creed Brotherhood ne s’annonçait que comme une suite d’Assassin’s Creed 2, et il nous a dévoilé bien plus que cela en ne se reposant pas sur ses lauriers, en proposant toujours plus de choses et en écoutant les joueurs, et rien que cela, ça fait plaisir. Mais rajoutez à cela un multijoueurs décalé des multijoueurs actuels, en bien plus passionnant et imprévisible, bien fichu de surcroît, et vous obtiendrez un des must have de cette fin d’année. Il est cependant quasi obligatoire d’avoir terminé Assassin’s Creed 2 pour pouvoir comprendre quelque chose à l’histoire du solo, et cela doit être le gros point noir : devoir rattraper plusieurs dizaines d’heures sur un très bon jeu déjà dépassé par celui-ci en terme d’expérience, avant de pouvoir s’attaquer à celui-ci qui fait bien mieux. Mais bon, on va pas s’en plaindre non plus...
Sélection - Assassin’s Creed Brotherhood
«Avec des morceaux d’Italiens dedans» le 9 décembre 2010 @ 18:51 - 0 réaction(s)