Test - Dragon Age : The Veilguard - Du BioWare comme on l’aime !

«Des histoires captivantes» , - 18 réaction(s)

Dragon Age : The Veilguard poursuit directement l’histoire du dernier opus, Inquisition, sorti en 2014, marquant la continuité du virage pris par la licence, avec un accent notable sur l’action au détriment de certains aspects RPG. Avec The Veilguard, BioWare est clairement attendu au tournant, notamment au vu de la réception mitigée des titres précédents comme Anthem ou le dernier Mass Effect.

Une qualité d’écriture indéniable

Dès les premières minutes de jeu, l’attention se porte sur la qualité des échanges avec les divers personnages. De manière générale, les dialogues captivent, qu’il s’agisse de discussions légères entre compagnons ou de moments cruciaux où les enjeux sont palpables. La version française, en particulier, bénéficie d’un travail de doublage remarquable qui souligne parfaitement les intentions des interlocuteurs.

Ainsi, la narration de The Veilguard devient un élément central de l’expérience, marquant le retour en force de BioWare dans le domaine narratif, avec une qualité d’écriture accueillie à bras ouverts.

L’histoire reprend là où celle d’Inquisition s’était arrêtée et réunit plusieurs personnages clés de la licence. Bien que The Veilguard réintroduise efficacement chaque ancien et nouveau protagoniste , les nouveaux joueurs risquent de manquer de nombreux clins d’œil et références aux événements passés. Cela dit, le jeu peut tout à fait être apprécié indépendamment des opus précédents.

Le scénario installe progressivement son cadre, déroulant un fil conducteur et différents embranchements narratifs via des quêtes de compagnons et de factions. La trame principale, relativement classique pour un action-RPG, repose sur un objectif de survie face à une fin du monde imminente, ponctuée de combats contre de puissants antagonistes. Néanmoins, la mise en scène immersive et les dialogues renforcent l’action de manière significative. De multiples moments « épiques » soulignent l’importance des événements, avec des séquences particulièrement intenses où les enchaînements laissent peu de temps pour reprendre son souffle. Le jeu nous fait vivre de nombreuses grosses batailles, comme par exemple quand il faut défendre un château ou survivre à l’assaut de hordes de morts-vivants.

Le jeu entrecoupe ces instants de tension par les nombreuses phases plus légères que sont les quêtes de factions et de compagnons. De simples dialogues peuvent alors se transformer en véritables quêtes, parfois autour de conversations banales ou plus personnelles lors de moments d’exploration. Bien que ces interludes puissent sembler anecdotiques, ils renforcent l’authenticité des personnages secondaires. L’écriture contribue grandement à cette immersion : chaque compagnon se distingue par une histoire et une personnalité unique. Le développement de leurs quêtes contribue à la cohésion du groupe et à la crédibilité de l’univers, abordant des thèmes variés, tels que la peur de la mort, les intrigues familiales, la sauvegarde des griffons, ou encore des sujets plus intimes, comme un coming out non binaire…

Cette qualité d’écriture se retrouve également dans les enjeux des différentes factions de The Veilguard. En plus de cela, le jeu propose des séries de quêtes annexes plus classiques, mais dont les intrigues sont suffisamment captivantes pour susciter l’intérêt. En matière de contenu, ce nouvel opus de Dragon Age se distingue par une variété de contenu maîtrisée et une qualité narrative qui sauront satisfaire les amateurs d’histoires bien conçues. Pour conclure le scénario en incluant les quêtes de compagnons et de factions, il faudra compter entre 40 et 50 heures de jeu.

La licence Dragon Age, comme les autres ID de BioWare d’ailleurs, intègre plusieurs choix de dialogue qui impactent notre entourage. Dans le cas de Dragon Age : The Veilguard, c’est davantage une personnalité que l’on octroie à notre personnage, les choix étant assez restreints, entre être gentil, en colère, méchant ou triste, ce qui n’influe pas vraiment sur notre environnement et qui n’a pas de réelle conséquence. De même, nous aurons droit à quelques choix moraux assez binaires, où l’on nous propose de sauver telle ou telle faction, revenant souvent à choisir entre noir ou blanc ce qui, cette fois, impactera le cours de l’histoire. Outre ces choix à double embranchement, BioWare ne propose pas ici une copie dans laquelle nos comportements influencent l’histoire, diminuant une fois de plus l’aspect RPG.

De l’action au détriment du RPG

Malgré la qualité indéniable des histoires racontées, l’aspect RPG de ce dernier Dragon Age est encore davantage mis en retrait dans The Veilguard. Ce choix, déconcertant durant les premières heures de jeu, devient plus naturel au fil de l’aventure, tant son orientation typée action est affirmée. Bien que le jeu conserve des éléments classiques du RPG, tels que le loot d’équipement et un arbre de compétences, un sentiment de « RPG light » à la manière de certains titres d’Ubisoft se fait sentir, réduisant l’impression de profondeur.

Comme dans Dragon Age : Inquisition, le côté tactique des premiers opus est ici absent. Une pause active permet encore de donner quelques ordres aux compagnons, mais sans jamais atteindre la dimension stratégique des débuts de la licence. Le jeu se concentre avant tout sur l’action et, même si ce choix n’est pas mauvais en soi, il risque de déstabiliser les joueurs en quête d’un RPG plus classique ou semblable aux deux premiers volets.

Au premier abord, le gameplay peut sembler limité, restreint à quelques compétences et aux attaques légères et lourdes. Cependant, il gagne en richesse au fil de l’aventure, se révélant plus dynamique et réfléchi qu’un simple martèlement de touches. Par exemple, l’archétype du rôdeur permet d’enchaîner esquives, attaques chargées, contre-attaques, tirs à l’arc et activation de compétences de compagnons, tout en jonglant avec les trois compétences équipées. Cet enchaînement confère aux affrontements un aspect suffisamment tactique pour exiger une anticipation des angles d’attaque, tout en conservant une intensité pyrotechnique conforme aux attentes d’un action-RPG.

Toutefois, au fur et à mesure de la progression, la multiplication des effets visuels rend la lisibilité des combats plus chaotique, surtout lors des séquences les plus intenses, où il devient difficile de suivre précisément l’action.

En revanche, un souci d’équilibrage se fait sentir en ce qui concerne la difficulté. En mode normal, les ennemis deviennent rapidement de véritables « sacs à PV », ce qui rend certains combats interminables. Même en passant en mode facile, l’endurance nécessaire pour vaincre certains adversaires standards semble excessive. Un ajustement du nombre de points de vie et des boucliers des ennemis s’impose pour améliorer la fluidité de l’expérience.

Malgré un bestiaire assez varié, adapté aux différentes zones du jeu, la fréquence élevée des combats entraîne une familiarité rapide avec les types d’adversaires. Cette répétition, couplée à certaines séquences ou schémas de combat récurrents, génère une sensation de redondance qui peut devenir pesante avec le temps.

Un monde d’héroic-fantasy

Dragon Age : The Veilguard se déroule dans un univers d’heroic fantasy, marquant un contraste notable avec l’ambiance dark fantasy des premiers jeux. Heureusement, ce changement d’orientation est bien maîtrisé.

Ce dernier opus invite le joueur à explorer des environnements variés et “fascinants” : de la nécropole aux profondeurs de la cité des nains, en passant par d’anciennes ruines et temples elfiques, chaque découverte dégage une atmosphère presque magique. La direction artistique, particulièrement soignée, rend cet univers propice à l’exploration et à la contemplation.

Plutôt que de suivre la tendance des vastes mondes ouverts, The Veilguard adopte une structure en zones semi-ouvertes, ponctuées de multiples embranchements. Ce choix permet une meilleure maîtrise de l’environnement et offre des panoramas spectaculaires sans sacrifier la fluidité de l’expérience. Chaque excursion réserve une récompense, qu’il s’agisse de butin à revendre, d’un coffre d’équipement ou d’un magnifique point de vue. Ainsi, l’aventure se révèle gratifiante et valorise le joueur explorateur.

Outre la direction artistique, la qualité visuelle contribue fortement à l’aspect enchanteur de cet univers. Même en mode performance, le jeu reste impressionnant, riche en détails, fluide et toujours aussi agréable à l’œil. Mention spéciale à la gestion de la lumière, qui sublime encore les décors et ajoute de la profondeur aux environnements. Le parti pris d’une esthétique légèrement plus cartoon n’altère en rien la maturité de l’univers et accentue l’aspect féerique de The Veilguard, même si cela s’éloigne de la tonalité dark fantasy des débuts de la série.

L’aventure est ponctuée de plusieurs énigmes environnementales, disséminées au fil de l’exploration ou intégrées aux quêtes. Celles-ci sont introduites de manière progressive, avec une première phase simple pour que le joueur se familiarise avec chaque type de mécanisme. Bien que certaines énigmes puissent paraître simplistes, elles apportent une variété bienvenue et permettent de ralentir le rythme effréné des combats, tout en renforçant la crédibilité des lieux visités, comme des puzzles au cœur des ruines et anciens vestiges.

Testé sur Xbox Series X, code fourni par le studio

Bilan

On a aimé :
  • La qualité d’écriture
  • La richesse des quêtes de compagnons
  • La bonne direction artistique
  • Les combats plus profonds qu’il n’y paraît
On n’a pas aimé :
  • L’entièreté de l’intrigue secondaire de Taash
  • La difficulté mal calibrée
  • L’aspect RPG trop en retrait
Une narration immersive

Dragon Age : The Veilguard marque un retour de BioWare vers une narration immersive et soignée, qui place la qualité des dialogues et des interactions au cœur de l’expérience. Bien que le titre s’éloigne des bases RPG des premiers volets pour privilégier une approche résolument axée sur l’action, l’équilibre entre intensité et moments de légèreté est bien orchestré. Le monde semi-ouvert et la direction artistique apportent une touche de magie et d’aventure très agréable. Les environnements et les personnages, enrichis par des quêtes de compagnons et des intrigues secondaires, créent un univers vibrant. En revanche, le choix d’un gameplay orienté action, au détriment des éléments RPG des premiers volets, pourrait déstabiliser les amateurs de RPG plus classiques. Ce virage vers une aventure plus accessible et intense, malgré quelques redondances, confère au jeu une identité propre, où moments épiques et instants plus intimistes se répondent habilement. The Veilguard est un ajout solide à l’univers de Dragon Age, prêt à séduire aussi bien les fidèles de la série que les nouveaux explorateurs.

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Dragon Age : The Veilguard

Genre : Action RPG

Éditeur : Electronic Arts

Développeur : BioWare

Date de sortie : 31/10/2024

Prévu sur :

Xbox Series X/S, PlayStation 5, PC Windows

18 reactions

Pho3nix

07 nov 2024 @ 08:19

Pour profiter pleinement de Dragon Age, faite le 2 :)

Manuto

07 nov 2024 @ 08:26

Bon test.
perso j’apprecie d’y jouer (j’ai env 15h de jeu actuellement). Je suis nouveau venu dans la licence et j’aime ce que je trouve dans le jeu. J’avais un peu touché Inquisition le mois dernier, mais il m’a perdu sur la durée. Là, d’avoir quelques chose de plus linéaire me convient très bien.
J’accroche bien a l’histoire et ses personnages. Ca monte en régime et en intensité, c’est nickel.
Esthétiquement, c’est très beau, et très agréable a l’œil. (j’y joue sur Séries X et Séries S). Le mode photo tourne a plein régime :)
Je n’ai pas noté de bug, c’est assez propre sur ce point là.
Le gameplay est assez accrocheur. Le fait que ce soit plus orienté action ne me dérange pas, car cela se passe plutôt naturellement, et les affrontements donnent envie de les faire de cette manière.

Coté points négatif, je trouve une certaine lourdeur dans le déplacement de mon personnage. Je trouve aussi la musique assez en retrait, sans theme qui me reste en tête. Dommage pour du Hans Zimmer.

Pour moi, c’est une tres belle découverte pour cette fin d’année. Et dur de choisir entre Metaphor et lui quand vient le soir, et le moment de demarrer la console.

Oenomaus

07 nov 2024 @ 08:38

Qualité d’écriture..... mon dieu on touche le fond !

C’est juste un des très gros points faibles du jeu.

Comment peut on plébiscité des dialogues creux, plats.... digne d’une série teenager

Je me demande bien quelles sont vos références et goûts en termes d’écriture et de rpg pour plébiscité une telle.... en écriture

Dhusara

07 nov 2024 @ 08:41

Un peu surpris par la « qualité d’écriture » dans les points forts. De ce que j’en ait vu, ça a l’air hyper enfantin, lisse et naïf. Les compagnons manquent de personnalité, les dialogues sont très « moderne » et cucul. Apparemment, il n’y a pratiquement pas de choix/conséquences (enfin, il n’y en a que 3 à faire durant toute l’aventure). Perso c’est bien ça qui me déçoit le plus avec le jeu, et qui me fait peur avec le prochain Mass effect : tomber dans une aventure Disney pour enfants (c’était un peu le défaut d’Andromeda déjà).

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Valian

07 nov 2024 @ 08:57

C’est vraiment un jeu particulier. Au bout de quelques heures on recherche vraiment l’aspect RPG du jeu entre le gameplay vraiment très action aventure et l’écriture qui se place déjà au panthéon de ce qui se fait de pire.

Finalement le parti pris woke vient masquer les errements du jeu sur des aspects aussi fondamentaux, comme le manque de profondeur d’écriture, un comble pour un RPG et le manque de cohérence de l’univers alors que le jeu passe après DAO, DAII et DAI qui ont tous posé des bases assez solides et détaillées.

Je me retrouve finalement assez bien dans la critique d’un petit youtubeur tech FR, VCG, qui se demande si la recherche sempiternelle d’intégrer des thématique woke ne s’est pas fait au détriment de l’écriture qui apparaît comme vraiment bâclée. Alors que je le rappelle mais Dragon Age est un univers de Dark Fantasy…

Et pour achever ça on se retrouve avec des discussions sur des thématiques modernes fondées sur l’interprétation très personnelle de la réalité. Me balancer un dialogue sur la non binarité d’un personnage dans un jeu Dark Fantasy je suis désolé mais ça me donne envie de faire un remboursement Steam. Mettez moi ça dans Mass Effect 4 ou l’interrogation sur ce genre de thématique aurait tout son sens avec des problématiques telles que le transhumanisme.

Flash Killer

07 nov 2024 @ 09:16

Une excellent surprise, et un très bon test. C’est ça qu’on aime.

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Gleny06

07 nov 2024 @ 09:24

Je suis dessus, je trouve que c’est un très bon jeu d’action, le gameplay est dynamique, ca suit la logique de dragon age inquisition mais encore un peu plus loin à ce niveau.

Mais c’est un mauvais Dragon Age et/ou RPG, les dialogues sont affligeants, impossible de jouer un vrai bad guy comme dans Baldur’s Gate, et l’option de choix « musclé » dans les dialogues, on dirait les bisounours ^^. Reste le lore et les compagnons qui sauvent quand même l’aspect « Dragon Age » (heureusement) ! Ca ressemble à un jeu fast food, si on aime le style ca passe bien mais on oubliera sans doute assez vite une fois consommé !

Par contre j’aime beaucoup la direction artistique et le jeu reste quand même assez beau à l’oeil je trouve !

Tellement dur de passer après un Baldur’s Gate 3...

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Love Craftien

07 nov 2024 @ 09:45

J’en suis à une grosse quinzaine d’heures de jeu et je ne comprends pas comment vous pouvez mettre en points forts la qualité d’écriture qui est indigeante au possible, c’est vraiment la disneyfication en plein.

Les personnages passent plus de temps à se soucier des sentiments et la psychée des autres que de sauver le monde. Tout le monde est « gentil » et bienveillant et il est impossible d’envoyer ch... les plus lourds d’entre-eux et je n’ai pas encore rencontrer Taash, ça promet...

La DA des personnages est cartoonisée au possible et tranche avec les décors plus réalistes. Les engeances ne ressemblent d’ailleurs plus à rien, mention spéciale aux ogres qui ressemblent à un monstre de dessin animé Dreamworks.

Et niveau gameplay, on a beau me dire que ça se conplexifie avec le temps, actuellement c’est très pauvre. De plus, tes compagnons sont nullissimes au combat et quand tu joues mage comme moi, tu te retrouves au CaC non stop à prendre des coups.

J’espère que la suite du jeu va s’améliorer mais j’y crois difficilement et c’est officiellement pour moi le plus mauvais Dragon Age jamais sorti, au niveau de Mass Effect Andromeda.

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Thom B.

07 nov 2024 @ 10:30

je suis assez d’accord avec la critique de protoxe (merci pour le test), et me permet de l’étayé :
>> effectivement quelques lourdeur dans le gameplay. mais globalement c’est fun, et de plus en plus dynamique. y’à aussi un bon aspect build/theorycraft, ce que je ne croyais pas au début. on reste loin de dragon’s dogma, mais c’est très correct. (bon, après c’était déjà un point fort sur anthem et andromeda, malgré leurs défauts)
>> pour l’écriture, je suis plus ou moins d’accord. quand on comprends que le jeu est plus high fantasy que dark fantasy, le coté bienveillant n’est pas gênant, et plutôt cohérent. en revanche y’à vraiment des moments, ou les dialogues sont enfantin. « ça rend super :o) » m’avait un peut fait tiqué. à l’inverse, je trouve contrairement à mes vdds que chacun on leurs caractère. certes, j’en aurais aimé plus, par exemple pour emmerich. mais globalement c’est très bien. surtout quand on compare à d’autres rpg récent (exception faites de witcher, cyberpunk, baldur’s gate, etc... qui sont irréprochable sur ce point)
>> la DA perso je la trouve magnifique, mais c’est purement subjectif. j’aime ce retour de la high fantasy dans les rpg (on à déjà pas mal de dark fantasy) et je trouve le parti pris audacieux. mais je comprends que d’autres préfère le réaliste.
>> le coté metroidvania sur la structure est très bien. un peut trop de combats, mais ça change des open world
>> effectivement 0 bug et optimisé, il faut le souligné !
>> ce n’est pas, pour moi, un dragon age ne revanche. mais un bon jeu sans aucun soucis.
>> LE point fort pour moi : les musiques. alors, elle ont extrêmement discrète, j’ai du baissé tout les volumes sauf musiques, et monté la TV. En revanche hans zimmer à fait de l’excellent travail !
>> la plupart des compagnons sont très bons. j’ai malheureusement du mal avec taash et harding. l’une pour sont coté karlach eco+, l’autre car trop lisse.
>> le bestiaire est pauvre...
>> des temps de chargement ! on avait dis stop ! :( le changement de zone ne le justifie pas, beaucoup de jeu le « cache » (le fameux vortex dans no man’s sky), ou ER qui s’en passe beaucoup aussi, même lors de certaines TP
>> l’aventure monte en puissance
>> peut de gros choix, mais beaucoup de petit sont « retenu » par le jeu. par exemple préféré le thé au café, changera certaines réponses. c’est peut, mais un détail immersif sympa, que beaucoup ne font pas.

Evidemment il n’est absolument pas comparable à un baldur’s gate 3, qui de l’aveu même de larian est une « exception », et qu’eux même ne veulent pas se relancer dans un tel projet. En aimé l’un n’empêche pas d’aimé l’autre, ils sont foncièrement différent. Et la structure vue isométrique, tour par tour, permet plus facilement des choix que de la 3eme personne. il suffit de comparé les licences comme fallout ayant fait le saut, ou la plupart des rpg isométrique au rpg fps/tps.

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Thom B.

07 nov 2024 @ 10:31

Houla ! désolé pour le pavé, les espaces n’ont pas été pris en compte :-(( ! et je peux pas modifié :/

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