Test - The Callisto Protocol - Une nuit en enfer

«Mais sans Salma» , - 6 réaction(s)

En 2005, Shinji Mikami bouleversa les codes du Survival Horror avec Resident Evil 4. Trois ans plus tard, c’est au tour de l’équipe concoctée par Glen Schofield d’appliquer la recette dans un univers de science-fiction. Dead Space était né. Deux monuments du genre que nous retrouverons avec gourmandise au premier semestre 2023 dans des versions “Remake” qui, espérons-le, devraient redonner un nouvel éclat aux joyaux d’origine.

Mais avant de profiter de ces deux jeux légendaires revisités, nous avons le privilège dès aujourd’hui de vivre les aventures de Jacob Lee dans The Callisto Protocol, une nouvelle IP de science-fiction horrifique, créée par un certain… Glen Schofield. C’est un très gros morceau qui nous attend. Pour son nouveau projet, le charismatique américain a fondé Striking Distance Studios et s’est entouré d’une équipe expérimentée, composée de vétérans de l’industrie dont certains étaient déjà à l’œuvre sur Dead Space. Dans ce dernier trimestre un peu pauvre en sorties AAA sur nos consoles Xbox, autant dire que The Callisto Protocol est très attendu et a une formidable carte à jouer. Schofield va-t-il refaire le coup de 2008 ? En tout cas, il s’en est donné les moyens…

The Callisto Protocol sort sur Xbox One, Xbox Series X|S, PS4, PS5 et PC.

Par Jupiter !

Nous sommes en 2320. Jacob Lee (le héros que nous incarnons) est un livreur freelance. Son dernier contrat concerne des fournitures pour l’United Jupiter Company (UJC) en direction de Callisto, un satellite de Jupiter. Alors que le vaisseau cargo s’approche de sa destination, des terroristes de la Voie extérieure, menés par Dani Nakamura, tentent de récupérer à bord les caisses de l’UJC. Jacob parvient à déjouer l’attaque mais ne peut empêcher son vaisseau de s’écraser sur Callisto. Dani et Jacob, seuls survivants du crash, sont récupérés par les forces de sécurité de la colonie et sont envoyés directement dans la prison locale de Black Iron.

En route pour Callisto

Dès leur arrivée au centre pénitentiaire, ils font la connaissance des autres principaux protagonistes de l’intrigue : Duncan Cole le directeur, Caitlyn Mahler la scientifique et Leon Ferris le chef de la sécurité. Malgré ses protestations, Jacob est incarcéré et subit le traitement infligé à chaque nouveau pensionnaire, soit la mise en place autour de la nuque d’un implant connecté via une intervention chirurgicale. À son réveil, Black Iron semble être victime d’une insurrection. La porte de sa cellule s’ouvre miraculeusement. Nous sommes prêts pour vivre un voyage en enfer.

Prison Break

Nous n’en dirons pas plus sur les tenants et les aboutissants du scénario, leur découverte étant une part importante de l’expérience. Entre douze et quinze heures (quatorze pour notre premier run en difficulté normale) selon son skill est nécessaire pour arriver au générique de fin. Même si l’histoire ne surprendra aucunement les amateurs de science-fiction, sa mise en scène demeure de très bonne facture, magnifiée par une motion capture impeccable et un casting de haute volée : Josh Duhamel interprète Jacob Lee, Karen Fukuhara la révoltée Dani Nakamura et Sam Witwer joue le rôle de Leon Ferris. Nous prenons grand plaisir à suivre les fils de l’intrigue et découvrir le lore de The Callisto Protocol. Surtout, des bases solides sont posées pour développer une belle franchise et la dernière heure de jeu propose même des pistes insoupçonnées qui pourraient permettre au studio de proposer à l’avenir un spin-off dans un genre complètement différent.

Un digne “successeur” à Dead Space ?

Nous ne pouvons plus éluder la question que tout fan de Dead Space se pose depuis l’annonce de The Callisto Protocol. Ce dernier est-il la suite spirituelle du premier ? Beaucoup d’éléments le suggèrent. Et pourtant la réponse à cette question n’est pas si évidente au final. Peut-on reprocher à l’un des papas de Dead Space de reprendre des mécaniques de gameplay et des principes de game design de son ancienne création qui ont prouvé leur efficacité ? Non. Et l’histoire de l’industrie vidéoludique a montré à maintes reprises que chacun copiait les “nouveautés” intéressantes des voisins. The Callisto Protocol lui-même en reprend certaines à son compte. Glen Schofield et son équipe n’ont jamais caché leur envie intense de replonger dans le survival horror.

Mieux vaut rester prudent

Leur nouvelle création est donc un jeu de survie à la troisième personne dans un univers de science-fiction horrifique. Les clins d’œil à Dead Space sont évidents dès le premier regard posé sur la carcasse de Jacob Lee. La volonté du studio de s’appuyer sur les points forts et emblématiques de cette référence est assumée pleinement. La barre (horizontale cette fois !) de vie et la jauge d’énergie de l’arme anti-gravité sont présentes sur la combinaison afin de limiter l’intrusion d’un HUD persistant et améliorer l’immersion. Dans le même but, les munitions restantes de nos armes sont visibles sur celles-ci lors de leur utilisation via un affichage numérique. Les dégâts localisés sont encore possibles (ouf) mais sur des zones du corps plus limitées. L’inertie importante du héros doit être assimilée pour maîtriser le gameplay. L’inventaire restreint nous impose des choix dans la gestion de notre stock de munitions, medikits et objets de valeur. La communication avec un allié devient régulière.

Oui, The Callisto Protocol puise allégrement dans les mécaniques de Dead Space. Toutefois, au terme de notre périple, nous pouvons affirmer que cette nouvelle IP a su se démarquer de son illustre modèle et développer un lore riche et intrigant pour vivre de ses propres ailes. Entrons dans les détails.

Approuvé par le jeune Peter Jackson

Très rapidement dans sa communication, Striking Distance Studios annonçait vouloir repousser les limites de l’horreur et faire de The Callisto Protocol une nouvelle référence en la matière. Une chose est certaine, leur nouvelle vision de l’horreur passe par un sentiment d’insécurité permanent chez le joueur et… plus de gore.

Notre meilleur allié

Rares sont les moments dans cette aventure où l’on se sent entièrement en sécurité en dehors des cinématiques. Oubliez les “safe room” des Resident Evil. Ici, une pièce où se trouve une imprimante 3D (tiens donc !) n’est pas toujours synonyme de pouvoir reprendre son souffle en toute tranquillité ; une attaque de bestiole est possible. Ouvrir un coffre bleu n’est pas toujours la garantie de remplir son inventaire d’items salvateurs pour notre survie ; une attaque de bestiole est possible (Les coffres vicieux de Dark Souls ont fait des émules). Tout au long de l’aventure, le sadisme des développeurs joue avec nos nerfs et nous met constamment sur nos gardes, même si nous comprenons rapidement que ce type de danger ne va pas descendre notre barre de vie à zéro.

Si Dead Space pouvait proposer des scènes gore, The Callisto Protocol pousse le curseur vers l’ultra-gore. Ce choix assumé par le studio a servi de ligne directrice aux différentes équipes du studio. On le retrouve évidemment dans le design du bestiaire. Les Nécromorphes ont laissé place aux Biophages, des humains mutés par un virus extraterrestre. D’autres créatures vivent aussi sur Callisto et nous pourrissent la vie. Mais tous proposent un design très purulent, visqueux et déformé, tout comme les parois de certains environnements que nous traversons. D’aucuns trouveront cela dégoûtant et c’est bien entendu l’effet recherché.

L’arme à ne pas négliger

L’ultra-gore se remarque bien entendu lors des combats. Les animations liées aux affrontements au corps-à-corps sont impressionnantes et fracassantes. On ressent la violence des coups portés, le sang gicle, les corps semblent se déformer à l’impact. Les armes à distance ne sont pas en reste. Une balle bien placée dans les membres inférieurs d’un monstre et c’est une jambe qui s’arrache du corps et vole quelques mètres plus loin. Une balle dans la tête et vous vous doutez de la suite. Finir un ennemi lors d’un combo permet également de lancer une petite cutscene fort sympathique.

Toutefois, le paroxysme du gore dans The Callisto Protocol se retrouve dans les cutscenes liées à la mort de… Jacob. Selon l’ennemi qui nous a tués et le type d’action déterminante, des dizaines de cutscenes aussi sanguinolentes et jouissives que celles présentes dans les épisodes de Mortal Kombat sont enclenchées. Spectacle garanti. Âmes sensibles s’abstenir !

L’art de l’esquive

Si les combats sont viscéraux, ils sont aussi très dynamiques et tactiques. Réussir à survivre dépend de la maîtrise de toutes les options offertes par le gameplay : l’esquive, le corps à corps, le démembrement à distance et les possibilités de l’arme anti gravité. Nous n’avons quasiment aucune chance face à une attaque groupée, sachant que l’utilisation d’un medikit prend un temps fou. L’objectif est donc d’isoler au maximum les adversaires afin de les affronter en un contre un.

En douceur ou en bourrin ?

En effet, le combat au corps à corps est obligatoire dans The Callisto Protocol. Nous sommes souvent acculés par des attaques surprises ou des charges véloces de certains monstres. Heureusement, les coups portés par Jacob sont très efficaces et ont le bon goût d’économiser les munitions, denrées plutôt rares. C’est d’ailleurs un aspect du gameplay chouchouté par les développeurs. Nous avons déjà souligné précédemment le caractère punchy et impressionnant des coups portés par notre arme contondante (une matraque électrifiée). Il est même conseillé de réussir un combo composé de plusieurs frappes suivies d’un tir à bout portant avec notre arme à feu sélectionnée. Il faut ajouter à tout cela la vivacité de nos esquives, enclenchées par le maintien du stick gauche dans une direction latérale. Si bien que combattre au corps à corps, une fois que l’on maîtrise les bases, devient jouissif et fun. Et si l’on vous dit que les boss vous achèvent en un seul coup gagnant… l’art de l’esquive devient fondamental. Concernant ces derniers, nous regrettons un manque flagrant de diversité : le même bestiau se rencontre plusieurs fois. Les autres se comptent sur la moitié d’une main.

Nous mourrons ainsi énormément dans notre aventure. Heureusement, le jeu ne se montre pas punitif et ne nous renvoie pas au dernier « feu de camp ». Nous reprenons la plupart du temps dans un endroit très proche du lieu de notre mort, voire après la dernière phase de combat validée lors des affrontements de boss. Toutefois, certains moments de résurrection sont agaçants. Rien de plus pénible que de réapparaître juste avant d’avoir réorganisé son inventaire et amélioré son armement pendant de longues minutes. Tout est à refaire sans garantie de réussir enfin la scène de massacre suivante.

Un bon nettoyage

Le combat à distance est lui aussi grisant. Contrairement à Dead Space, les armes à distance demeurent classiques bien qu’adaptées à l’univers futuriste. Nous retrouvons ainsi deux pistolets, deux fusils à pompe et un fusil d’assaut, récupérés (soit directement, soit via un plan de l’arme) au fil de l’aventure. Par souci de réalisme, les développeurs nous ont concocté des animations bien “longues” de changement et de rechargement des armes. De plus, seuls l’un des deux fusils à pompe ou le fusil d’assaut sont disponibles en changement “rapide” d’armes. Forte pression garantie en cas de combat tendu avec un groupe. Il devient donc primordial de viser les jambes afin de ralentir les ennemis éloignés. Certains monstres à partir du deuxième tiers de jeu peuvent muter. Pour les tuer définitivement, il faut viser leurs tentacules naissants.

Shoot the Limbs... Sorry, the Tentacles !

Comme dans Dead Space, nous possédons également un outil anti gravité appelé GRP, capable d’attirer et de lancer certains objets du décor. Dans The Callisto Protocol, il se présente sous la forme d’un gant. Cependant, il faudra oublier la possibilité de ralentir fortement les mouvements adverses. En contrepartie, nous pouvons attirer directement les ennemis (sauf les boss). Ainsi, le GRP nous offre d’autres possibilités tactiques comme envoyer un monstre se faire embrocher sur un mur rempli de pointes ou le jeter dans le vide si l’environnement le permet. Bien entendu, la réserve d’énergie se vide très rapidement nous empêchant de profiter inlassablement de cette “arme” cheatée.

Tout ce matériel à notre disposition est améliorable via des imprimantes 3D sous réserve d’obtenir les crédits nécessaires. Ces derniers se trouvent sur les cadavres qu’il faudra achever par le fameux coup de pied écrasant (ou un coup de matraque pour les ennemis embrochés) ou via la vente d’objets électroniques qui occupent malheureusement des emplacements de notre inventaire. Les améliorations sont sans surprise, telles des dégâts plus importants ou un chargeur plus grand.

La Gen8 est devenu un gros boulet

Au-delà des combats nerveux et nombreux jalonnés tout au long de notre aventure, le titre propose certains passages où l’infiltration est reine. Heureusement, Jacob peut plier ses genoux et avancer silencieusement au nez et à la barbe dégoulinante de certains ennemis aveugles ou à plus longue distance de robots suréquipés de la Sécurité de Black Iron. La touche A permet même de neutraliser les premiers d’un coup de couteau par derrière.

Ainsi, The Callisto Protocol alterne avec intelligence des séquences de gameplay assez différentes dans un souci de garder en éveil l’intérêt du joueur. Pour rassurer celles et ceux qui ont levé les yeux au ciel en voyant la fameuse séquence de glissade interminable présentée dans un trailer, c’est la seule du jeu. L’abus de ce type de phase a été évité, contrairement à Jedi : Fallen Order.

C’est pas mal Jupiter !

Que ce soit pour le combat, l’exploration ou l’infiltration, chacun de ces aspects du jeu peut avoir lieu dans des espaces très confinés ou plus ouverts. Nous ne ressentons pas abruptement le découpage maladroit de zones dédiées à une activité particulière. Certes, le jeu reste très “couloirisé” comme le fut son modèle et la présence de murs remplis de pointes acérées dans un environnement nous fait sentir l’embuscade à plein nez. Cependant, comme nous l’avons déjà mentionné, les développeurs ont pris un malin plaisir à brouiller les pistes. Parfois, plusieurs chemins détournés sont accessibles, avec un beau loot à récupérer. Mais ne vous y trompez pas, dans chaque niveau on part bien d’un point A pour arriver à la fin au point B.

Le level design nous a finalement plutôt convaincus dans son style, bien qu’il ne révolutionne rien et qu’il soit daté. De toute manière, ce n’est pas A Plague Tale : Requiem ni God of War : Ragnarök pour les dernières grosses sorties qui ont changé la donne. On retrouve dans les trois jeux les mêmes vieilles astuces pour “border” un couloir et nous inviter à faire demi-tour.

C’est tout droit !

Là où cela devient très gênant, c’est à propos des choix de level design et de game design liés aux limites du hardware de la génération de consoles précédentes. Ces dernières nous ont gâtés mais nous ne sommes plus dans les années 2010 et il devient vraiment urgent que les studios qui élaborent des AAA en finissent avec le développement cross-gen. Par exemple, nous nous sommes arrêtés de compter les fameux passages étriqués où Jacob nous gratifie d’un parfait pas chassé via une cutscene magnifique. On a bien compris le cache-misère des temps de chargements obligatoires pour nos vieilles bécanes et cela devient insupportable.

Plus inquiétant, le framerate sur Xbox Series X n’était pas d’une stabilité exemplaire lors de certaines séquences, surtout en mode Qualité. Des mises à jour (une MAJ Day One est prévue) permettront de rectifier probablement la donne sur les consoles de cette génération, mais à défaut de pouvoir le constater, nous restons prudents sur la garantie d’une bonne expérience de jeu sur les Xbox One et PS4.

Pour le plaisir des yeux et des oreilles

Concernant la réalisation et la direction artistique, The Callisto Protocol se hisse dans le haut du panier. Les cinématiques et les animations sont superbes, le travail pour rendre les environnements futuristes à la fois crédibles et anxiogènes est particulièrement réussi. Certains panoramas, avec vue sur Jupiter en fond d’écran sont à tomber.

Un froid de canard sur Callisto

Contrairement à ce que pourrait faire penser le pitch du jeu, l’aventure ne se déroule pas exclusivement dans la prison de Black Iron. D’autres environnements sont traversés, tels un dôme abritant une végétation luxuriante ou la première colonie présente sur Callisto. Des sorties extérieures sont même prévues au programme. Toutefois, lamajeure partie du temps, nous sommes plongés dans les bas-fonds des installations construites par l’homme sur ce bout de caillou inhospitalier du système jovien. Tout un tas de décors où les artistes du studio s’en sont donné à coeur joie pour notre plus grand plaisir d’aventurier, mais hormis quelques endroits marquants, la plupart seront vite oubliés.

Que dire du sound design ? C’est simplement une masterclass. Un très bon survival horror ne peut l’être que si le travail sur le son est à la hauteur des enjeux. Ici, le résultat dépasse toutes nos attentes. Le casque vissé sur les oreilles, les lumières éteintes, l’immersion est totale. Le bruit environnemental, les cris stridents des créatures, la furie des armes à feu, la bande-son impeccable qui accompagne nos pas, c’est un véritable voyage auditif intense qui s’offre à nous. Seule déception, la localisation française est loin d’être parfaite, malheureusement. Il en découle une synchronisation labiale souvent aux fraises lors des cinématiques qui parasite notre immersion. C’est d’autant plus dommage que les voix des doubleurs retranscrivent bien les émotions. Une fois de plus, la version originale est clairement un cran au-dessus.

Finalement, après avoir pesé le pour et le contre, The Callisto Protocol est bien le fils de son père.

Testé sur Xbox Series X.

Bilan

On a aimé :
  • Des combats nerveux, tactiques et grisants
  • Une tension permanente
  • Une direction artistique de haut vol
  • Un jeu très gore
  • Un lore intéressant
On n’a pas aimé :
  • La synchronisation labiale ratée de la V.F.
  • Une intrigue trop classique
  • Un level design daté
  • Trop peu de diversité des boss
Le Fils fait honneur au Père

Fans de survival horror, nous attendions de pied ferme The Callisto Protocol. Nous ne sommes pas déçus. Glen Schofield et sa nouvelle équipe composée de vétérans de l’industrie maîtrisent leur sujet et nous proposent une expérience horrifique très réussie à la réalisation et direction artistique exemplaires. Les affrontements nerveux et tactiques sont grisants à jouer et la tension demeure permanente tout au long de notre aventure. Les amateurs de gore seront servis. Toutefois, le titre souffre d’un level design daté, en partie lié au développement cross-gen, malgré tous les efforts du studio pour diversifier les séquences de jeu. Fils spirituel du légendaire Dead Space, The Callisto Protocol, à défaut d’avoir tué son père, peut au moins le regarder dignement dans les yeux. Il a également gagné le droit de tracer sa propre route, grâce à un lore qui s’annonce prometteur. Vivement la suite !

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The Callisto Protocol

Genre : Survival Action

Éditeur : Krafton

Développeur : Striking Distance Studios

Date de sortie : 02/12/2022

Prévu sur :

Xbox Series X/S, Xbox One, PlayStation 5, PlayStation 4, PC Windows

6 reactions

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like an animal

02 déc 2022 @ 17:48

Les avis sur ce jeu sont plus mitigés que prévu. A voir plus tard pour moi. Et qui sait, une intégration dans le game pass 😉

Tuco

02 déc 2022 @ 18:03

La même que mon voisin au dessus.

Marvfirstclass87

02 déc 2022 @ 18:26

Comme mes VDD j’attendrai...Une baisse de prix, je ne le vois pas intégrer le Gp, après qui sait ?

NeXXbox971

02 déc 2022 @ 19:45

Qu’en est-il de la version Xbox one/Xbox One X ? En vaut-elle la peine même si on a pas de Series X/S ?

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schiffalla

02 déc 2022 @ 23:55

Merci pour ce très bon test, en tant que fan invétéré de Dead Space, la seule chose que j’espérais depuis de nombreuses années était la sortie soit de Dead Space 4 soit d’un fils spirituel de cette licence et c’est enfin chose faite, alors je ne vais pas bouder mon plaisir. Il me tarde que le livreur vienne me déposer dans la boîte aux lettres mon exemplaire précommandé il y a plusieurs semaines.

La seule chose qui me fait un peu peur c’est les chutes de framerate sur série X, j’espère qu’une màj viendra rapidement régler ce souci, surtout qu’apparemment il n’y aurait que les Xbox de touchées et les ps5 semblent épargnées, peut être dû au fait que des studios Sony sont venus prêter main forte à Striking Distance pour finir le développement du jeu (ce qui pourrait expliquer une meilleure optimisation sur les consoles de Sony). Mais étant donné la qualité des Dead Space je n’ai aucun doute que le studio va régler ça rapidement.

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Banania

03 déc 2022 @ 12:11

@schiffalla tu n’as pas lu l’article (entier) avant de commenter on dirait…