Forza 3 : dossier sur le mode carrière

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  Impressions du rédacteur d’IGN

Le rédacteur a d’abord upgradé sa Ford Fiesta en utilisant l’upgrade automatique dont nous parlions hier, et il précise qu’il aurait pu le faire lui-même à la main, comme c’est possible dans Forza 2.

Il explique ensuite que durant la première saison du mode carrière de Forza Motorsport 3, on monte rapidement de niveau pour notre pilote et on obtient aussi quelques succès. Il a obtenu en une heure de jeu une poignée de voitures et pour lui, c’était déjà évident que la manière dont on obtient ces voitures ouvre déjà de nouvelles possibilités, que peut-être aucun autre joueur ne vivra comme lui (calendrier dynamique).

L’IA s’adapte constamment dans Forza 3. Le système de Drivatar est de retour mais même après une course, l’IA continue de travailler. Il explique que ses deux premières voitures étaient plutôt modestes et faciles à conduire. Mais quand il a gagné la Mazda Roadster, l’IA a appris quelque chose de nouveau sur lui, qu’il aimait également s’amuser, déraper dans les virages, etc. Le jeu retient d’ailleurs le scrore de drift de chaque course.

Le rédacteur indique qu’avant de s’essayer au mode carrière de Forza 3, il a rejoué un peu à Forza 2 et que pour lui, même si la physique était déjà bonne dans Forza 2, Forza 3 lui passe devant à ce niveau là. La différence de conduite entre telle ou telle voiture, l’impression de vitesse ou encore l’impression de ne faire qu’un avec la route, c’est définitivement mieux dans ce troisième opus.

Peut-être que la nouveauté la plus controversée est le système de pression de l’IA. L’un des problèmes des simulations, c’est que les pilotes IA sont trop parfaits, ils sont programmés pour suivre une ligne et ne jamais prendre de risque. Forza 2 a un peu changé ça avec le système Drivatar mais ce n’était pas assez pour avoir l’impression de faire la course contre d’autres pilotes. Dans Forza Motorsport 3, si vous faites faire un tête à queue à un autre pilote, peut-être qu’il fera une erreur, qu’il ne se comportera pas de la même manière. Ce système n’est bien-sûr pas paramétré de la même manière selon le niveau de difficulté qu’on a choisi.

En parlant de difficulté, il a essayé les trois. Le plus facile porte bien son nom, on met les gaz et on y va. Le jeu freine pour nous et tout ce qu’on a à faire, c’est de suivre la ligne verte qui se dessine sur la route (qui indique la direction idéale à prendre). En difficulté moyenne, on gère soi-même le freinage mais il reste quand même pas mal d’aides activées. Pour quelqu’un qui a déjà bien joué à Forza 2, ce mode reste relativement facile et il est conseillé de passer au suivant si on souhaite un peu plus de challenge. Le mode difficile n’est pas impossible non plus. On n’a pas de ligne verte qui nous guide, mais il reste quelques aides activées quand même. L’IA donne beaucoup plus de fil à retordre mais ça reste accessible quand même et ça a surpris le rédacteur qu’il n’y ait pas un niveau de difficulté de la mort.

Mais il faut garder en tête que ces niveaux de difficulté sont juste des sélections faites par les développeurs. Il est tout à fait possible d’aller dans les options et de changer toutes les options et aides pour créer son propre niveau de challenge. Concernant la fonction rewind (qui permet de revenir en arrière en pleine course si on s’est planté par exemple), il n’y a pas de pénalité si on l’utilise, et pas non plus d’argent gagné en plus si on le l’utilise pas. A chaque fois qu’on presse le bouton « back » de la manette, on revient en arrière de cinq secondes. Et on peut l’utiliser autant qu’on veut, jusqu’à revenir au tout début de la course.

Par rapport à cette fonction rewind, le rédacteur a l’air partagé. D’un côté ça enlève un peu de tension qu’il peut y avoir pendant une course, mais d’un autre côté c’est bien pratique de l’utiliser plutôt que de redémarrer une course depuis le début. C’est également pratique pour apprendre à prendre ses virages par exemple de manière optimale puisqu’on peut recommencer encore et encore, à volonté.

Le rédacteur termine ensuite son article en expliquant que si on veut vraiment tenter de faire la meilleure course possible, on pourra toujours rendre le passage des vitesses manuel. Et le mot de la fin :

Même si j’ai seulement eu la chance de jouer au mode carrière de Forza Motorsport 3 pendant une heure, je peux déjà dire que ça va être un gros succès pour les fans de course. Les développeurs de Gran Turismo, Polyphony Digital, devraient y jeter un œil. Turn 10 fait de bonnes choses avec Forza 3. Comme le sortir par exemple.

Voilà donc pour ce gros dossier consacré à Forza Motorsport 3, on espère que vous avez apprécié et on vous donne rendez-vous pour le prochain !

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Forza Motorsport 3

Genre : Courses

Éditeur : Microsoft

Développeur : Turn 10

Date de sortie : 23/10/2009

Prévu sur :

Xbox 360

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4 reactions

benbass

04 aoû 2009 @ 22:07

Merci pour le condensé. :)

Kevyn

04 aoû 2009 @ 22:34

Super dossier, c’est cool de l’avoir traduit. :) En tout cas pour ma part le jeu me tente énormément maintenant et je pense que je craquerai en okaz je pense. >_<

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rrczt

19 aoû 2009 @ 21:03

Merci beaucoup pour se condensé d’information. J’attends ce jeu avec impatience et j’espère être l’un des premier à l’avoir le jour de sa sortie. Vivement forza 3. En revanche, ce que je regrette, c’est de ne pas trouver une liste plus longue des véhicules du jeu.

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rrczt

19 aoû 2009 @ 21:03

Merci beaucoup pour se condensé d’information. J’attends ce jeu avec impatience et j’espère être l’un des premier à l’avoir le jour de sa sortie. Vivement forza 3.