Nous avons eu la chance de mettre les mains sur la suite tant attendue de A Plague Tale : Innocence, qui avait séduit les joueurs et la presse il y a 3 ans.
Lors de cette session d’environ une heure, nous avons pu parcourir intégralement le sixième chapitre, à travers une Provence sublimée par des effets de lumière de toute beauté. Car oui, A Plague Tale : Requiem flatte la rétine. À la direction artistique déjà irréprochable du premier opus, s’ajoute les capacités de la nouvelle génération de consoles pour un rendu magnifique.
Changement de décor oblige, Amicia et Hugo fuyant vers le sud de la France, les environnements sont plus chauds et plus colorés. Pour autant, ces détails ne rendent pas l’aventure moins sombre. Encore une fois, il faudra se frayer un chemin en évitant les soldats de l’Inquisition et les nombreux rats qui pullulent dans la pénombre.
Que les réfractaires aux jeux d’infiltration se rassurent, en mode normal, le système est assez permissif et nous autorise à rattraper le coup si nous nous sommes fait repérer par un garde en lançant une contre-attaque bien sentie, pour peu que celui-ci n’ait pas eu la bonne idée de patrouiller trop près de ses potes.
Pour ce qui est des nouveautés en termes de gameplay, nous avons pu découvrir la possibilité pour Amicia d’utiliser une sorte d’alcool à jeter sur une flamme pour amplifier sa portée, mais surtout la nouvelle faculté d’Hugo de prendre le contrôle d’un groupe de rats et de fondre sur les ennemis pour les dévorer : Jouissif ! En résulte des approches plus techniques et moins dirigistes, nos adversaires pouvant tout comme nous se protéger de la horde sous une source de lumière.
Pour peu que l’ensemble du jeu soit à la hauteur de ce chapitre, il y a fort à parier que les amateurs de A Plague Tale : Innocence soient à nouveau conquis par sa suite. Réponse le 18 Octobre sur Xbox Series X|S, PC et PS5, et cerise sur le gâteau en day one dans le Gamepass.
