Cela fait tout juste un mois que l’arrivée de RimWorld sur consoles a été annoncée et ce dernier est bel et bien sorti dans sa Console Edition hier, le 28 juillet. L’occasion pour les joueurs Xbox et PlayStation de mettre les mains sur le jeu de Ludeon Studios qui a rencontré un succès dithyrambique depuis sa sortie en 2018 sur PC via Steam.
Un simulateur de colonies spatiales hors catégorie
Avec RimWorld, les équipes de Ludeon Studios ont réussi un réel tour de force en proposant une simulation de gestion de colonie spatiale plus qu’aboutie. À la suite d’un crash sur une planète inconnue, vous devrez vous établir et faire évoluer votre colonie pour arriver à vivre en harmonie et surtout en autonomie avec votre environnement.
Un large choix de colons aux caractères et compétences différents sera généré aléatoirement et vous devrez composer avec ces derniers pour avancer dans le jeu, tout en faisant attention aux menaces venues de l’extérieur. Il serait difficile de détailler toutes les spécificités et les possibilités offertes par le jeu tant ce dernier est complexe et l’IA poussée.
RimWorld Console Edition vous propose des contrôles entièrement revus pour les manettes ainsi qu’une nouvelle interface utilisateur adaptée facilitant toutes les tâches élémentaires du jeu : de la construction à la défense en passant par le commerce ou encore la chasse.
RimWorld Console Edition est disponible dès maintenant sur Xbox One, PlayStation 4, mais aussi sur Xbox Series X|S et PlayStation 5 via la rétrocompatibilité.
« RimWorld Console Edition est maintenant disponible sur Xbox One ! Survivez sur une planète désolée, développez votre colonie et façonnez la vie de vos colons ! Découvrez un système de génération d’histoires riche et complexe dirigé par un conteur piloté par l’IA qui utilise votre style de jeu pour créer des événements - défendez votre colonie contre les raiders pirates, créez des relations complexes et profondes entre vos colons et gérez chaque aspect de leur vie. Chaque partie est unique - quelles histoires sauvages et farfelues allez-vous raconter ? »