La question du réchauffement climatique occupe une place centrale pour l’avenir de la Terre et de tous ses habitants. Instituts et associations nous alertent depuis plusieurs années sur les dangers de ce phénomène qui gagne en intensité à mesure que le temps passe, un sujet qu’Ubisoft ne compte pas éluder avec Riders Republic et Skull and Bones.
Un choix assumé pour sensibiliser les joueurs
C’est dans un article publié sur le site Axios que l’éditeur a détaillé son plan de marche pour ses deux jeux. Tout commencera avec Riders Republic et son événement live « court et intense » qui demandera aux joueurs de faire équipe pour empêcher les séquoias de brûler.
Tous devront être attentifs, prévient Ubisoft, car ils ne seront pas prévenus à l’avance du début des hostilités :
Au lieu de cela, ils seront immédiatement immergés dans les conséquences des incendies de forêt à la périphérie de la carte lors du démarrage du jeu.
Comment cela se matérialisera ? Axios nous a fourni quelques indications. Nous savons ainsi que le ciel deviendra orange, que de la fumée et du brouillard enveloppera toute la map du jeu, rendant certaines parties de cette dernière inaccessibles. Les joueurs devront identifier les zones les plus fragiles et inflammables du parc national de Sequoia et s’engager dans des activités de collaboration pour le protéger.
Concernant Skull and Bones, qui pourrait faire parler de lui dans quelques jours, le jeu proposera un événement destiné à promouvoir la question de la surpêche.
Notre première action portera sur l’exploitation des ressources, en montrant ce qui se passe dans le monde du jeu et dans le monde réel lorsque la demande d’ailerons de requins entraîne la surpêche des requins.
Les joueurs auront le choix de contribuer à la protection de la faune marine et de comprendre la nature destructrice du commerce des ailerons de requin.
Au fur et à mesure que les joueurs contribuent aux défis de la communauté, des récompenses seront débloquées pour tous les joueurs en fonction du niveau global de participation.
Les détails de ces événements ont été révélés par l’alliance Playing for the Planet de l’ONU, un consortium d’entreprises de jeux vidéo officiellement engagées à agir contre le réchauffement climatique.
Créée en 2019, elle compte aujourd’hui plus de 40 membres, dont Microsoft, Sony Interactive Entertainment, Sega, Bandai Namco, Ubisoft, Sports Interactive, Creative Assembly, Sumo Group et Niantic.
