Le studio Arkane Lyon a sorti la loupe pour décortiquer le gameplay de son FPS qui donne des impressions de déjà-vu mais qui reste pourtant unique en son genre. On se rend, ou plutôt on se réveille sur le rivage Blackreef de Deathloop pour mieux comprendre ce qu’il s’y passe et pourquoi diable ça n’en finit jamais.
Huit cibles pour un ticket de sortie
Vous jouez un assassin bloqué dans la même boucle infinie que les habitants de la ville, pour vous en échapper vous devrez tuer huit cibles, 8 comme le symbole infini qui manifeste sa déconcertation devant le concept du jeu. Ceci dit, la tâche ne sera pas une cueillette paisible puisque les Visionnaires, vos cibles, ont donné l’ordre de vous abattre aux habitants de l’île.
Les Visionnaires sont scientifique, artiste ou encore bête de soirée mais il s’agit surtout de tueurs de sang-froid dont il vaudra mieux tuer le plus grand nombre à chacune de vos interventions.
Le savoir est votre meilleure arme
Vous n’êtes pas limité par le temps et vous avez tout intérêt à vous en servir pour collecter des renseignements sur vos cibles et peaufiner votre plan d’évasion. D’une boucle à une autre, en plus de vos informations, vous conservez vos armes et vos capacités dont certaines sont surnaturelles.
Les renseignements vous seront d’autant plus utiles dans la mesure où vos cibles sont éparpillées dans quatre quartiers et quatre horaires différents de la journée. Vous devez idéalement les regrouper et annihiler toute l’équipe en une fois.
Votre némésis
Pensez toutefois que les habitants ne sont pas les seuls à avancer sur l’échiquier des Visionnaires, leur pièce maîtresse se nomme Juliana : astucieuse et imprévisible, elle vous collera sûrement un gros calibre de fusil de précision plus d’une fois et rien ne confirme qu’elle se cantonne à une seule zone de l’île donc gardez les yeux ouverts.
Pour rappel, Deathloop sortira le 20 mai sur PC et en exclusivité temporaire sur PlayStation 5. Les joueurs Xbox pourraient profiter du jeu un an après sa sortie.
