Chop suer
Et des crises de nerfs, il y en aura ! Entre adversité assez conséquente sur les derniers niveaux, chronomètre très juste (heureusement non “game overable”, vous serez pénalisé par un malus de point important), gestion de la jauge d’essence et du boost, de votre armement, et la gestion des deux plans de jeu (le vôtre et l’avant plan), vos nerfs et vos talents de pilote seront mis à rude épreuve ! Malheureusement, à cela s’ajoutent des obstacles dont on se serait bien passé, autrement dit : les bugs de la muerte qui tuent pas mais qui sont bien relous et gâchent pas mal l’expérience de jeu quand même, la palme allant aux survivants chronophages qui ne veulent pas être sauvés alors que vous êtes posé juste à côté d’eux, jusqu’à ceux qui se précipitent sur vos pales arrières alors que vous êtes en phase d’atterrissage, pour des suicides qui vous coûteront des points, ou encore la danse des portes qui ne s’ouvrent pas pour laisser entrer vos futurs passagers.
Mais mettez une musique à base de beat box, et on se retrouve avec une jolie choré hip hop. La durée de vie du titre en soit n’est pas énorme, comptez 6 heures maximum pour boucler toutes les missions. Vous pourrez cependant les recommencer sur des niveaux de difficulté supérieurs (qui ne se débloquent qu’une fois le niveau inférieur sur ce niveau achevé) et vous la péter sur les tableaux de score. Si ça c’est pas du gonflage artificiel de durée de vie je m’y connais pas ! On aurait préféré un plus grand nombre de missions et de types de missions à la place.