L.A. Noire s’est montré tout récemment via la couverture GameInformer du mois de mars et comme prévu, nous avons aujourd’hui les premières infos sur le jeu via le site Allgamesbeta. Pour vous chers lecteurs adorés, voici la traduction.
L.A. Noire est un jeu action-aventure dans un monde ouvert dont l’action se déroule à Los Angeles en 1947, une ville qui existe bien, contrairement aux précédents titres du développeur Rockstar. Pour l’occasion, la ville a été soigneusement recréée pour conserver toute l’exactitude historique. Cette fois, il ne faut pas espérer tirer sur tout ce qui bouge, L.A. Noire est bien différent.
On joue Cole Phelps, un flic qui cherche à nettoyer les rues de Los Angeles, et ce ne sera pas facile quand on voit comment la police est embourbée dans la corruption de toutes parts. Phelps a ses propres problèmes auxquels il doit faire face, y compris ces choses pas top qu’il a fait durant la Seconde Guerre mondiale. Bien qu’il commence en bas de l’échelle, dans L.A. Noire, Phelps progresse à travers une série de « bureaux » dans le département, comprenant les trafics, vices et homicides.
En tant que détective, on devra donc résoudre des cas à travers un mélange d’enquêtes, d’interviews et d’interrogatoires. D’après l’article de GameInformer, quand on arrive sur une scène, on n’aura pas d’objets placés en surbrillance à des endroits évidents. Les scènes de crime ont l’air naturelles et requièrent un oeil habile pour repérer les indices importants. En trouvant une paire de lunette sur une scène supposée de crime par exemple, on peut les ramasser et noter les détails tels que la marque gravée à l’intérieur de la monture. Ces infos sont notées sur un bloc-notes qu’on peut porter à tout moment.
Les choses deviennent apparemment plus intéressantes quand on aborde le système d’interview. Team Bondi (NDLR : le nom du studio de développement, formé par l’ancien directeur du développement du studio londonien Soho Studio et directeur du jeu The Getaway) semble utiliser une technologie révolutionnaire pour la motion capture faciale avec des acteurs dans une pièce et des caméras partout. Les acteurs délivrent leurs dialogues et tout est enregistré, de l’expression la plus exagérée jusqu’au clignement d’un oeil. Les dialogues sont également enregistrés à ce moment là afin de créer la scène sans faille. Tout ça est ensuite interprété dans un environnement 3D sans avoir besoin d’animateurs. D’après le magazine, ça permet un rendu parfait des scènes d’acteurs.
Quand on va interviewer quelqu’un, on devra bien regarder son visage pour savoir si la personne ment. Et comme dans Mass Effect, on aura du choix dans les dialogues avec différentes options qui nous seront proposées pour obtenir ce qu’on veut (on pourra amadouer, incriminer ou obliger par exemple). Ainsi, la manière dont on s’y prend avec l’interview ou l’interrogatoire sera grandement déterminée par les réactions qu’on obtiendra du suspect. Il sera également possible de réfuter des témoignages en choisissant des indices qu’on aura notés auparavant.
GameInformer n’a pas pu assister à des phases de tirs, ces parties là de L.A. Noire restent donc pour l’instant mystérieuses.
>> Les premiers scans de L.A. Noire !
