Avec un marché vidéoludique pesant pas moins de 5,3 milliards d’euros en France pour l’année 2020, dont 2,7 milliards provenant de l’écosystème consoles, et une évolution de 79 % pour les ventes de jeux dématérialisés, il devient de plus en plus nécessaire de sécuriser nos transactions en ligne. Et c’est bien ce que recherche Microsoft en s’associant à Paysafe afin d’offrir une solution de paiement garantissant un niveau de sécurité élevé.
I’m all right Jack, keep your hands off of my stack. Money !
Soucieux d’offrir un espace de paiement sécurisé à ses clients, Microsoft poursuit son partenariat avec Paysafe, le leader du paiement en ligne, et proposera donc une solution de paiement en espèces en ligne dans 22 pays européens.
Fruit de la collaboration entre Microsoft et Paysafe, la carte paysafecard est désormais une option de paiement pour tous les achats individuels de biens de consommation numériques disponibles dans la boutique Microsoft Store et Xbox.com et est disponible dans les 22 pays suivants : Allemagne, Autriche, Belgique, Danemark, Espagne, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Italie, Luxembourg, Norvège, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Slovaquie, Suède et Suisse.
Fort de ses 650 000 points de vente et d’un réseau de distribution présent dans 50 pays, Paysafe offre la possibilité d’effectuer des transactions sécurisées en ligne à l’aide d’un code à 16 chiffres, cela sans avoir à fournir son numéro de carte bancaire ou RIB. L’arrivée d’un tel dispositif sur le Microsoft Store constitue ainsi un pas en avant dans la protection de nos données bancaires.
Trevor Nies, Directeur principal des paiements chez Microsoft : « Nous sommes particulièrement fiers de permettre aux clients qui paient en espèces d’accéder au monde des achats en ligne grâce à une solution aussi fiable, facile et sécurisée que paysafecard. Rendre la solution de paiement eCash de Paysafe accessible à des millions de nos clients qui achètent nos produits en ligne constituait pour nous une nouvelle étape logique. »
Notons que l’UFC-Que Choisir rapporte que l’année 2020 a été particulièrement juteuse pour les escrocs avec une facture de plus de 600 millions d’euros de fraude à la carte bancaire en France et pas moins de 30 % d’usagers floués qui n’ont pas été remboursés par leur organisme bancaire. Une solution de sécurisation complémentaire n’est donc pas une mauvaise nouvelle.
