Test - Terraria

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Aaaah la nature, l’exploration, la chasse aux ressources et aux monstres...
Tant de possibilités dans un monde vierge de toute influence humaine, que cela me donne fortement envie de le dominer dans le but de l’admirer. D’asservir toutes les créatures hostiles ou pas, à ma volonté. De créer des paysages en surface comme souterrains qui me plaisent.
J’avais déjà eu l’occasion d’assouvir ces désirs, ces passions dans Minecraft, dans sa version console exclusive à la Xbox 360. Mais voici que son plus féroce concurrent, en 2D celui-ci, débarque aussi dans une version exclusive sur la machine de Microsoft.
L’affrontement va être brutal, aucun ne sera épargné, qui remportera le duel des jeux de terraformation ? Qui baignera dans le sang du vaincu ? Vous le saurez dans...
Oh ! Un petit lapinou ! Qu’il est meugnoooon ! Viens ici petit lapinou, je vais te cajoler, te chouchouter, te serrer fooooort dans mes bras !

Port du casque obligatoire

Vous pourrez construire des habitations pour garder les PNJs en sécurité

Dans Terraria, vous incarnez un personnage fait de pixels que vous commencerez par personnaliser. Sera-t-il un vaillant explorateur ? Ou une damoiselle en détresse qui doit survivre ?
Le créateur de personnage n’est pas particulièrement puissant, mais offre cependant de nombreuses options pour personnaliser votre ou vos personnages à votre convenance. Une fois ce(s) dernier(s) fin prêt(s), vous voilà propulsé vers un monde en 2D généré aléatoirement.
Premier constat immédiat : le style old school a quand même un certain charme.
Deuxième constat immédiat : ça craint ce genre de jeux en 2D !
Mais ça c’est juste au début, puisque même si la maniabilité 2D demande un petit peu d’adaptation, surtout pour ceux qui viennent de Minecraft, le titre dévoile tout son potentiel au fur et à mesure de votre progression, grâce à deux points : richesse et variété, ainsi que objectifs. Contrairement à Minecraft, Terraria propose dès son lancement, une foultitudes d’options de crafting, d’objets, de compétences – encore faut-il les mériter – et de minerais.

Les boss s’abordent plus facilement à plusieurs si l’équipe est bien coordonnée

Peut être trop dès le départ, puisqu’on ne sait plus trop où donner de la tête. Surtout qu’au fur et à mesure qu’on récolte de nouveaux objets, les possibilités de crafting s’en trouvent augmentées.
Terraria propose divers objectifs basés sur un seul concept : Battre des boss. Rassurez-vous, vous êtes toujours libre de faire ce que bon vous semble, passer des centaines d’heures à soigner votre maison et celle des compagnons PNJ qui vous rejoindront au fur et à mesure de votre progression, mais aussi préparer des terrains pour les exploiter (bois, plantes, mécanismes...). Mais pour ceux qui aiment bien une certaine finalité, accomplir certains objectifs, vous pourrez aller chasser les monstres, et pour les plus téméraires d’entre vous, des boss.
Ces derniers sont généralement assez difficiles à trouver, et nécessitent d’accomplir certaines conditions pour pouvoir être découverts et combattus.
Il vous faudra cependant bien vous préparer et combattre une foultitude de monstres et créatures (bien plus nombreux et variés, une fois la nuit tombée), dompter les environnements et forger les meilleurs équipement et armement possible pour leur faire face, car les ennemis de base pouvant être assez retords, imaginez les boss.

Bilan

On a aimé :
  • Le design Old School
  • L’ambiance
  • Les options de construction très nombreuses
  • La faune plus variée, et moins atypique que celle de Minecraft
On n’a pas aimé :
  • Les ralentissements
  • Les cafouillages de navigation à la manette
  • Ne pouvoir accéder qu’à des mondes d’amis
Insérer ici humour gras qu’on trouve sur un chantier de construction

Venu tout droit du monde du PC, Terraria se pose enfin sur consoles. Malgré une adaptation vers la manette un peu maladroite, ce titre se posera comme étant une sérieuse alternative à ceux qui trouvent que Minecraft manque de réel but. Cependant, ces deux titres en deviennent complémentaires, surtout grâce à leurs approches différentes. Terraria, optant pour un gameplay 2D, sera sensiblement plus accessible dans ses déplacements et ses combats. Même si concrètement, il apportera un challenge beaucoup plus épais que son concurrent, permettant d’accueillir des joueurs plus bourrins dans le merveilleux monde des jeux de construction.

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Terraria

PEGI 12 Violence

Genre : XBL Arcade

Éditeur : 505 Games

Développeur : Engine Software

Date de sortie : 27/03/2013
Date de sortie XO : 14/11/2014

Prix : 1200 MsP

Prévu sur :

Xbox One, PlayStation 4