Test - Assassin’s Creed Mirage - Un bel hommage aux origines de la série

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Trois ans après la sortie d’Assassin’s Creed Valhalla, Ubisoft nous offre ici un treizième titre (en comptant uniquement les épisodes principaux) issu de sa licence la plus vendue. Pensé au début comme un DLC de Valhalla, Assassin’s Creed Mirage est très vite devenu un jeu à part entière, bien que prévu plus petit et moins ambitieux que les derniers épisodes de la saga. Nous avions pu mettre les mains sur une portion du jeu il y a quelques semaines et nous étions ressortis enthousiastes de notre session. Que vaut finalement la version complète d’Assassin’s Creed Mirage ? Véritable retour aux sources ou simple illusion, nous allons voir cela ensemble.

Un retour aux sources dissimulé dans la modernité

Si, comme nous, vous vous attendiez immédiatement à retrouver l’essence des premiers épisodes de la saga au lancement du jeu, vous risquez d’être surpris. Qu’il s’agisse de l’écran-titre, des menus ou bien, de manière générale, tout ce qui concerne l’interface du jeu, on est sur une proposition quasi identique à la dernière trilogie.

Désagréablement surpris, il nous a fallu avancer un peu dans l’histoire pour nous rendre compte que, finalement, sous cet enrobage se cache en fait un véritable hommage à la genèse de la série.

C’était annoncé par Ubisoft, Mirage se voulait plus court que les derniers jeux. Pas de mensonge, puisqu’il nous a fallu environ une quinzaine d’heures pour terminer l’histoire principale. Plus court, mais également mieux rythmé. Terminé le bon samaritain qui aide tout le monde aux quatre coins de la carte. Assassin’s Creed Mirage se concentre sur l’histoire de Basim uniquement, ancien voleur des rues qui rejoint finalement Ceux qu’on ne voit pas et chargé de débarrasser Bagdad de la cabale locale de l’Ordre des Anciens.

La construction de la narration rappellera sûrement quelques souvenirs aux vétérans. Bagdad est divisée en plusieurs quartiers, et dans chacun d’entre eux se trouve un membre de l’Ordre. Une recette classique, mais qui se montre efficace, au final. Tout comme Altaïr en son temps, Basim doit mener l’enquête afin d’identifier ses cibles et les éliminer. Filatures, espionnage de conversations, documents à récupérer, vol à la tire sont autant de moyens à notre disposition pour y parvenir.

Le scénario est plaisant à suivre et on ne s’ennuie jamais. Notre aventure nous fait croiser le chemin de plusieurs personnages secondaires, pour certains bien écrits et qui donnent plus de caractère à la narration. On pense notamment à Nehal, qui accompagne Basim depuis le début et Roshan, notre mentor au sein de la Confrérie.

En revanche, notre plus grand regret sur l’histoire reste l’absence totale de méta-histoire, hormis le narrateur au lancement du jeu. Au vu de la fin d’Assassin’s Creed Valhalla, il aurait pourtant été parfaitement pertinent de continuer le développement de cet arc scénaristique ici. De même, les révélations sur les véritables origines de Basim (dévoilées dans Valhalla) restent trop floues ici, et il n’est pas forcément évident de faire le lien entre les deux jeux.

L’infiltration au cœur de l’expérience

Cela s’était un peu perdu dans les derniers titres, nous laissant bien souvent plutôt le choix de la violence plutôt que de la discrétion. Ici, Assassin’s Creed Mirage replace le deuxième point du Credo “montre-toi, mais reste invisible” au centre du village. Pour ce faire, le jeu propose de nombreux éléments de décor pour se cacher (tas de foin, bancs, foule, etc) et une myriade d’outils (couteaux de lancers, fléchettes soporifiques, leurres, bombes fumigènes…). Au final, Mirage ne réinvente rien, mais va piocher chez ses prédécesseurs toutes les bonnes idées permettant à notre personnage d’être plus discret qu’une ombre.

Il reste toujours possible de foncer dans le tas, épée à la main, cependant le jeu va rapidement venir vous rappeler que Basim a beau être un assassin, il n’en est pas moins un homme. Les combats sont en effet bien plus compliqués que par le passé et un groupe de quelques gardes peut rapidement mener au trépas. Les adversaires attaquent parfois à plusieurs en même temps et il faut soit parer, soit esquiver selon la couleur de leur attaque. La fenêtre de temps pour parer étant assez courte, on peut être tenté de n’utiliser que l’esquive. Or, cette dernière consomme une jauge d’endurance également nécessaire pour attaquer.

Il reste ainsi préférable d’éviter les combats au maximum, surtout que ces derniers se révèlent finalement assez lassants à la longue. En effet, il n’y a que peu d’archétypes d’ennemis et, de notre côté, nous n’avons que le choix du duo épée/dague. On aurait apprécié des styles de combats différents, comme nous avons pu l’avoir par le passé, et varier ainsi le gameplay dans les combats.

Bagdad, un formidable terrain de jeu

Avec cet épisode, Ubisoft est revenu à un terrain de jeu plus petit et nous propose ici la ville de Bagdad, ainsi qu’une campagne environnante comprenant désert, palmeraie ou villages. Très agréable à parcourir, la ville nous rappelle un peu l’expérience de jeu que l’on pouvait avoir à Rome ou Constantinople, respectivement dans Assassin’s Creed Brotherhood et Assassin’s Creed Revelations.

Qui dit carte urbaine, dit également retour d’un parkour plus poussé et mieux mis en avant que dernièrement. Là-dessus, Assassin’s Creed Mirage nous a ravis, ce n’est certes pas aussi bon que dans Assassin’s Creed Unity (encore indétrônable à ce jour) mais on prend son pied. Les rues et les toits regorgent d’éléments pour se déplacer en toute facilité ou pour traquer sa cible depuis les hauteurs, sans se faire repérer. L’escalade est aussi plus cohérente : on ne peut plus grimper sur toutes les surfaces, mais uniquement là où il y a des prises pour s’accrocher.

Héritage malheureux pour certains, Assassin’s Creed Mirage n’oublie pas d’emporter dans sa besace toute une liste de collectibles à récupérer par quartier. Objets précieux à dérober, livres à récupérer, événements scénarisés, on a aussi des éléments avec une certaine plus-value. Par exemple, les points historiques nous donnent des informations sur des lieux ou coutumes de l’époque, ce qui vient ensuite alimenter le codex disponible dans le jeu.

Autre collectible ayant son importance : les coffres au trésor. Ils contiennent des armures et armes ou des schémas d’améliorations de ces dernières. Pas de niveau, d’équipement de rareté, ou même de loot sur les ennemis vaincus, chaque pièce est unique. La différence entre chacune se joue entre les dégâts infligés ou reçus et avec des bonus propres à chacun. Par exemple, la tenue d’origine permet une réduction du bruit lors d’un assassinat, quand une autre diminue la notoriété générée. Notons que l’on est libre d’utiliser l’apparence de n’importe quelle pièce sur celle équipée et ainsi ne pas se priver d’un visuel qui nous plaît, aux dépens du bonus recherché.

Au total, il nous a fallu un peu plus de vingt heures pour récupérer tous les collectibles et terminer ainsi le jeu à 100 %. Une durée plus que correcte pour une aventure qui nous a constamment intéressés.

Une ville pleine d’opportunités

Afin d’améliorer son équipement et ses outils, il est possible de remplir des contrats. Ces missions secondaires nous permettent ainsi de récupérer les ressources nécessaires à ces améliorations, mais également des jetons qui vont se montrer très utiles dans notre chasse à l’Ordre.

Ces jetons s’échangent contre des faveurs de certains personnages : mercenaires à envoyer combattre les gardes, musiciens pour les attirer et ainsi se faufiler dans leur dos ou groupe de marchands pour se fondre dans le groupe et passer au nez et à la barbe d’un ennemi gardant une entrée. Dans certains cas, ces jetons peuvent aussi être utilisés lors de dialogues pour faciliter l’accès à des lieux réservés ou obtenir de précieuses informations. Là encore, on retrouve en quelque sorte un hommage aux anciens épisodes de la série puisque ce sont des éléments qui étaient déjà présents, mais on a vraiment aimé ces possibilités d’approches différentes au sein des missions.

Mais si les habitants de Bagdad sont capables de nous aider, ils peuvent également se montrer gênants. En effet, si ces derniers sont témoins de l’assassinat d’un garde, ils s’empresseront de fuir tout en criant au meurtre, ce qui alertera les patrouilles à proximité. De même, nos actions peuvent générer de la notoriété, représentée par une barre avec trois niveaux d’alertes. Pour la faire diminuer, on peut déchirer les avis de recherches ou payer les annonceurs publics pour se faire oublier. Toutefois, certains quidams seront sensibles à cette notoriété et pourront nous reconnaître avant d’appeler la garde, mettant alors en péril notre infiltration. Cela peut sembler n’être qu’un petit détail, mais il apporte de la vie et de l’interaction dans cette ville de Bagdad magnifiquement conçue.

Bagdad resplendissante

Assassin’s Creed Mirage est beau, il reste proche de ce que proposait Valhalla, mais avec un peu plus de détails et de soin apporté aux textures, notamment les tissus et les armures. Ce n’est pas transcendant au sens de prouesse technique face à la concurrence, mais le soin apporté à la direction artistique suffit amplement à nous faire voyager.

La ville de Bagdad regorge de vie et de PNJ arpentant ses rues. Les couleurs sont chaudes et nous ramènent avec nostalgie dans les aventures d’Altaïr à Damas ou à Jérusalem. Chaque quartier de Bagdad propose des paysages différents et uniques, de même que la campagne environnante. En clair, on prend tout simplement plaisir à évoluer dans la ville.

Le jeu est globalement stable, mais nous avons tout de même noté quelques soucis techniques, le plus souvent associés à des problèmes de collision. Lors de déplacements en position accroupie, Basim se retrouvait dans l’impossibilité de franchir une simple marche. Rien de dramatique ni de bloquant, mais on espère que ces petits couacs pourront être corrigés dans de futurs patchs.

Enfin, Ubisoft propose, comme toujours avec la licence, un doublage français de qualité et convaincant. Comme cela a déjà été fait pour d’autres jeux de la série, Ubisoft nous gratifie de quelques expressions localisées, ici en arabes dans un accent qui nous a semblé correct (pour quelqu’un ne parlant pas la langue en tout cas). La bande-son accompagne merveilleusement bien l’aventure avec des thèmes orientaux de très bonne facture, à l’image de ce que nous avons eu l’habitude d’entendre par le passé. Quel plaisir de retrouver le thème, si ce n’est l’hymne de la série, “Ezio’s Family”, décliné pour coller à l’ambiance du titre.

Testé sur Xbox Series X

Bilan

On a aimé :
  • La ville de Bagdad
  • La structure de la narration
  • L’infiltration au cœur du gameplay
On n’a pas aimé :
  • Les combats peu variés
  • L’absence de méta-histoire
Un retour aux sources qui fait du bien

Nous attendions impatiemment de voir la licence Assassin’s Creed revenir sur ses anciennes bases. Petite frayeur au lancement en voyant ces menus et cette interface directement tirés des derniers jeux, heureusement bien vite dissipée par la suite. Le rythme de la narration est maîtrisé et l’on prend plaisir à suivre l’histoire de Basim lors de ses débuts dans la Confrérie. On regrette cependant l’absence de méta-histoire dans le jeu alors qu’elle y aurait eu sa place au vu des événements décrits dans Assassin’s Creed Valhalla. La remise au centre du gameplay de l’infiltration est un plaisir, Basim dispose de nombreux outils et opportunités pour frapper ses cibles de plein de manières différentes et on oublie bien vite les combats peu variés. Enfin, Ubisoft livre, comme à son habitude, un soin tout particulier à sa direction artistique pour proposer une ville de Bagdad vivante et resplendissante, que l’on aime parcourir dans les rues ou sur les toits.

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Assassin’s Creed Mirage

PEGI 18 Langage grossier Violence

Genre : Aventure/Plates-Formes

Editeur : Ubisoft

Développeur : Ubisoft

Date de sortie : 5 octobre 2023

Prévu sur :

Xbox Series X/S, Xbox One, PlayStation 5, PlayStation 4, PC Windows

13 reactions

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Thom B.

04 oct 2023 @ 13:54

sincèrement, il ne me fait pas envie. j’ai pourtant aimé AC2/3/4 et origins.

mais je trouve que c’est juste un retour en arrière, sans comprendre ce que les joueurs (et pas seulement les fans) réclamé. je suis néanmoins content de voir qu’ils ont pris en compte certaines choses, et ont réfléchis le jeux.

pour ma part j’attend un AC :
>> HUD plus libre, moins de truc partout sur la carte
>> pour une vrais interactions avec la carte !!
>> des vrais possibilité d’infiltrations (voir hitman/dishonored pour ça) après tout y’a « assassin » dans le nom...
>> un scénario comme les premier, qui pourtant avait aussi des grandes zones (ac3/4)
>> arrêter d’axe le jeux sur les services à fond... des l’écran d’accueil ont te montre quoi acheter, pensez à prendre tel dlc, etc...
>> avoir de vrais idées innovante, comme avec ac2/4/unity/origins, qui ont marqué des évolutions de la série.
>> retrouvé la trame scénaristique des AC, dans le coté réel ça n’avance plus !
>> la mise en scène, faut vraiment s’y mettre. y’a de l’idée dans origins niveau scénario, mais pas/peut de mise en scène. C’est la raison du succès de TW3...
>> laisser le coté mythologique au DLC
>> faire moins mais mieux (j’insiste sur le mieux, et pas juste moins !)

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Aurelius

04 oct 2023 @ 19:09

Quand je vois les panorama, j’ai juste l’impression de les avoir déjà vu mille fois dans les jeux précédents et ça me gêne vraiment (c’est les mêmes tours, les mêmes rideaux, les mêmes murs, les mêmes tas de maisons, les mêmes champs...). Mais peut-être que manette en main, l’effet est différent. Le rythme de l’histoire et l’infiltration suffisent peut-être à sublimer l’expérience. Mais pour l’instant j’attends juste que Valhalla finisse dans le Game Pass lol

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Thom B.

04 oct 2023 @ 19:37

@aurelius ça devrait pas tardé ! Y’a les far cry, et les 2 AC d’avant :)

Ceci dis, déjà que odyssey j’ai pas accroché, alors vallhala...

Ils ont de l’or en barre. Mais il se loupent... Sérieux faut que ubisoft et gamefreak fassent un stage chez larian, ou les gars de path of Exile, qui ont bossé au point de côtoyé diablo (surpasser même selon les stats, mais je veux pas être tué de décès meurtrier dans mon sommeil !)

Blondin

05 oct 2023 @ 01:28

J’avoue Assassin’s Creed j’ai vraiment lâché.

j’avais testé Origin, enfin, plus que « testé », j’ai quand même passé pas mal d’heures dessus, et autant je reconnais que c’est un excellent jeu, autant ça m’a ennuyé. Les deux derniers que j’ai vraiment appréciés sont Black Flag (en fait j’ai adoré tous les trucs de pirates, mais tous les trucs à la Assassin’s Creed m’ont saoulé), et Unity, parce que je connais assez bien Paris et ça m’a fait plaisir de me balader dans le passé de la ville.

Après ça, un peu comme Far Cry (c’est sûrement symptomatique), j’ai juste l’impression d’avoir fait le tour. Ou que le jeu ne se renouvelle pas assez.

Enfin bref, en tout cas ça ne me tente pas vraiment.

Par contre mettre dans les points faibles du jeu « L’absence de méta-histoire », bon... Je comprends, mais pour moi ça serait plutôt un point fort ! Perso j’ai toujours trouvé ça complètement bidon, sans réel intérêt, voir pire, dans certains titres (pas tous), un élément qui cassait complètement le rythme du jeu.

Puis bon : perso quand je joue à Assassin’s Creed (et ça vaut pour n’importe quel jeu), je veux être un assassin à l’époque des templiers / de la révolution / de l’Égypte antique, je veux pas être un gars normal qui met un casque VR et qui se retrouve à jouer un rôle dans le passé.

Quand tu joues à Mortal Kombat, tu es Scorpion, tu n’es pas un gars qui joue à une borne d’arcade qui joue avec Scorpion. Quand tu joues à The Witcher, tu es Geralt, tu n’es pas un employé de la poste qui rêve la nuit qu’il est un sorceleur.

Enfin, j’ai toujours trouvé ce choix assez discutable. ça apporte peut être de la profondeur au scénario, un niveau de plus, oui, mais je pense que ça complexifie inutilement le truc. Et surtout, comme dit, ça casse le trip et le rythme.

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Saitamouss

05 oct 2023 @ 02:42

@Blondin en te lisant je viens de me dire que les meilleurs Assassin.s Creed c’était les .....Tenchu 😅 . C’est idiot de ma part mais c’est plus dans l’esprit que les 3 derniers Assassin’s sortis

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L’informateur

05 oct 2023 @ 05:09

Toujours la meme chose en gros ils ont juste fait un remake un peu plus fluide avec des visages toujours aussi dégueulasse mais des effets de lumières et de poussières réussit.

Puis y ’en a marre des Assasin screed qu’il passe a autre chose, je préfere prince of persia pour ma part.

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Thom B.

05 oct 2023 @ 08:23

@L’informateur un retour (vrais) de prince of persia je signe ! (en plus ambitieux que l’époque) de même pour tenchu ! (y avait des leaks en exclu xbox d’ailleurs)

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James bond

05 oct 2023 @ 09:06

Je viens de le commencer ce matin. Pour moi c’est premier Assassin’s creed et sincèrement j’adore. La ville de Bagdad est vraiment magnifique. Le gameplay, la direction artistique. C’est vrai que les personnages auraient pu être mieux fait mais en ce qui me concerne c’est pas bien grave il y’a pas que ça qui fait un bon jeu🙂.

Blondin

05 oct 2023 @ 19:54

@ James Bond : Tant mieux ! Profite bien !

En fait si la série se fait tellement assassiner (ha ha) c’est pas tellement pour sa qualité générale (en majorité les joueurs reconnaissent que ce sont, intrinsèquement, de bons voir d’excellents jeux) mais plutôt pour deux facteurs qui s’aggravent mutuellement :

1. le manque de renouveau dans la série

2. le rythme effréné auquel sortent les jeux (comme pour une autre ip de chez Ubi d’ailleurs : Far Cry)

Donc une série, aussi quali soit elle, mais qui peine à se renouveler et qui te noie sous les suites / spin off etc, forcément au bout d’un moment t’en as un peu marre. C’est plus je pense le coté « pressé jusqu’à la dernière goutte » qui dérange.

A mon avis, mais il n’engage que moi, si Ubi en sortait un tous les trois ans, l’attente serait plus grande, et les retours meilleurs. Perso j’ai lâché parce que j’ai fait une overdose d’Assassin’s Creed, mais je ne doute pas de la qualité des jeux. D’ailleurs Valhalla m’avait presque tenté, le jeu semble incroyable, mais bon, je sais que je n’y prendrais pas le plaisir que je devrais.

En tout cas si t’as aimé celui ci, t’auras de quoi faire, parce qu’il y en a une chiée, qu’ils sont souvent en promos pour une poignée de cerise, et qu’objectivement ils t’en mettent plein la vue. Origin est encore très, très solide visuellement parlant aujourd’hui.

@ Saitamouss : Ah Tenchu, j’avais le premier mais j’ai jamais fini...

Je sais pas si c’était spécialement dur ou non, mais j’ai galéré puis j’ai fini par passer à autre chose. Jamais testé les suivants par contre, d’ailleurs il y en a beaucoup plus que ce que j’imaginais :-O

xFBIxBrook

06 oct 2023 @ 01:25

Parlant Arabe, je confirme que les expressions Arabe avec l’accent sont très bons.

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