Boire ou conduire, il faut choisir. Ce n’est donc pas de packs de bières que nous allons parler aujourd’hui, mais bien du tout dernier pack de voitures dispo pour Forza Motorsport 4 (contre 560 MSP, ou avec le season pass). 10 nouveaux bolides dans ce pack Alpinestars pour continuer de multiplier l’expérience de jeu sur le hit de Turn 10. Petit passage en revue.
1959 Cadillac Eldorado Biarritz Convertible, catégorie F :
Autant dire que ce n’est pas avec cette vieille voiture que les chronos vont tomber. Elle se révèle par contre assez amusante à piloter. S’il est évident que ce n’est pas celle qui tient le mieux la route, ses suspensions dignes d’une bonne vieille 2 chevaux garantissent les sensations, en particulier en vue intérieure où on verra la route tanguer sous nos yeux à chaque virage pris un peu vite.
1972 Mercedes-Benz 300 SEL 6.3, catégorie D : Bien que n’étant pas de toute première jeunesse, la Mercedes 300 SEL se révèle être une catégorie D aux caractéristiques compétitives, plutôt facile à prendre en main et polyvalente malgré sa lourdeur. C’est la vue intérieure qui fait son charme, à l’ancienne, avec vue sur le capot et le symbole Mercedes.
1985 Mazda RX-7 GSL-SE, catégorie E : Son moteur fait un bruit de pétrolette amusant, sa forme est sympathique, mais du point de vue performance c’est une catégorie E dans la petite moyenne, et sans grand relief dans le comportement routier.
1995 BMW M5, catégorie C :
Très bonne voiture, avec de la reprise et une bonne tenue de route, tout à fait indiquée pour chercher à améliorer ses temps. On peut facilement éviter de rétrograder en deuxième dans les courbes et rester en troisième pour profiter d’une longue accélération avant le passage de vitesse supérieure.
1997 Volvo 850 R, catégorie D : Dans la tradition des Volvo de cette époque, la 850 R est tout en angles, et dans une version break qui souligne encore plus sa laideur. Une fois lancée, elle trace, mais il faut tellement de temps pour qu’elle bouge son gros derrière que ça n’arrive jamais. C’est une voiture sans doute très pratique pour les familles nombreuses ou pour ranger la planche à voile, mais pas de chance, c’est un jeu de course, et elle n’intéressera donc personne.
2011 #009 Aston Martin Racing AMR One, catégorie R1 :
Sa bonne tenue de route permet des freinages tardifs maîtrisés, et facilite donc les dépassements, ce qui est franchement agréable. Grisé par le résultat, on risque cependant d’oublier qu’à la ré-accélération il faut être un peu plus prudent pour ne pas voir la voiture perdre dangereusement de l’adhérence avant le tête à queue. Très agréable à conduire, et accessible pour les novices de la catégorie.
2011 Maserati Quattroporte Sport GT S, catégorie B : Avec son moteur faisant un bruit d’avion dans les bas régimes, on a l’impression d’être dans une bombe, et c’est assez vrai ! Il faut bien rester dans la trajectoire et ne pas chercher à faire le malin en entrée de virage, mais son excellente accélération en fait une très bonne voiture pour chercher les dépassements en sortie de courbe. C’est une voiture qui peut être tout à fait adaptée sur les circuits proposant des virages serrés, et sans doute plus adaptée à la course qu’aux contre la montre.
2011 Mercedes-Benz #35 Black Falcon SLS AMG GT3, catégorie R3 :
Voilà une catégorie R3 qui tient particulièrement bien la route, avec des rapports longs entre les vitesses. Il ne faut pas hésiter à descendre les rapports pour plus de reprise, et on peut alors sortir des chronos tout à fait corrects. Par rapport aux autres voitures de cette catégorie, celle-ci est plutôt accessible pour les novices, tenant bien la route lors des accélérations brutales.
2012 Jaguar XKR-S, catégorie A : Par rapport aux autres Jaguar de la catégorie, celle-ci n’est certainement pas la plus rapide. Par contre, sa bonne tenue de route couplée à d’excellents freins permet d’aller chercher des trajectoires ambitieuses en virage. C’est une voiture avec laquelle on peut faire de bonnes performances sur les circuits sinueux.
2012 Scion tC, catégorie D : Banale au regard, cette Scion l’est tout autant au pilotage. Pas très rapide ni nerveuse, mais dotée d’une tenue de route permettant de ne pas être trop attentif aux trajectoires, c’est la voiture idéale pour les débutants avant qu’ils ne passent sur quelque chose d’un peu plus intéressant.