Seulement 8 circuits
Outre la vitesse et ses bolides, l’autre facette de la série qui n’a pas changé, ce sont ses pistes complètement délurées. Autant la physique de l’eau donne parfois quelques difficultés, mais ce n’est rien comparé à certains tracés des circuits et à leur variété, et c’est tant mieux ! On aura droit à des obstacles destructibles, des éléments du décor qui explosent, des tremplins, de bonnes grosses vagues, des tempêtes, des chutes vertigineuses et autres embranchements qui, c’est selon, permettent de gagner de précieuses secondes ou d’en perdre. On pourra même activer certaines portes pour découvrir quelques passages secrets qu’il faudra parfois bien négocier. La diversité est bien là, et on en redemanderait bien encore un peu ! Car oui, l’une des faiblesses du jeu réside dans le nombre de circuits proposés, seulement 8. Ok, il y a différents modes de jeu pour nous distraire, mais 8 environnements, c’est quand même pas beaucoup. Quoi qu’il en soit, les parties sont rythmées et on ne s’ennuie pas une seconde.
En solo, le jeu est surtout fun en mode course puisqu’on a des adversaire à rattraper et ce sont surtout les as du chronos qui se tourneront vers les deux autres modes de jeu. En ce qui concerne le mode multijoueurs, les choses ont été faites proprement avec un mode offline en écran splitté jusqu’à 4 et un mode en ligne classique reprenant les seuls 8 environnements différents du mode solo et qui nous permet également d’obtenir des crédits, un bon point.