Les rédacteurs de l’ESRB (entertainment software rating board) doivent bien s’amuser en essayant de décrire certains jeux pour le rapport final. Nous avons ici un merveilleux exemple avec Dante’s Inferno, qui contient d’ailleurs du sang et du gore, de la violence intense, de la nudité et du contenu sexuel, en somme tout ce qui nous intéresse dans ce titre. Voici un avant-goût de ce qui vous attend dans cette balade en compagnie de Dante, à la découverte des péchés capitaux :
« Les soldats templiers coupent des citadins en deux, un homme est décapité et sa tête avance à toute vitesse vers l’écran, on poignarde l’œil d’un homme avec son propre crucifix et un soldat empale une femme par la poitrine tout en jetant une épée à une victime qui s’enfuit. »
Et ça continue de plus belle :
« Un démon saisit la main de Dante et la fait parcourir sa poitrine dénudée, un dessin dans un style de tapisserie montre une femme seins nus et embrassant un homme, un autre montre une esclave seins nus allongée sur le sol et accablée de culpabilité, une femme nue sur un bloc en pierre se soulève par lévitation » et le meilleur pour la fin : « un démon bleuâtre se balade en mode énervé, vomissant du feu, pénis à l’air. »