Alors que Payday : The Heist était uniquement sorti sur PC et le PSN de Sony deux ans auparavant, cette fois, Payday 2 sort en version boîte également sur Xbox 360 et pourrait ainsi se faire connaître d’une plus large communauté de joueurs. C’est l’histoire toute simple de quatre types en costard avec des masques et des flingues qui font des braquages.
Franchement, pas besoin d’en savoir plus en ces temps d’éternelle crise pour se plonger dans ce FPS coopératif et braquer des dizaines de banques, bijouteries et magasins, rien que pour le plaisir de fuir les sacs remplis de billets, diamants et lingots d’or en tirant à tout va !
Haut les mains !
A l’instar du premier opus, Payday 2 ne présente pas de scénario mais plusieurs contrats à choisir via le réseau « crime.net », qui recense toutes les sortes de missions disponibles. On se retrouve avec une dizaine de contrats différents au total, réalisables en une journée pour un simple braquage, ou jusqu’à trois jours maximum, pour les plus grosses affaires par exemple.
La rémunération en fin de partie (le fameux ‘payday’) est indiquée par le nombre d’étoiles blanches et jaunes, ces dernières correspondant au niveau des forces de police. En effet, pour une étoile jaune, on peut craindre quelques unités mobiles avec bouclier, pour trois étoiles jaunes en revanche (le maximum), c’est une autre histoire ! Les ennemis portent des armures et sont plus nombreux, les unités équipées de tazers surgissent derrière vous sans crier gare et le mastodonte puisqu’il en est, est véritablement un ennemi surpuissant. Et attention, lorsqu’il s’agit d’un contrat ‘pro’, en cas d’échec c’est simple : aucune rémunération, même si cela fait deux jours que vous êtes sur le coup ! Alors évidemment, ce type particulier de contrat qui propose un butin beaucoup plus important obligera dans quasiment tous les cas à privilégier la carte de l’infiltration et du casse en douceur, pour minimiser les risques au maximum.
Le réseau crime.net réussit donc astucieusement, sous l’aspect d’une simple carte, à réunir simultanément tous les salons de jeu disponibles : on peut ainsi choisir quel type de mission jouer, ou encore le niveau de difficulté. On peut d’ici choisir de rejoindre une partie ou de la créer, et à moins d’être un véritable monstre d’impatience, on finit toujours par trouver une mission correcte, en à peine deux minutes.
Et, autre véritable atout de ce Payday 2, la répartition des objectifs sur les différentes missions est aléatoire et peut varier d’une à l’autre, ainsi que les points d’arrivée ou de sortie. On a ainsi l’impression que chaque situation est différente à chaque partie, même si évidemment, les zones d’interactions ne varient que très peu au final.