Aujourd’hui, Xboxygen fête ses 13 ans. L’âge difficile pour un adolescent, diront certains. L’âge charnière pour une société, diront d’autres. En y réfléchissant à peine, chaque âge n’est-il pas une épreuve et une réussite, qu’il s’agisse d’un enfant ou d’une entreprise, comme une mer pleine de vagues dans Sea of Thieves fait peu à peu place au plat du rivage ? Quand Xboxygen a commencé, aucun des pionniers du projet n’aurait imaginé le succès que le site connait aujourd’hui. Premier site consacré à la Xbox en France, plus de 500 000 visiteurs uniques le mois dernier, et des projets pleins les poches pour vous faire plaisir (en vrai en ce moment c’est surtout 1 gros projet qui remplit 2 poches).
C’est notre gallion, notre fameux trois-mâts fin comme un oiseau, qui aujourd’hui peut parfois donner l’impression aux visiteurs que vous êtes de planer comme un coucou rôdé, mais qui demande à tous les bénévoles qui constituent son équipe des efforts allègrement consentis pour vous informer sur l’univers de la Xbox. Pour vous abreuver en news, dossiers, en podcasts, en streaming, en contenu lors de l’E3.
Mais tous ces efforts sonneraient creux comme l’écho d’un caillou qui tombe dans un puits si vous n’étiez pas là pour leur donner l’attention qu’ils méritent. Alors même si aujourd’hui marque l’anniversaire du projet Xboxygen, rappelons avant tout que C’EST NOTRE PROJET, et qu’il y a bien longtemps qu’il aurait connu les eaux troubles et boueuses de l’oubli sans ceux qui nous rendent régulièrement visite, ceux qui laissent leur bloqueur de pub de côté, ceux qui cliquent sur les liens sponsorisés que nous sélectionnons pour vous, ceux qui nous suivent sur les réseaux sociaux, ceux qui laissent des commentaires d’encouragement (même si les commentaires haineux sont forcément une source d’inspiration puisqu’on est sur Internet), et ceux qui – Dieu les bénisse – font tout ça en même temps.
Alors merci à vous, merci à nous, merci la vie, chantons la vie, dansons la vie, soyons amour, et espérons que cette durée de vie tombraideresque ne soit qu’une étape dans notre histoire de Skyrim.
Treize années, des milles et des mille sur le jeu vidéo, je suis fier d’y être matelot.