Podcast - Le Bruit de Fond Ep 2-7 : Les indés, sauveurs de l’humanité (et des jeux vidéo)

«Et si on parlait « vrais jeux » ?» le 5 mars 2017 @ 08:002017-03-04T11:45:01+01:00" - 3 réaction(s)

Amis d’Xboxygen, devinez quoi ? C’est l’heure du nouvel épisode du Bruit de Fond !

Déjà, MERCI beaucoup de nous suivre, vous êtes de plus en plus nombreux, et vous avez réservé un excellent accueil à notre précédent épisode !

Pour celui-ci, on s’éloigne un peu de l’actualité tout en y restant puisque c’est un sujet qui est pour ainsi dire permanent : on va parler des jeux indés qui prennent une place de plus en plus importante dans le paysage vidéoludique. Ils sont nombreux, ils sont partout, mais ils n’ont pas le même budget que les grosses productions qui sont les têtes d’affcihe.

C’est quoi un jeu indé ? Pourquoi on les aime(rait) ? Comment s’y retrouver et savoir quoi acheter ? Ce sont à ces questions et à bien d’autres qu’on va tenter de répondre, en agrémentant le tout de conseils sur des jeux à découvrir. Prenez votre calepin et préparez-vous à noter, car Jarel, qui n’était pas venu au micro depuis un moment, et pour la première fois l’ami Creepers, mon complice de la Bitsbox, vont vous balancer du lourd !

Par ailleurs, l’équipe s’agrandit puisque c’est dorénavant Rémi qui s’occupe du montage (et qui le fait bien mieux que moi !).

N’hésitez pas à partager un maximum si ce que nous faisons vous plait, allez savoir, on pourrait plaire à encore plus de monde !

Vous pouvez nous écouter sur podcloud, iTunes, télécharger le podcast en mp3 avec un clic droit enregistrer sous, ou bien utiliser un des players mis à disposition.

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Discussions passionnées sur des thématiques diverses, mais toujours tournant autour des jeux vidéo. De la bonne humeur, pas de prise de tête : encore mieux qu’une émission de radio, et sans pub.

3 reactions

jmabate

05 mar 2017 @ 10:28

la scène indé !

pour moi, un jeux indépendant, reste un jeux ! je pense que c’est son financement qui « permet » de l’estampiller « indé » et je pense que cette scène, peut être assimilé au cinéma, au théâtre, à la musique, à la photo etc...et de ce point de vue un« vrai » jeux indé est seulement financé par son équipe de développement.

encore pour moi, dès qu’il passe par des financement participatif ou autre et disponible sur des plateformes de distributions de grande envergure (steam et autres), le jeux perd sa distinction indé et passe d’un monde underground à celui du business et prend la distinction de production lucrative.

pour le son et la musique, comme pour l’époque 8, 16 et 32 bit, il est vrai qu’il est facile d’avoir de la qualité. la technique musicale c’est énormément ouverte et démocratisé rendant beaucoup plus simple de fournir des OST grandiose (quand le talent est là) pour un budget très limité. mais cela implique aussi des « contacts » qui est un mot très important pour de « l’indépendance ».

par contre, je pense que la plus part des gros studios de développement qui fournissent les triples A de l’industrie sont constitué de développeurs « indé » qui ont commencé dans leur chambre à bidouiller les soft de programmations, de modélisations, d’animations etc...donc d’un certain point de vue la label indé peut prendre en compte toute l’industrie. Bill gate à commencé à bricoler dans son garage tout comme Steve Wozniak et bien d’autres.

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Apollon13

08 mar 2017 @ 11:37

J’arrive tard pour commenter mais tant pis ! On va pas laisser ça avec un seul commentaire non plus !

l’indé à la base c’est purement une question de financement. Quand un éditeur/constructeur te finance 90% du projet, ya un moment ou il pourrait faire des demandes (tel propos devrai être changé, ça serait bien de faire plutôt ceci comme cela...), qui pourrait effectivement être discuté (c’est pas non plus des génies du mal dont le seul but est de corrompre une oeuvre), mais faudra parfois adapter.

Indépendance pognon -> indépendance création en gros. Par la suite les éditeurs constructeur se sont quand même rendu compte que l’indé faisait circuler beaucoup de pognon et que ça serait con de pas en profiter. On finance donc de l’indé en lui posant peu/pas de contraintes sur son projet. On est un peu sur le principe de « jeu d’auteur » en gros. La limite est plus flou, finalement CD project ne serait il pas un studio indé ? A quel moment est ce qu’il a arrêté de l’être... C’est un peu complexe surtout qu’on cherche pas forcément à définir plus que ça, dans le jeu vidéo les approximation à l’arrache ça gène pas grand monde (quand on peut sortir que outlast est un FPS horreur et que ça choque personne... Ca donne le ton). On se contente de « ya pas trop de moyens et pas 36 actionnaires dans la balance ».

Faut aussi mettre l’essor de l’indé en parallèle à l’effondrement du double A. Les studio à moyen budget qui faisaient des jeu parfois originaux tout en restant plus ou moins dans les clous ont pratiquement disparu. Les grosse machines qui pondent du « standart multiplateforme », ça satisfait une parti de la demande, mais pour le reste il y avait un beau vide qu’ont rempli les indés.

annihilplus

23 avr 2017 @ 11:56

En pleine période d’élection, pourquoi pas parler des débuts des votes dans les jeux vidéo ? Ça reste un mystère pour moi de savoir qui a créé ces votes de cartes