Lotus Esprit Turbo challenge 2 est édité par Gremlin Graphics en 1991 sur Amiga, Atari ST et Megadrive. le premier est sorti un an avant sur divers systèmes, mais si je préfère vous parler de celui-là, c’est qu’il représente un aboutissement que l’original commençait juste à effleurer. Un troisième épisode est sorti en 1992 sur Amiga, Atari ST, Megadrive et PC. Il est peut-être très bien, mais ne l’ayant pas joué (et oui, on ne peut pas non plus avoir joué à tout !), je fais l’impasse !
C’est un classique jeu de course dans lequel on pilote, et oui, vous l’aurez deviné, une Lotus ! Les courses se déroulent sur des tronçons de routes qui se caractérisent par de nombreux virages et par un relief très prononcé. Si une route comme ça existe quelque part, je veux bien aller y faire un tour ! Là, comme ça, on pourrait se dire qu’il n’y a rien de bien original dans ce titre...Ce qui ne serait pas faux. Son intérêt, c’est une certaine perfection dans le style représenté. Ainsi, le jeu est bien en 2D, mais pourtant la fluidité est surprenante (jetez un oeil à la vidéo). A cela s’ajoute une jouabilité très arcade, mais dans le même temps précise et agréable. Enfin, cerise sur le gâteau, le jeu est jouable à 2 en écran splitté, avec peu de ralentissements. Une option offerte par bien peu de jeux aujourd’hui sur nos machines surpuissantes.
Quand une technique de programmation est maitrisée, quelque soit l’âge du jeu, cela continue de fonctionner très longtemps après. Ainsi, Lotus Esprit Turbo Challenge 2 a 24 ans, et pourtant, quand j’ai lancé une partie pour préparer cet article, j’ai été stupéfait de constater que c’était toujours aussi amusant que dans mon souvenir. Bien sûr, on n’est plus impressionné par le relief, mais peu importe, la technique ne gêne en rien, et on peut donc toujours en profiter.
Il y a dans le jeu une approche de la course qu’on a un peu oublié aujourd’hui. La conduite est simple mais permet un fun immédiat (comme dans PGR, sans doute le dernier représentant de cette catégorie), dans un environnement dénué de sens (non, dans la vraie vie, les routes qui sont au milieu de nulle part ne tournent pas sans raison) mais conçu juste pour qu’on s’amuse. Pas d’options, pas de concepts compliqués.
Juste le fun et la course.
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Here we have one of the best 2d racing games of it’s generation. That’s probably a very subjective opening statement, but there’s no denying that it was a superb game and the magazine review scores proved it. Even though it was ported to other platforms the Amiga was definitely the best.
I never liked the circuit-based racing from the first game and Lostus III was alright, but this is best of the series in my opinion.
Lotus 2 is pure point-to-point racing against the clock with the goal to make each checkpoint before the timer runs out. Naturally, other cars and obstacles make your task even more difficult, particularly since the other cars drift back and forth across the road just to make overtaking a pain.
Each stage alternates between driving the newly added Lotus Elan and the Lotus Esprit Turbo. The only appreciable difference is the car graphics and the fact that the Elan is slower, although the Elan stages tend to be harder due to much narrower roads.
On the subject of difficulty, this is absolutely hard as nails...made of diamonds...from Newcastle !! I only ever played this with a trainer enabled to give infinite time back on my real Amiga and I never appreciated just how tight the time limit on each level is ; you really cannot afford to mess up. The marsh level deserves special mention since green orbs that grant extra time suddenly start appearing and you simply must pick them up to stand a chance of beating the level.
Shaun Southern coded this little beauty and the game engine is very fast and the graphics by Andrew Morris look great. The sheer insanity of the storm level turbo pick-up boggles the mind.
Of course, one cannot play Lotus without mentioning THAT title music...it still sounds amazing, even today ! The main title credits the music to Imaginitec Design, but Lemonamiga.com credits Barry Leitch for the music ; this wouldn’t be surprising considering he did a lot of work for Gremlin.
This wouldn’t be a description without a quick moan about certain aspects of the game. I’ve already mentioned the extremely tight time limits and the car handling is a tad sluggish, which makes quick cornering very hard on some of the faster courses ; the storm course will punish you with failure if you collide with any scenery or fail to collect all of the turbos.
And yes, I did manage to drive under one of the lorries on the motorway stage...
This is a real Amiga classic.
Que de souvenirs.mais je tiens à souligner... que de progrès en 24 ans.vivement 2039 
