Sparkle 2 est un match-3 dans la lignée de Zuma, on pourrait même facilement lui donner le sobriquet de clone. Vous dirigez un lanceur situé au centre d’un tableau comportant un ou plusieurs chemins empruntés par une kyrielle de boules multicolores.
- Malgré les apparences je maitrise !
Vous devrez empêcher cette suite d’atteindre inexorablement le bout de ces chemins en assemblant au minimum trois boules de même couleurs. Le principe est simple, efficace et a depuis longtemps prouvé son efficacité et son côté hypnotique. Malgré la pléthore de variantes que l’on peut trouver sur téléphones portables, tablettes et même consoles de salon, Sparkle 2 arrive à tirer son épingle du jeu et nous le fait sentir dès les premières minutes en nous proposant une réalisation technique admirable pour le genre. On ne peut rien reprocher à Sparkle 2 à ce niveau là, tant les décors sont variés, clairs, esthétiquement réussis et accompagnés d’une superbe musique composée par Jonathan Geer qui n’est pas sans rappeler les mélodies de Danny Elfman.
- Cela vient de partout !
L’habillage de Sparkle 2 est tout autant admirable et enrobe les 90 niveaux d’une scénarisation certes dispensable mais toutefois appréciable et égaye le jeu avec une multitude de bonus et même des enchantements glanés au fil de notre avancée qui, par exemple, peuvent augmenter votre nombre d’orbes en réserve ou vous donnernt un pouvoir tous les 10 orbes tirés. Vu que l’on ne peut en équiper qu’un seul, le choix risque d’être cornélien. Ajoutez à cela des modes survie, challenge et cataclysm et un prix correct de 7,99 euros et vous obtiendrez un jeu solide, efficace, joli qui satisfera sans peine les fans les plus aguerris du séculaire Zuma et les joueurs occasionnels. Attention toutefois pour ces derniers car la maniabilité pointilleuse du jeu -la direction du tir est géré par le seul stick gauche- peut totalement bloquer leur ardeur.
