Le mode Dojo est un des plus importants. Il est le tutoriel qui va nous permettre d’apprendre et d’acquérir toutes les techniques de combats, du moins d’essayer car ce n’est pas toujours évident. Il est découpé en 2 parties, une pour les bases et l’autre pour les avancées. Chacune de ses parties contiennent 16 leçons. Autant les premières leçons sont simples, autant on commencera à rencontrer des difficultés avant d’arriver aux avancées, selon évidemment notre niveau dans ce type de jeu. J’avoue avoir commencé à galérer à partir de la 10ème leçon, les enchaînements demandés étant de plus en plus complexes et de plus en plus long, à retenir. Sanju, en vil fennec qu’il est, avec qui j’avais testé le jeu lors de notre journée à l’Xbox One Hôtel, avait déjà remarqué cette faiblesse et en avait largement profité pour rétamer mes persos durant nos combats, à base de Combo-Breaker, d’Ultra ou encore d’Endokuken, les uns à la suite des autres. Comme dirait l’autre : Je suis trop vieux pour ces conneries. Cependant, je ne désespère pas de lui coller sa pâtée.
Le dernier mode disponible est l’entraînement. Ici, après avoir choisi son adversaire, on travaille les techniques apprises, afin d’avoir une maîtrise parfaite du personnage utilisé et on peut aussi observer les coups qui font le plus mal. Pour accéder à la liste de tous les coups spéciaux de chaque personnage, on passe via la touche menu. On peut ainsi tenter d’apprendre par coeur tous les combos : Openers qui débutent un combo, Linkers pour les continuer, ou encore les Enders pour les terminer et infliger un max de dégâts, ainsi que les coups spéciaux. Les combos sont tous basés sur le mouvement du stick gauche, en général un quart de tour, suivi d’une ou plusieurs touches représentant des actions au pied ou à la main. Evidemment, plus on arrive à enchaîner des combos et plus les attaques sont puissantes.
Supreme Victory !
Outre le fait que l’on trouvera ses archives de combats, avec toutes ses stats et les rediffusions de tous les anciens duels, bien sympa de pouvoir montrer les plus beaux à ses amis de passages. On a également une boutique de Ki, où il est possible d’acheter tous les kits via de l’argent réel, ou des arènes (seulement 6), des skins et des accessoires pour personnaliser ses combattants, avec des KP, monnaie du jeu que l’on gagne à chaque combat effectué.
Ces achats nous permettront d’arriver aux combats du Live, paré de nos plus beaux habits et avec nos armes les plus belles et les plus dangereuses. D’ailleurs, pour ce qui est du Live, il y a le match exhibition pour lequel on cherche des adversaires en choisissant le rang, et où nous pouvons héberger une partie et inviter un ami. Puis vient le matchmaking selon classement, dans lequel nous combattons des joueurs de tous horizons, ayant un niveau similaire ou proche du nôtre. Les parties se trouvent sans trop d’attente et ne souffrent d’aucun ralentissement lors des combats. Cependant, il peut arriver de tomber sur des petits malins qui préfèrent quitter avant de perdre, pour garder leur ratio positif. Heureusement, ils ne sont pas trop nombreux ce qui ne ternit pas le côté addictif du titre. Pour finir, c’est également ici que nous trouverons le classement de nos amis, afin de comparer les stats de tout à chacun, histoire de frimer un peu… ou pas.