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- Premier passage où vous allez découvrir que vous n’êtes pas les seuls Future Soldiers. D’autres pays aussi ont la technologie alors restez sur vos gardes.
En dehors de son mode campagne, le titre s’axe sur deux autres modes de jeu à commencer par le mode guerilla. Derrière ce nom se cache en fait une sorte de mode horde dans lequel chaque vague comporte un objectif, avec une recrudescence d’ennemis d’une vague à l’autre. Il faudra ainsi pour une vague tenir une position, pour une autre, éliminer simplement les ennemis... Jouable jusqu’à 4, ce mode de jeu est parfait pour s’entraîner ou compléter la cohésion d’un groupe pour préparer à la campagne (toujours jouable jusqu’à 4 depuis le début de ce test). Evitez de vous y aventurer seul, vous seriez déjà débordé dès la vague 2. Ce mode propose 5 maps (6 si vous avez assez de points Uplay pour vous en acheter une). Ces dernières ne sont ni trop grandes, ni trop petites pour ce type de mode, mais sont toutes assez remplies et différentes pour proposer des planques de fortune à peu près partout, bien qu’agencées de manière un peu systématique (lieu d’intérêt principal ouvert sur plusieurs côtés, le reste est plus différent selon la carte). Vient enfin le mode multijoueurs. Ce dernier, jouable jusqu’à 16 joueurs (2 équipes de 2 escouades improvisées ou non de 4 joueurs), propose 4 modes de jeux aux règles différentes d’un mode à l’autre. Plutôt rare de nos jours pour le préciser, le jeu offre une possibilité de multiconsoles, c’est à dire du réseau local, sympa pour se faire des parties entre potes dans une grande salle, comme la salle de saisie du commissariat le plus proche par exemple. Mais vous pouvez aussi choisir des endroits plus modestes et moins saisis, c’est vous qui voyez. On retrouve la griffe Ghost Recon dans son multijoueurs, puisque la discrétion, la coordination et la cohésion seront le plus souvent de mise, même si y aller à la bourrin peut aussi payer, mais c’est quand même plus rare.
- La vie de Ghost n’est pas facile, puisque pour pouvoir se débarasser de la merde du monde, ils doivent également patauger dedans.
Vous pourrez incarner plusieurs rôles (Eclaireur, Ingénieur Fusillier...) customisables en équipement, armes et apparence. Il faudra cependant, à l’instar du solo, les débloquer en gagnant des niveaux d’expérience pour certains, mais aussi en remportant des points de customisation pour les autres. Vous pourrez via ce mode lancer des défis à vos amis, ou en relever en faisant mieux qu’eux dans des conditions similaires. Les cartes sont assez vastes et proposent des environnements intéressants et variés permettant de diversifier l’expérience de jeu, mais resteront toutefois plus ou moins dans les tons de la campagne solo. Ceci grâce en partie aux divers objectifs disponibles selon les modes de jeu pensés pour procurer le mieux possible l’expérience Ghost. Malheureusement le multijoueurs souffre de nombreux soucis techniques dûs au lag qui s’est également invité à la fête. Et pour s’y être invité, il ne fait pas les choses à moitié, puisque lorsqu’il est présent (c’est à dire presque tout le temps), vous n’aurez plus de son, à l’exception des voix de vos alliés et vous souffrirez également du syndrôme du “Mais tu vas crever à la fin ?” tellement détesté de tous. Sans parler des classiques changements d’hôtes qui renvoient en début d’objectif sans modifier le chrono en conséquence des actions effectuées jusque là, malheureusement. Et sans compter sur les décos pures et dures qui agacent tant le chaland en train de gagner. Et c’est bien dommage, puisque le Online et ses modes de jeux variés sont pourtant intéressants, mais le lag est trop flagrant pour y être jouable dans de bonnes conditions.