Après un an et demi, et un DLC, l’envie était trop forte : il fallait qu’on retourne en vacances dans un endroit exotique !
C’est donc tout naturellement après tant de souvenirs mémorables créés par ces dernières vacances, que nous avons remis le couvert, mais sur une autre île de l’Archipel de Banoï.
Et tant qu’à faire, on a embarqué un petit jeune pour qu’il découvre ces terres sauvages, sa flore luxuriante et sa faune zombiesque.
Préparez les appareils photo et les machettes car ça va trancher chérie !
Riptide
C’est ainsi que nous avons dû retourner sur cet archipel maudit, surnommé Dead Island, infesté par des créatures toutes plus affamées les unes que les autres pour nos connaissances occidentales et nos corps de rêve, puisqu’elles voulaient à tout pris notre cerveau et notre chair. Quels locaux amicaux et chaleureux !
L’envie de faire partager cette expérience unique à un nouvel ami, John, ancien militaire Australien de l’ADF, ne se faisait que plus logique. Pour nous, qui avions déjà voyagé il y a de cela dix huit mois, nous avions déjà nos souvenirs que nous pouvions réutiliser sur cette nouvelle île si nous le souhaitions. John, lui, devra se faire entièrement à cette nouvelle expérience.
Chacun a ses avantages et ses inconvénients : par exemple, Xian manie le couteau de cuisine, et la gastronomie locale comme sa poche !
Je vous conseille d’ailleurs d’essayer le Berserk aux briques. Succulent !
Punam allait encore une fois nous montrer l’art de mitrailler dans tous les sens pour conserver d’immanquables anecdotes et cribler de souvenirs les habitants de cette nouvelle île.
Les garçons, eux, étaient moins distants et préféraient chahuter avec nos chaleureux hôtes.
Le nouveau, John, s’est plutôt bien adapté et a apporté des relations plus charnelles à notre groupe. Il n’hésitait pas à caresser les visages de nos nouveaux amis grâce à ses mains douces et musclées, puis de leur faire un peu de kinésithérapie avec ses pieds, pour les autochtones les plus avides de connaître les nouveaux types de médecine.
Nous n’étions pas seuls touristes dans cette île à forte densité d’arbres. La jungle accueillante était en pleine mousson, favorisant les nombreuses baignades et trajets en bateaux. Même si ces derniers ramaient méchamment et anormalement lors des collisions avec des indigènes du coin en pleine baignade.
Mais en dehors de ce genre d’incidents, nous avions de quoi nous émerveiller devant tant de beauté. Ce n’était certes pas aussi beau que les îles Brook que notre vieil ami Jason Brody avait récemment visité, mais nous n’avions pas non plus à nous plaindre d’une telle richesse d’environnements et d’une telle beauté de l’île. La ville était en partie inondée, suite à la mousson, mais la fête qui avait eu lieu la veille de notre arrivée devait être terriblement bonne, vu la désolation ambiante, les autochtones encore comateux qui se réveillaient avec une gueule de bois pas possible et une haleine à faire lever les morts, pour nous demander une pastille pour la bouche, ou une petite collation.