Notre première prise en main de Skull and Bones remonte à l’E3 2017, soit il y a déjà trois ans maintenant. À l’époque, nous avions trouvé le jeu plutôt fun mais le titre avait subi ensuite plusieurs reports et la sortie du jeu de pirate d’Ubisoft n’est maintenant plus prévue avant 2021 au plus tôt. Le jeu aurait été purement et simplement rebooté.
De reports en reports, Skull & Bones aurait été rebooté
Le jeu a pu faire penser à un gros mode issu de Assassin’s Creed 4 : Black Flag et c’est pour lui donner un peu plus de singularité qu’Ubisoft aurait décidé de rebooté le jeu, selon les sources de VGC.
Alors qu’une série Skull & Bones a été annoncée l’an dernier, le jeu n’a pas donné de ses nouvelles depuis bien longtemps et a une fois de plus brillé par son absence lors de la conférence Ubisoft Forward du mois de juillet. Ubisoft a cependant confirmé que d’autres événements du même genres arriveront à l’avenir, et il n’est donc pas impossible qu’on entende parler de Skull & Bones d’ici la fin de l’année.
Un nouveau Skull & Bones sur un modèle en constante évolution
Selon les mêmes sources, le nouveau Skull and Bones ne serait plus un jeu en monde ouvert traditionnel comme Ubisoft en a le secret, mais aurait basculé sur un modèle live, avec un monde persistant, des quêtes, personnages et histoires qui évoluent avec le temps et basées sur les actions de la communauté.
Une personne proche du développement aurait ainsi cité Fortnite comme source d’inspiration pour cette nouvelle direction avec un focus particulier sur la collaboration. Ubisoft souhaiterait ainsi séduire un public plus large que celui des fans d’action qui jouent généralement à ses autres franchises.
Ce reboot aurait également eu des répercussions dans l’équipe de développement avec le départ du directeur créatif Justin Farren chez Wargaming pour être remplacé par Elisabeth Pellen, directrice éditoriale chez Ubisoft Singapour. La prochaine fois que nous entendrons parler de Skull & Bones, Ubisoft risque donc de nous faire découvrir un tout nouveau jeu.
