Test - Bridge Constructor Stunts

«Bob le bricoleur !» , - 1 réaction(s)

Le dernier né de la série Bridge Constructor est arrivé sur Xbox One le 16 décembre 2016 avec Bridge Constructor Stunts. Très adaptés aux formats mobiles, les jeux du studio Clockstone le sont-ils tout autant sur console ?

Moi construire pont pour cascade

Les points blancs sont les points d’attaches, nos meilleurs amis en soit !

Le principe est on ne peut plus classique puisqu’à l’image de la plupart des jeux de courses mobiles 2D, il faut collecter des étoiles pour débloquer les autres parcours. Seulement, là où Bridge Constructor se démarque, c’est que c’est à nous de construire les ponts, rampes ou plateformes pour “relier” les parties solides et rallier l’arrivée en collectant des récompenses sadiquement placées. Facile n’est-ce pas ? Et bien pas tant que ça, car on a également un budget limité pour chaque parcours. L’idée est vraiment bonne et donne lieu à des casse-tête sans nom. En effet, si monter des jumps est facile, encore faut il qu’ils tiennent en équilibre et résistent au poids de nos camions ; ben oui, un camion benne ne fait pas le même poids qu’une petite dépanneuse, et les réceptions doivent de ce fait elles aussi être solides.

Concrètement, chaque partie commence en mode “construction” (on switche en mode “conduite” avec Y), on y voit les bonus sur la carte, les points d’attaches desquels doivent partir nos infrastructures ainsi que la ligne d’arrivée. A notre disposition, on a différents types de matériaux (des planches de bois, de métal et des cordes), et il faut user d’ingéniosité pour fabriquer des rampes suffisamment solides et équilibrées. On passe donc le plus clair du temps à tenter de relier des points, consolider nos tremplins de fortune et tester encore et encore nos créations, le tout avec une facilité déconcertante due à l’ergonomie au poil des commandes. Il y’a également des barils explosifs sur le parcours qu’il faut prendre soin de ne pas toucher, sinon on est bon pour recommencer ce fichu pont qui nous a pris 30 minutes à monter !

A moi l’étoile !

Le gameplay en mode “conduite” est basique (accélérer/freiner/se pencher) et donc accessible à tous. On note l’absence de marche arrière, une donnée importante car il faut parfois savoir retourner sur ses pas pour aller de l’avant… Si l’objectif est souvent de finir la course en collectant un certains nombres d’étoiles, il faut parfois réaliser un score de figures : backflips et frontflips sont donc vos meilleurs amis. Attention toutefois, qui dit gros saut, dit aussi reception solide…

Vendu 6€99, le jeu se révèle être vraiment addictif, surtout qu’il est possible de comparer ses scores avec le monde entier et de reprendre la construction de chaque niveau là où on l’avait laissé, une vraie replay value en somme. Graphiquement correct avec une durée de vie et un challenge très appréciables, il n’y a vraiment que peu de choses à lui reprocher, à part peut-être sa musique que l’on s’empresse de baisser sous peine de l’avoir en tête pour toute la semaine !

Bilan

On a aimé :
  • Le principe
  • L’ergonomie au top
  • Très accessible
  • Hyper addictif
On n’a pas aimé :
  • La musique histoire de chipoter !
C’est qui l’patron ?

Pour être honnête, on n’attendait pas grand-chose de Bridge Constructor Stunts ; une énième adaptation d’un jeu mobile lambda où on collecte des étoiles, non merci... Et finalement c’est tout l’inverse qui s’est produit, on a affaire ici à un titre au principe vraiment sympa, à l’ergonomie au poil et qui est en plus hyper addictif. Bien entendu ce n’est pas le jeu du siècle, mais au moins on passe un bon moment quand on le lance, on s’arrache les cheveux pour faire tenir 3 bouts de bois en équilibre et on est content quand on y arrive ! Que demander de plus ?

Accueil > Tests > Tests Xbox One

Bridge Constructor Stunts

PEGI 3

Genre : Action

Editeur : Headup Games

Développeur : ClockStone

Date de sortie : 16/12/2016

Prévu sur :

Xbox One

1 reactions

Blondin

07 fév 2017 @ 17:14

Je m’étais vraiment éclaté sur le dernier, je pense que je me prendrais celui ci également.