Dans la jungle, terrible jungle, Simba s’endort ce soiiir !
Mais avant de pouvoir créer le zoo de vos rêves sans aucune limite financière, échanger des animaux avec vos amis, ou participer à un zoo jusqu’à 4, il va falloir considérer les autres modes de jeu, à savoir le mode campagne qui vous propose différents scénarios à accomplir dans un temps donné et qui vous donnera en récompense de nouveaux objets, environnements, etc, pour votre zoo dans les modes de création (Libre et Défi). L’autre mode de jeu à considérer est le mode Défi. Similaire au mode libre, mais avec un budget très limité au début et plus progressif, il permettra à votre zoo de gagner de la renommée, de débloquer des animaux, de l’équipement de base pour votre zoo libre. Durant vos parties, des défis viendront s’incruster pour briser la monotonie que peut être la gestion pure. Cela va de faire des démonstrations interactives avec les animaux à prendre des photos pour un journal ou encore faire en sorte qu’un bébé naisse, etc. Vous pourrez aussi vous balader dans votre zoo en passant en vue piétonne, faire des courses de voiturette pour certains défis ou juste pour vous balader.
L’aspect voiture est très basique, même si on pourrait à s’y méprendre se croire devant du Forza ou du Gran Turismo tant les options de conduite sont poussée avec accélérateur, frein et frein à main : de quoi enthousiasmer les plus grands amateurs de sports mécanique. Et ils y ont même ajouté un volant dis-donc ! On a plusieurs modèles différents (Eléphant, Zèbre, Tigre ou classique), et le fin du fin, sa technologie de pointe avec un système anti-écrasement fera que, comme les suscités, vous ne pourrez pas écraser les passants, qui seront comme poussés hors de votre chemin après impact. La sécurité, ça n’a pas de prix ! En bonus, Zoo Tycoon a une petite face cachée qui ravira tous les zoophiles (rien de pervers, je vous rassure !), puisque le titre propose une encyclopédie des animaux présents dans le jeu. Elle est certes plutôt bien cachée dans les menus, mais est assez complète, sous-espèce par sous-espèce, pour pouvoir frimer pendant les soirées de l’ambassadeur. Et sans prendre une calorie à cause d’un chocolat pas vraiment bon !