Bien entendu, le gameplay est presque totalement configurable, avec un niveau d’assistance plus ou moins élevé pour les passes, tirs, etc… Tiens, le jeu, en ligne, parlons en rapidement : dès la sortie du jeu, aucun problème rencontré pour trouver des parties, et pas de lag gênant en jeu pendant ce test.
Le reste n’appartient pas à la rubrique « nouveauté », mais plutôt « amélioration notable ». Ainsi, il y a toujours plus de visages modélisés, pour plus de réalisme. Au rayon réalisme, le mode carrière en tant que manager est plus étoffé, avec maintenant des recruteurs qui doivent passer du temps à observer un joueur avant de faire un rapport… Rapport d’une qualité toute relative suivant le niveau de performance des recruteurs ! Et c’est tout. Peu de nouveautés ? C’est vrai ! Mais des nouveautés qui valent la peine et qui changent vraiment l’expérience jeu en main.
Pour la prochaine fois
Tout n’est cependant pas encore parfait dans le monde de FIFA. Les progrès à faire se situent maintenant au niveau de détails, mais des détails qui nuisent à l’immersion totale. Ainsi, si les amateurs de victoires faciles vont jouer avec Barcelone, le Bayern ou le PSG, le vrai supporter prendra bien entendu son club ! Quand j’ai lancé ma première partie, à la tête du Stade Rennais pour un petit derby contre les Nantais enfin de retour dans l’élite (depuis le temps, vous nous avez manqué, les gars !), cela a été la stupéfaction de voir que les commentateurs étaient incapables de prononcer correctement les noms de Romain Danzé (y’a un accent bon sang ! Et c’est tout de même le capitaine de l’équipe…) ou de Pitroipa.
En attaquant une carrière de manager du Stade Rennais, j’ai été très étonné de voir que Montpellier était prêt à acheter pratiquement tous les joueurs que je voulais transférer. Pas d’autres clubs, juste Montpellier… En jeu, il y a encore quelques détails à régler aussi, comme le comportement parfois très agaçant des attaquants qui se mettent en position de hors jeu trop souvent (si j’étais l’entraîneur ils s’en prendraient une), ou bien les arbitres qui sifflent des hors-jeu sur des joueurs qui ne font pas action de jeu. Frustrant de voir une superbe action arrêtée parce qu’un joueur glandouille à 40 mètres de l’action, même si cela arrive rarement.
Des détails, certes, mais quand on propose un jeu par an, c’est la perfection qu’il faut viser !