Évidemment, vous pouvez largement profiter des paysages -certes moins paradisiaques qu’habituellement- à pieds mais gare aux animaux qui traînent dans les parages puisqu’ils sont susceptibles de vous attaquer à tout moment, même lorsque vous affrontez quelques cyber-soldats. Parmi les bestioles végétant dans le paysage se trouvent les dragons de sang (ndlr : Blood Dragon...) qui sont très coriaces à éliminer et les tactiques à privilégier sont la furtivité, car ils ne vous détectent pas si vous ne faîtes pas de bruit, ou les attirer sur vos ennemis pour qu’ils se battent entre eux. Pour employer cette dernière méthode, il vous faudra utiliser les cybercoeurs arrachés sur les adversaires que vous aurez éliminés auparavant. Il est donc important de fouiller les cadavres avant de reprendre votre chemin.
Ricqlès : le Glouglou qui fait glagla
Ceci nous amène au gameplay qui est très classique pour la série : on retrouve les mêmes principes sur les commandes et la personnalisation de l’équipement ou des armes. On ajoute une petite touche cybernétique avec l’ajout du cyber-oeil qui permet d’identifier les ennemis ou animaux au loin avec le zoom et de locker ces derniers pour les garder à l’oeil.
On compte au total 7 missions principales, assez répétitives, qui se bouclent en à peine 5 heures, mais le temps de jeu peut gagner quelques heures avec les missions secondaires qui consistent, comme indiqué précédemment, à libérer les garnisons, à secourir des scientifiques, à chasser certains animaux ou encore partir à la recherche des cassettes VHS ou de téléviseurs disséminées aux quatre coins de la carte. Et enfin pour donner un peu de piment, on obtient un score sur la façon d’éliminer les cyber-soldats et animaux, ce qui permet d’augmenter votre niveau (30 niveaux au total) pour débloquer des équipements, des compétences ou bien améliorer la barre de vie. Cela provoque un petit souci vers la fin du jeu : notre cher Rex est tellement fort qu’il devient très facile de terminer les quêtes secondaires.