Test - The Elder Scrolls V : Skyrim

«Incontournable» , - 25 réaction(s)

Voilà qui donne le frisson aux amateurs de jeux de rôles, et qui fait forcément remonter des souvenirs en tête. Souvenirs d’heures passées devant un écran, que ce soit un moniteur ou une télé, à vivre des aventures épiques, à façonner son personnage, à maîtriser sa destinée. Oblivion, première incursion de la série sur Xbox 360 peu de temps après la sortie de la console, a été un jeu qui a probablement été source de conflit dans bien des couples tant il était difficile d’en décrocher. C’était aussi à sa sortie un choc visuel : un monde ouvert, gigantesque et cohérent, dans lequel on pouvait se perdre avec délice. Pour beaucoup c’est toujours la référence du jeu de rôle sur console. Jusqu’à aujourd’hui avec Skyrim ?

Les Dragons habitent dans un magnifique loft

Le kamehameha version Skyrim

Vos premiers pas dans l’univers de Skyrim, vous ne les ferez pas directement vu que c’est les deux mains attachées, assis à l’arrière d’une charrette que vous vous réveillerez. Cette charrette vous amène directement à l’échafaud en compagnie de quelques voleurs et du chef des Sombrages, un groupe de rebelles qui revendique le trône de la contrée. L’intrigue politique de Skyrim est directement posée dans cette intro et vous laisse découvrir le paysage en tant que spectateur. L’immensité des montagnes, les points de vue vertigineux, les arbres qui bruissent au souffle du vent, les biches qui s’échappent à notre regard d’un bond gracile. Dès les premières minutes, Skyrim est une ode à l’aventure, au vagabondage, à la découverte. On a très rapidement envie de se libérer de nos liens virtuels pour arpenter les chemins boueux que l’on croise. Notre route funèbre s’achève dans un petit village fortifié, Helgen. Les enfants s’adressent à leurs parents au sujet du triste équipage, les cris de haine fusent, les chiens aboient. Lorsque l’on descend c’est pour donner notre identité au garde, comme dans les précédents Elder Scrolls, on commence prisonnier et on passe par la case de création de notre avatar.

Je suis Dovakhiin !

Ce qui saute tout de suite aux yeux des habitués c’est l’immense travail qu’a effectué Bethesda au niveau du design et des graphismes. Oblivion, l’illustre prédécesseur est bien loin derrière. Les créatures, animaux, hommes, femmes et enfants sont superbement modélisés. On peut enfin avoir un avatar doté d’une classe folle et ce sans passer des heures à modeler son visage. On peut aussi, et c’est une première, incarner un personnage féminin ne ressemblant pas à une victime d’opération esthétique ayant mal tourné. La création des personnages a été simplifiée. Plus question de choisir sa classe et ses caractéristiques. A l’instar d’un Fable, Skyrim propose au joueur de modeler lui-même son personnage suivant son style de jeu. Seules les compétences utilisées augmenteront, compétences dont le total de départ dépendra de la peuplade que vous aurez choisi bien entendu. Cette simplification n’induit curieusement pas une perte de richesse au niveau du gameplay et du jeu de rôle. Nous verrons cela un peu plus tard dans le test.

Premiers pas...

Mieux vaut ne pas le croiser

Notre exécution va bientôt avoir lieu. Un de nos pauvres compagnons d’infortune a tenté de s’échapper, en vain. Une tête est déjà tombée et la prochaine sera la vôtre. Vous vous installez sur le billot lorsqu’un terrible cri déchire l’horizon. Votre bourreau se retrouve paralysé par la peur lorsqu’un dragon vient se poser sur la tour qui se trouvait derrière lui. Plus aucun habitant de Skyrim n’avait vu de Dragon depuis des siècles. Helgen sera la première ville à être rayée de la carte sous un déluge de flammes et de crocs. La colère du dragon est impressionnante, dans la confusion vous arrivez à vous échapper et un premier choix devra être fait rapidement : suivre un des Sombrages ou un des soldats de l’empire plus empathique que les autres. La suite se passera dans un donjon, seule possibilité de fuir la colère du dragon. Un donjon initiatique, un niveau tutorial qui vous permettra d’apprendre les bases du combat, de la parade, de la furtivité. Comme dans Oblivion ce n’est qu’à l’issu de ce donjon que vous sera offerte la plus totale et grisante des libertés.

Grisante. Enivrante. Se promener dans Skyrim est un régal, un immense bonheur de pouvoir découvrir par soi-même un univers virtuel cohérent, gigantesque et doté d’une richesse rarement atteinte jusqu’alors. La faune est beaucoup plus riche que dans Oblivion, les biches, les élans, les lapins, les renards, les papillons, abeilles, libellules, lucioles seront autant de sources d’émerveillement que d’ingrédients pour nos potions ou de nourriture.

Reste caché petit archer !

Les monstres, bandits et autres créatures viendront augmenter cette terrible sensation de richesse. On peut même trouver en ouvrant les yeux, des nids, des ruches, des saumons essayant de remonter les cours d’eau et des troupeaux de mammouths arpentant les grandes plaines, gardés par des géants aussi impressionnants que leur troupeau. Tout ceci ne serait rien sans un véritable écrin digne de ces petits détails. Et là aussi, Skyrim ne déçoit pas.

Forêts, lacs immenses, steppes arides, sommets enneigés, marécages, la variété des lieux visités est hallucinante de beauté. Certaines villes à flanc de falaise, perchées sur un éperon rocheux, dominant des plaines à perte de vue vont vous décrocher la mâchoire. Outre les villes et les villages, Skyrim propose aussi tout un tas de grottes, de lieux spécifiques, de campements et j’en passe. On pouvait remarquer dans Oblivion une grande redondance de ces cachots et autres tanières, dans Skyrim il n’en est rien.

Chaque grotte, chaque donjon, chaque lieu a été travaillé avec soin, avec le même souci du détail. On découvre à chaque fois une ambiance différente, une petite histoire et Skyrim sait récompenser les aventuriers. On ne visite jamais une grotte en revenant bredouille. L’explorateur qui sommeille en vous, l’aventurier, sera aux anges, les lieux inutiles mais particuliers, les évènements étranges et les quêtes aléatoires que recèlent Skyrim sont légion : un cavalier fantôme arpentant mystérieusement la route en pleine nuit, le cadavre d’un crabe des vases géant, une cabane dévastée par l’attaque d’un dragon, un cimetière perdu de mammouth etc., etc... Pour décrire tout ce que Skyrim vous propose, il faudrait plus d’une dizaine de paragraphes comme celui-ci.

Pour ce qui concerne la trame principale, on évolue au sein d’une histoire plutôt classique de lutte de pouvoirs, avec en sous-texte la présence des dragons, entités dont le rôle dans le futur de ce Monde est évidente. Notre rôle se dessine lui aussi au fil des heures. Alors qu’on gagne en puissance et qu’on en apprend plus sur qui nous sommes, il apparaît de façon de plus en plus évidente que nous sommes bien le héros qui va faire basculer la destinée du Monde. Si cette histoire ne mérite pas un Oscar pour sa complexité, la façon dont elle s’intègre avec naturel dans la liberté totale qu’on a est à souligner. Sans se forcer, on peut jouer comme on aime, “perdre” des heures à commercer ou à se balader, ou bien chercher à aller droit au but. Peu importe, tout restera toujours cohérent, naturel, logique. Parler de durée de vie pour Skyrim devient absurde : comment l’estimer, alors qu’on peut faire tout ce que l’on veut ? Elle est aussi longue que le souhaite le joueur.

Ambidextrie

Une entrée très accueillante

Manette en main, on observe également beaucoup de changements par rapport à Oblivion. Déjà, pour ceux qui le souhaitent, la vue à la troisième personne est cette fois nettement plus jouable, même s’il y a fort à parier que bien peu l’utiliseront. La navigation se fait par arborescence accessible à tout moment en mettant le jeu en pause. Si elle est facile d’accès, on peut toutefois regretter qu’il n’y ait pas plus de possibilités ou de raccourcis pour utiliser directement les armes/sorts/objets de notre choix. Cela casse un peu le rythme, et aurait sans doute pu être facilement amélioré.

Un haut lieu de Bordeciel

Chaque main est gérée par une gâchette, et on peut y mettre ce qu’on veut : de nombreuses combinaisons sont donc possibles, que ce soit en mixant les armes, les torches ou en usant de magie. C’est pratique, et cela permet de jouer comme on aime, avec tout de même une grosse limitation. En effet, on ne peut prédéfinir que deux combinaisons accessibles par un raccourci. Du coup, pour éviter de devoir passer par les menus sans arrêt pour changer d’arme ou de sorts, on a vite tendance à se focaliser sur quelques combinaisons en laissant de côté toutes les autres.

Si pour les armes cela n’est pas un gros frein, puisqu’on peut définir une combinaison au corps à corps et une autre à distance, c’est déjà plus gênant pour ceux qui veulent se concentrer sur la magie. Même si de nombreux sorts peuvent être trouvés, le fait qu’il soit peu aisé de passer de l’un à l’autre pousse le joueur à seulement en exploiter quelques uns. En dehors de cette limitation, la maniabilité est excellente et diriger son personnage devient vite instinctif, voire franchement agréable. La progression dans le jeu est totalement libre, et seules les compétences qu’on utilise permettent de monter de niveau : on n’a donc pas les traditionnelles séquences de points à répartir, mais une progression naturelle, qui colle forcément à notre façon de jouer. Par rapport à Oblivion, terminé les compétences comme courir ou acrobatie qui nous poussaient à sauter n’importe où en parcourant la plaine histoire de monter de niveau ! Il y a bien quelques simplifications dans les compétences, mais du fait même que la progression se fait toute seule, on ne s’en rendra pas du tout compte. Au contraire, cette totale liberté fait qu’on ne se pose même pas la question. Pas la peine de scruter des écrans de stats, les choses avanceront comme elles avanceront…En se détachant des mécanismes habituels de beaucoup de jeux de rôle, Skyrim renforce l’impression de liberté et l’immersion dans le jeu.

Quand on se promène, la carte est peu précise, bien que montrant les reliefs. On ne voit pas les routes et chemins principaux, et cela est clairement un choix assumé : le joueur est obligé, qu’il le veuille ou non, de partir à l’aventure et de découvrir lui-même le chemin à prendre. Il n’y a pas de bon ou de mauvais chemin, il n’y a que celui que le joueur choisira de suivre !

Recette bio

Cette volonté de pousser le joueur à explorer se retrouve dans la gestion de la multitude de quêtes qu’on croise. Ici, il n’y a pas de flèche à suivre ou un objectif en surbrillance. On verra juste sur la carte où se trouve l’objectif de la quête, mais sur place c’est au joueur de se débrouiller. S’il doit trouver une personne, il faudra parfois parler avec pas mal de monde pour trouver la bonne ! Les dialogues ont d’ailleurs été simplifiés par rapport à Oblivion, dans lequel il fallait essayer de deviner les émotions de son interlocuteur. Ce n’est pas un mal, diront certains, d’autant plus qu’ils sont agréables à suivre. Pour être complet, mentionnons également que le jeu dispose à présent de trois sauvegardes automatiques, ce qui évite de repartir de très loin en cas de rencontre imprévue et fatale. On peut également souligner que le système de création d’objets, de potions ou d’enchantement a été revu et est bien plus agréable et motivant.

Dernier point à souligner : comme dans le précédent jeu de la série on peut choisir à tout moment de changer la difficulté du jeu, qui devient très différent suivant l’option que vous retenez. Dans la difficulté la plus élevée, les combats sont franchement difficiles, et la mort attend le joueur au détour de rencontres impromptues. A l’inverse, on peut choisir de jouer en facile, avec des combats beaucoup plus simples, pour se concentrer avant tout sur l’histoire. Quel que soit le choix, on oublie la logique d’Oblivion qui adaptait le niveau des ennemis à celui du joueur, ce qui pouvait donner des situations absurdes, n’importe quel petit bandit de bas étage possédant au bout d’un moment un équipement qui ferait envie aux plus grands rois ! Si les adversaires s’adaptent toujours au joueur, c’est maintenant dans une bien moindre mesure. Les « petits » adversaires resteront de « petits » adversaires, et beaucoup plus logiquement vous les dessouderez les doigts dans le nez (et donc d’une seule main) quand vous monterez de niveau.

Des pixels à la réalité

Alors que beaucoup de jeux parmi les plus médiatisés usent et abusent de scripts pour garantir un aspect visuel au top et du grand spectacle, Skyrim, comme ses aînés, prend une toute autre direction en misant sur un monde ouvert et vivant. Naturellement, c’est nettement plus compliqué dans ces conditions d’offrir des visuels du même niveaux que d’autres titres plus étriqués, et cela s’accompagne d’un corollaire de bugs et de faiblesses qui sont presque des traditions dans la série.

Un elf qui ne vous veut pas du bien

Ils sont bel et bien là et on peut les lister : il y a des textures qui sont parfois grossières, le clipping s’invite de temps en temps, on a le droit à quelques freezes, les personnages ou animaux qui se trouvent parfois dans de drôles de positions, ou bien même disparition d’éléments du décor… On ne croise pas tout ça en permanence, ce n’est pas tout le temps, loin de là, mais toutes ces faiblesses existent. Ce ne sont pas les seules limites techniques du jeu, puisque son principal point faible est très clairement l’animation, des animaux, monstres ou (surtout) des humains, pas vraiment naturelle et souvent hésitante, quand les bugs de collision ne viennent pas s’inviter à la fête. Là encore, ces défauts sont bien là, mais pas au point de nuire à l’aventure : il serait plus juste de dire que l’animation n’apporte rien de plus au titre. On peut aussi considérer que l’IA n’est pas d’un gros niveau, sans pour autant être mauvaise. Tout le monde réagit de façon basique, mais sans aller jusqu’à faire n’importe quoi.

Salle de détente (au sens propre)

Mais qu’on ne s’y trompe pas, Skyrim est un jeu techniquement monstrueux, bien plus complexe que ceux qu’on considère un peu trop facilement comme les « plus beaux jeux sur console ». La prouesse est telle qu’elle balaie toutes les faiblesses mentionnées. Ainsi, le niveau de détail du jeu est proprement hallucinant. On a l’impression que chaque touffe d’herbe a été conçue et posée à un endroit précis, que les arbres, lacs, montagnes, ont été pensés pour donner cette incroyable sensation de réalité. Une sorte de leçon de level design appliquée à l’échelle d’un pays. Les intérieurs sont tout autant impressionnants. Alors que dans Oblivion on retrouvait des grottes similaires construites sur des schémas identiques, cette fois les endroits sont tous différents, offrant un univers tangible et réaliste comme on n’en a jamais vu avant. Le même niveau de détail s’applique aux ennemis, tous plus beaux les uns que les autres, et parfois vraiment grands (la première rencontre avec des mammouths est impressionnante). Pendant les temps de chargement (il est vrai un peu longs dans les villes quand on passe d’une maison à une autre), on peut d’ailleurs admirer comme tout a été modélisé avec soin.

Cette exhaustivité dans le détail ne s’applique pas qu’aux visuels, mais aussi à la conception même du jeu. Ainsi les quêtes peuvent se déclencher de multiples façons dont les plus inattendues : en trouvant un objet, en lisant un livre, ou même en se laissant entraîner dans un concours de picole ! Quels que soient nos choix, les dialogues restent cohérents, et les anomalies (quelqu’un qui nous parle de quelque chose dont on n’a jamais entendu parler avant, déclarations sans rapport avec les situations…) sont presque totalement absentes : un tour de force quand on considère la quantité invraisemblable de dialogues parlés et de possibilités. Si on y ajoute les kilomètres de textes dans les livres (bien écrits et traduits, d’ailleurs), voilà une autre performance à souligner : alors que tant de développeurs couinent et se plaignent du manque de place sur un DVD, Skyrim offre un contenu qui explose 95% des autres jeux, et ce sur un seul petit DVD de rien du tout.

Non il n’y a pas que des Trolls !

Au niveau de l’environnement sonore, comme trop souvent la répartition entre les enceintes est exagérée, avec une utilisation abusive des enceintes latérales au détriment de l’enceinte centrale, ce qui peut nuire au suivi des dialogues quand plusieurs personnes parlent. Heureusement, le plus souvent les dialogues se font de face, ce qui permet de profiter d’une VF tout à fait acceptable. Pas extraordinaire, mais suffisamment bien faite pour que ça ne soit jamais gênant. La musique, par contre, n’est pas juste correcte : elle est extraordinaire. En quelques notes, dès le départ, elle invite le joueur à se plonger dans cet univers. Par la suite elle se fera entendre toujours à propos, venant souligner avec Maestria les situations, que ce soit une scène épique ou juste le paysage qui s’étend sous nos yeux.

Bilan

On a aimé :
  • L’univers incroyablement riche
  • L’esthétisme éblouissant du jeu
  • La liberté totale
  • Le système de progression
  • Un charme fou qui fait qu’on ne peut plus décrocher
On n’a pas aimé :
  • Manque de raccourcis sur la manette
  • Quelques bugs
  • Peut être cause de divorce
Skyrim : un chef d’œuvre sur cette génération de consoles

Comment sait-on si on parle bien d’un chef d’œuvre ? Simple, il suffit de voir qu’on n’arrive pas à décrocher du jeu. Que quand la console est éteinte, on continue d’y penser en allant se coucher. Qu’on prétend ne pas être disponible pour une réunion au boulot à 16h30 juste pour ne pas rentrer trop tard et pouvoir jouer avant le repas du soir. Que pendant la visite médicale on prétend être très fatigué pour espérer un arrêt maladie de quelques jours. Skyrim, c’est exactement ça. Une véritable drogue qui va provoquer bien des discussions dans le couple des joueurs. Alors que trop de jeux actuels s’appuient sur des chemins balisés, scriptés jusqu’à l’os, Skyrim nous offre du rêve, une quête épique, et de la liberté. On ne joue pas à Skyrim, on le vit : chaque joueur aura son expérience, sa façon de progresser, sa façon de passer des heures dans ce monde parallèle. Les quelques défauts, ou plutôt les quelques limitations du jeu sont balayées en quelques minutes de jeu, puis totalement oubliées après quelques heures, tellement ses énormes qualités s’imposent. Ce titre est un indispensable pour tout amateur de jeux de rôle, et même un indispensable tout court. Un grand merci Bethesda de nous avoir offert ce cadeau de fin d’année.

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The Elder Scrolls V : Skyrim

PEGI 0

Genre : RPG

Éditeur : Bethesda

Développeur : Bethesda

Date de sortie : 11/11/2011
Date de sortie XO : 28/10/2016

Prévu sur :

PC Windows

25 reactions

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seb45

21 nov 2011 @ 21:17

Ca fait bien longtemps que je n’ai pas touché à un jeu d’aventure, je suis plus fps, mais au vu des commentaires et du test je crois que je vais facilement me laisser tenter surtout que je suis complétement blazé d’un MW 2,5 alors Skyrim sera son remplaçant.

jaireimy

21 nov 2011 @ 21:46

Passer de mw à skyrim, quelle merveilleuse idée tu as là :-P

Comme dit dans le texte, bye bye les scripts et bonjour au monde dynamique. Le nombre de situations épiques que j’ai vécu, pas parce que les développeurs l’avaient scripté de a à z, mais juste parce que différents évènements aléatoires se sont imbriqués, c’est juste jouissif.

Et sinon je ne sais pas si d’autres l’ont aussi remarqué, mais on sent bien que Bethesda a fait un détour sur Fallout : les ralentis à la fin des combats, certains bruitages, etc.

Wipness

21 nov 2011 @ 23:00

Et bien, ce test est parfait, le meilleur sur ce jeu que j’ai pu lire et j’en ai lu pas mal même si je n’en ai pas besoin pour apprécier plus qu’il ne le faut ce magnifique jeu, oh que dis-je, cette extraordinaire expérience. Bravo à vous !

pieur

21 nov 2011 @ 23:49

Très bon test, ça me donne franchement envie. J’avoue avoir bien apprécié Oblivion, plus que Morrowind où j’étais vraiment perdu. Je me tâte quand même sacrément à prendre Skyrim, du fait du temps qu’il faut lui donner, je ne sais pas si j’aurai la possibilité de savourer le jeu comme il se doit !

Muse2003

22 nov 2011 @ 00:47

Ce Skyrim est une révélation en ce qui me concerne. Etant gros joueur de Gears 3 ou Battlefield 3 et autres je ne savais pas trop si je devais le prendre ou pas.. Finalement j’ai cédé à la tentation !! Et mon dieu que j’ai bien fais ! Le jeu est simplement un des meilleurs auquel j’ai pu jouer ! Rien de plus captivant et immersif. Ce jeu est fait pour une catégorie de joueur mais est aussi accessible à tout le monde vu le système de progression.. Crée ce que tu veux être et pars à la conquête de cet ENORME monde. Jusqu’à présent je n’avais jamais encore retrouvé un monde aussi grand et aussi dynamique ! Bon il est temps de dormir ici, j’avais dis 1h de Skyrim et dodo et puis paf 1h de skyrim = 4h dans la vraie vie... :o)

nono

22 nov 2011 @ 13:38

J’avais une question pour la rédaction.Vu que vous avez paru ce test,est ce que cela veut dire que vous avez fini le jeu ?Et si oui en combien de temps.Merci pour votre réponse et surtout MERCI pour votre test.Longue vie à vous.

Rone

22 nov 2011 @ 13:51

Il est impossible de répondre à cette question, déjà car personne ne fait le jeu en ligne droite ! La durée de vie, c’est le joueur qui la choisit ! Ca peut être 150h sans problèmes...

Caporal Taggart

22 nov 2011 @ 17:21

Jeu de l’année 2011. Immersif au possible, ce jeu est une tuerie de la race de sa maman la coquine en tongue.

Rapace66

23 nov 2011 @ 00:17

manque juste le coop a la dead island et il est parfait |-)

weedasky

23 nov 2011 @ 14:32

rien a dire, juste a y retourner a si ! merci bethesda...