Souvenirs de Banoï
Tout ce qui vous tombe sous la main peut servir d’arme ou d’objet pour fabriquer une arme. Et ce ne sera vraiment pas de trop, puisque les armes sont périssables. Comprenez par là qu’elles s’usent à chaque fois que vous frappez quelque chose. Et plus elles s’usent, plus leur état visuel empire, tout en diminuant l’efficacité de l’arme. Heureusement, vous pourrez les réparer dans des ateliers de fortune disséminés un peu partout sur l’île. Et si vous avez des brouzoufs à ne plus savoir quoi faire, ainsi que des pièces en trop, il sera toujours bon d’améliorer, voire upgrader vos armes vers quelque chose de plus dissuasif. On regrettera que l’on ne puisse pas simplement créer une arme entièrement à partir d’objet, il faudra toujours avoir une arme déjà existante de base. Ces dernières, réparties en 4 catégories (tranchantes, contondantes, à feu, et assommantes), sont nombreuses et aléatoires à la manière d’un Borderlands et possèdent diverses statistiques de dégâts, de puissance, de résistance et de maniabilité (les armes à feu possèdent des critères différents et ne se dégradent pas). A chaque action, que ce soit frapper, courir, ou sauter, vous verrez votre barre d’endurance se consommer en fonction de l’action. Mélanger ces actions la videra plus drastiquement. Il viendra à votre bon sens de gérer cette jauge d’endurance, puisque sans endurance vous ne pourrez vous battre et les zombies ne vont pas attendre pour vous goûter goulûment. Surtout que chacun de leurs coups entamera également cette jauge. Heureusement pour vous, les compétences que vous récolterez au fil de vos niveaux vous permettront de combler en partie ce genre de soucis, pour peu que vous dépensiez des points de compétence dedans.
- La prochaine fois, on évitera collin-maillard avec les règles de Stéphan, voire même tous les jeux avec les règles de Stéphan.
Rassurez-vous, conduire les véhicules ne coûte pas d’endurance, même lorsque vous vous en servez pour fournir du travail à la voirie. On aurait seulement préféré avoir une meilleure visibilité lors des moments dans ces véhicules, plutôt que d’avoir l’impression de conduire du siège passager arrière... Côté scénario, on se retrouve avec du classique, dont nous passerons les détails, sachez juste que blablabla massacre de zombies à la pelle dans des hectolitres de sang, blablabla jusqu’à ce que la mort vous sépare. Et elle vous séparera ! Heureusement que le jeu opte pour un système pertinent dans lequel vous « croiserez » (via un message automatique qui apparaît sur l’écran, car vous ne les verrez pas physiquement avant de les avoir rejoints) des partenaires potentiels en temps réel via le Xbox Live. Il suffit d’être dans un lieu proche, et d’avoir des niveaux compatibles (on ne peut pas rejoindre la session de quelqu’un plus faible que soit, mais les plus faibles peuvent rejoindre la vôtre en fonction des réglages Online que vous aurez effectué.) pour pouvoir être connectés dès que les joueurs ont accepté leur alliance. Pour les vieux de la vieille qui ont les habitudes dures, rassurez-vous, on peut aussi se joindre à l’ancienne avec lobby et invitations. Et après tout est permis, même les bugs ! Car c’est dans ce mode qu’ils se cachaient les petits saligauds ! Enfin, cela dépendra de votre chance, puisque ces bugs sont plutôt aléatoires, et autant vous pourrez n’avoir aucun souci en multijoueurs, autant vous pourrez avoir l’impression d’être victime d’un complot visant à votre retrait du monde du jeu vidéo...