Sorti il y a maintenant plus de deux ans, Cars peut maintenant être trouvé facilement à un prix très raisonnable. Il est bien évident que ce n’est pas le jeu auquel on pense en premier en tant que gamer, mais tous les parents qui ont un petit garçon peuvent légitimement se demander si ce ne serait pas un bon investissement pour leur mini-pilote en herbe. Réponse dans le test.
Après le film, le jeu
L’histoire se déroule à Radiator Spring, après la victoire de Flash « tchi-tcha » McQueen. L’objectif est pour lui de gagner toutes les épreuves qui lui sont proposées afin de remporter la course ultime : la Los Angeles International Speedway. On dirige donc Flash dans la ville, et il peut aller où il le souhaite, se rendant aux différents endroits où les épreuves commencent. Vous traverserez tous les décors vus dans le film et retrouverez tous les personnages connus : tout est parfaitement identifiable et fidèlement retranscrit. Les épreuves sont dans 80% des cas des courses, mais aussi de mini-jeux divers qui permettent de ne pas toujours faire la même chose.
Flash Mc Queen est un gars simple
Comme on pouvait s’y attendre, la maniabilité est extrêmement arcade : on utilise très rarement le frein, et jamais le frein à main. Les parcours sont en général plutôt simples, et même si certains sont biscornus, le jeu sanctionne à peine les sorties de piste. Afin d’agrémenter tout ça, un boost est disponible, et il faudra user du dérapage pour bien prendre les virages. Même si tout cela est basique, cela reste agréable à jouer, même pour les grands. Bien que le jeu soit répétitif, on enchaîne les courses sans trop s’ennuyer, avec comme prétexte de « débloquer les circuits pour le petit ». En marge de ce mode de jeu, on peut jouer toutes les courses débloquées avec une dizaine de voitures (qu’il faudra débloquer également), jouer aux mini-jeux (mais ceux-ci sont d’un intérêt limité), et surtout jouer à deux en local. Malheureusement, le jeu à deux n’est pas vraiment agréable, souffrant de ralentissements indignes de la console. On pouvait s’en douter, il n’y a pas de jeu en ligne.