C’est par une récente interview sur videogamer de Paul Jeal, senior producer, que nous obtenons quelques détails de plus sur F1 2010.
Tout d’abord sur la difficulté et le réalisme du titre. Codemasters est bien conscient que parmi les fans de F1 il y a des joueurs occasionnels et des gamers mais que le choix ne pouvait pas juste se résumer à arcade ou simu.
« Avoir des réactions réalistes ne signifie pas nécessairement rendre les choses trop dures. Quand on rend la voiture cohérente et prévisible c’est beaucoup plus facile. »
On retrouvera, comme d’habitude, une ligne dynamique indiquant une vitesse excessive, le bon moment pour freiner, le choix entre boite auto et manuelle, les diverses assistances qui seront peut-être à double tranchant, puisqu’elles entrainent un surpoids sur la monoplace (et on sait à quel point cet élément est important dans la discipline). Cependant, même avec toutes les aides les joueurs occasionnels n’auront pas l’impression d’être sur des rails.
Le jeu tournera bien en 30 images/sec, un choix qui n’a pas fait débat tant le studio préfère l’impact visuel qu’il est possible de rendre avec les ressources disponibles. Les 60 fps auraient apparemment demandé trop de sacrifices.
La fonction replay si bien maitrisée dans Grid et Dirt2 est de retour. Là encore, l’utiliser entrainera forcement une pénalité, comme gagner moins de points d’expérience.
Dernière info, il n’y aura pas d’écran splitté bien que le mode figurait sur la liste des souhaits des développeurs.