Retour de la licence du FPS/RPG en monde ouvert qui a révolutionné le genre des jeux de tir il y a quelques années, en proposant un jeu à la potentielle durée de vie infinie pour les amateurs de loot avec des graphismes en cel shading. Après une petite demi-heure passée à tester une mission ressemblant à un mode horde, on pourra rassurer les fans : rien (ou si peu) n’a changé au niveau du gameplay. Même sauts en apesanteur, mêmes déplacements, mêmes changements d’armes, etc. Côté leveling par contre, l’arbre des compétences a changé un peu, évidemment en termes de contenu, mais côté visuel aussi. Cinq classes vous permettront d’en découdre, toujours jusqu’à 4 en coop : le gunzerker (bourrin), la siren qu’on retrouve, le commando, une sorte de ninja et enfin, la classe encore en cours de développement et récemment annoncée, la mecromancer, une classe bourrine qui pourra invoquer un deathtrap (un robot) aux capacités variées selon vos choix de leveling. Les aficionados ne seront pas dépaysés, les réfractaires le resteront.
Durant la présentation du jeu, le lead designer Jake Soloman a bien insisté sur le fait que le titre était basé sur des choix du joueurs et ses conséquences. Il s’agit d’un jeu de stratégie avec une vue du dessus et des combats au tour par tour. On décide ainsi de placer le personnage à certains endroits de la carte (couverts ou non) et l’ennemi (des extraterrestres ici) fait de même. Selon la distance parcourue, on pourra effectuer un ou deux déplacements par personnage. Les trois premières missions que nous avons pu faire du mode solo du titre n’ont pas été des plus palpitantes, mais permettent de comprendre les mécaniques de jeu ainsi que toute la partie « gestion ».
Il est en effet possible de gérer ses soldats (les faire progresser, customiser leur apparence et leur armement...) mais aussi de progresser dans la compréhension de l’ennemi grâce aux artéfacts récupérés en mission. On pourra ainsi confier ces derniers à l’équipe de recherche puis à l’équipe d’ingénieurs qui travaillent dans l’arrière base (et non pas pendant les phases de jeu) à la confection de nouveaux matériaux. Pour conclure, l’approche tactique est intéressante, mais il faudra vraiment juger sur le jeu final et voir si tout ça n’est pas un peu ennuyeux.
Licence phare de chez 2K Sports, NBA 2K13 remet le maillot et les baskets pour revenir en pleine forme pour la nouvelle saison 2013 de NBA. Véritable simulation du ballon orange, ce nouveau volet ne déroge pas à la règle avec une immersion encore plus poussée notamment sur les animations des joueurs. Les gestes pour les feintes de corps ou encore les mouvements des bras sont bien plus réalistes alors que nous avions déjà eu de belles choses lors du précédent opus.
Outre les nouveautés de gameplay, 2K Sports nous dévoile l’arrivée de la Dream Team de 1992 avec les légendes du basket réunies dans la même équipe qui vous a probablement fait rêver lors des JO de Barcelone cette même année. Nous avons pu donc voir un match de cette équipe où l’on reconnait sans problème les joueurs avec leurs gestuelles et bien entendu leurs visages. Face à cette Dream Team 92, la Dream Team 2012 qui a été récemment championne olympique 2012. De quoi donner une belle opposition entre deux belles générations.
Enfin, nous avons pu découvrir que ce NBA 2K13 était compatible Kinect pour vous permettre de donner des consignes tactiques, faire des changements ou encore demander un temps mort tout en jouant sa partie. Les démonstrations sont très concluantes et s’avèrent bien pratique lorsqu’on ne veut pas perdre le rythme dans un match acharné.
Pour les fans de basket, il n’y aucun doute sur les qualités de Kinect mais pour les néophytes, il est difficile de savoir si l’achat est indispensable si l’on possède l’un des deux derniers opus…
