Licenciements dans le jeu vidéo : Electronic Arts rejoint la longue liste

«L’année commence déjà mal» le 29 février @ 10:212024-02-29T10:21:33+01:00" - 21 réaction(s)

Vous n’êtes certainement pas sans savoir que l’année 2023 n’a clairement pas été reluisante pour l’industrie du jeu vidéo, notamment en raison de milliers de licenciements. Malheureusement, 2024 suit la même lignée et Electronic Arts s’ajoute à la liste.

Vous retrouvez ci-dessous un récapitulatif de tous les studios ayant été touchés par des licenciements depuis le début de l’année. Nous nous sommes appuyés sur les travaux réalisés par Kotaku pour réaliser cette liste, complétée par d’autres licenciements que nous avons découverts de notre côté. Nous continuerons à mettre à jour la liste dans les mois à venir. Les différents cas de licenciements ont été listés dans l’ordre chronologique, vous trouvez donc les plus récents en bas de l’article. Au 29 février 2024, on dénombre déjà plus de 7000 postes supprimés depuis le début de l’année.

Liste des studios impactés par des licenciements en 2024

Archiact - Nombre de salariés licenciés inconnu

Archiact, un studio spécialisé dans le développement de jeux en réalité virtuelle, a annoncé le 4 janvier avoir licencié un nombre non précisé d’employés.

Unity Software - 1 800 salariés licenciés

Reuters a révélé le 8 janvier que Unity, société derrière le célèbre moteur de jeu, avait licencié une première vague de salariés dans le cadre d’une « réinitialisation » continue de l’entreprise. Au total, il est prévu que 25% des effectifs soient concernés.

Behaviour Interactive - 45 salariés licenciés

Entre le 9 et le 11 janvier, 45 salariés de Behaviour Interactive ont été licenciés d’après les informations de Kotaku, soit environ 3% des effectifs. Seul le studio de Montreal aurait été affecté par la situation et les licenciements auraient commencé en décembre. Behaviour Interactive est notamment connu pour Dead By Deadlight.

Twitch - 500 salariés licenciés

Le 9 janvier, Bloomberg a révélé que Twitch, plateforme de streaming que l’on ne présente plus, s’apprêtait à licencier 500 employés d’ici à la fin du mois, soit environ 35% des effectifs de la société. Dan Clancy, le directeur général de Twitch, a ensuite partagé un communiqué.

Playtika - Entre 300 et 400 salariés licenciés

Le 11 janvier, CTech a révélé que Playtika, un éditeur et développeur de jeux mobiles, prévoit de licencier entre 300 et 400 employés. Cette énorme masse salariale représente 10% des effectifs de l’entreprise.

Discord - 170 salariés licenciés

Le 11 janvier, on apprenait par le biais de The Verge que Discord allait licencier approximativement 17% de ses salariés.

Nesting Games - 68 salariés licenciés

Chrysalide Jeux et Divertissement Inc, alias Nesting Games, une société appartenant à Digital Bros, a licencié 68 salariés le 12 janvier 2024 pour raison économique.

Lost Boys Interactive - 125 salariés licenciés

Le 12 janvier, Jared Pace, un ancien producteur de Lost Boys Interactive, studio de support appartenant à Gearbox, partageait un post sur LinkedIn, révélait ainsi qu’une « partie importante » du studio avait été licenciée. D’après un avis de la Worker Adjustment and Retraining Notification, 125 personnes auraient été touchées.

PTW - 45 salariés licenciés

Connu pour son travail d’assurance qualité aux côtés de développeurs comme Blizzard et Capcom, PTW a également été touché par des licenciements le 11 janvier. Kotaku a en effet révélé que 45 personnes ont été touchées par la situation. Les licenciements concernent principalement des employés de l’assurance qualité qui vivent en dehors des États-Unis, mais d’autres départements ont également perdu des employés.

Funselektor - 3 salariés licenciés

Funselektor, petit studio indépendant derrière le rafraîchissant art of rally, a annoncé sur X le 12 janvier dernier avoir licencié 3 salariés.

Thunderful Group - Environ 100 salariés licenciés

Le 17 janvier, le PDG de Thunderful Group annonçait une « restructuration », provoquant ainsi le licenciement de 20% des effectifs, soit environ 100 personnes.

Netspeak Games - 25 salariés licenciés

Netspeak Games, notamment connu pour Sunshine Days : Build & Explore, un jeu mobile tout mignon, a annoncé le 16 janvier le licenciement de 25 salariés.

Wimo Games - 35 salariés licenciés

Wimo Games, connu pour son travail de développement et d’édition de jeux en réalité virtuelle, a annoncé le 17 janvier avoir fermé ses portes, impactant ainsi 35 salariés. Le studio a été fondé seulement en 2021.

CI Games - Entre 15 et 20 salariés licenciés

Ci Games a également été touché par des licenciements d’après GamesIndustry.biz le 18 janvier, impactant ainsi Hexworks (Lords of the Fallen) et Underdog (Sniper Ghost Warrior).

31st Union - Moins de 10 salariés licenciés

31st Union, un studio détenu par 2K, a confié à Kotaku avoir licencié moins de 10 salariés le 18 janvier.

Ntreev Soft - 70 salariés licenciés

Korea JoongAng Daily a révélé le 18 janvier que 70 salariés de Ntreev Soft ont été licenciés. La maison mère, NCSoft, est connu pour avoir développé Guild Wars ou encore Lineage.

Com2uS - « Un nombre de salariés à deux chiffres » licenciés

Com2uS, un studio de développement sud-coréen de jeux mobile et de jeux multijoueur, a licencié « un nombre de salariés à deux chiffres ». L’information a été rapportée par Korea JoongAng Daily le 18 janvier.

Metaverse World - 70 employés licenciés

Korea’s Yonhap News a révélé le 19 janvier que 70 employés de Metaverse World ont été licenciés. Il s’agit d’une filiale de Netmarble, un groupe sud coréen spécialisé dans le développement de jeux mobiles.

Pixelberry Studios - Nombre de salariés licenciés inconnu

Pixelberry Studios, une société appartenant à Nexon et étant spécialisée dans le développement de jeux mobiles, a annoncé une vague de licenciements le 22 janvier. Le nombre exact de concernés n’a pas été communiqué.

Riot Games - 530 salariés licenciés

Le 22 janvier, Riot Games, à qui l’on doit l’incontournable League of Legends, a annoncé le licenciement de 530 salariés, soit 11% des effectifs de la société.

Riot annonce dans un même temps la fin du programme Riot Forge. Bandle Tale : A League of Legends Story sera donc le dernier jeu de l’initiative qui a permis à de nombreux développeurs de proposer des titres rafraîchissants se déroulant dans l’univers de League of Legends.

One Player Mission - 15 salariés licenciés

Le 23 janvier, One Player Mission, une agence de recrutement dans le jeu vidéo, a annoncé sa fermeture après 26 ans d’activité.

Rovio Canada - 12 salariés licenciés

SEGA a annoncé le licenciement de 12 salariés de chez Rovio Montreal pour raison économique. Ceux-ci quitteront la société au 31 janvier 2024.

People Can Fly - Plus de 30 salariés licenciés

Kotaku a appris le 24 janver que plus de 30 salariés de People Can Fly ont été licenciés. Il s’agit du studio polonais ayant produit Gears of War Judgment, Bulletstorm, ou encore le plus récent Outriders.

Le personnel affecté travaillait sur Project Gemini, un AAA développé en partenariat avec Square Enix. Une vingtaine d’autres personnes ont également été écartées du projet, mais ont heureusement été dispatchées sur d’autres.

Toujours d’après Kotaku, la campagne de Project Gemini devrait être plus courte qu’initialiement prévu, tout comme le bestiaire d’ennemis, dans la mesure où le budget a été réduit. La sortie du jeu était initialement prévue pour 2026, mais on ignore si elle est toujours d’actualité.

Les salariés polonais licenciés auront droit à une période de transition de trois mois et continueront à travailler pendant ce temps, tandis que les travailleurs en dehors de la Pologne quitteront la société d’ici la fin de la semaine.

Black Forest Games - Environ 50 salariés licenciés

Black Forest Games, le studio de développement derrière les remakes de Destroy All Humans ! 1 et 2 a également été frappé par le phénomène. Kotaku a en effet apris qu’environ 50% du personnel a été licencié, sachant qu’en 2023, le studio comptait 110 employés.

Les directeurs créatifs et la plupart, voire la totalité des managers conserveraient leur emploi. De plus amples informations seront communiquées au personnel la semaine prochaine.

Le studio oeuvre aujourd’hui sur une adaptation de Les Tortues Ninja - TMNT : The Last Ronin

Microsoft - 1900 salariés licenciés

Le 25 janvier, Microsoft annoncé le licenciement de 1900 employés, majoritairement dans les rangs d’Activision Blizzard et dans une moindre mesure chez Xbox et ZeniMax. Ainsi, Microsoft se sépare aproximativement de 8,6% de ses effectifs pour « s’aligner sur une stratégie et un plan d’exécution avec une structure de coûts durable qui soutiendra l’ensemble de notre activité en pleine croissance ».

On sait pour le moment que Infinity Ward, Sledgehammer Games, Raven Software, Treyarch, High Moon Studios , Toys for Bob ou encore Blizzard.

Odyssey, le jeu de survie développé par Blizzard a été annulé.

Reikon Games - Environ 60 salariés licenciés

Kotaku a appris que des licenciements ont eu lieu chez Reikon Games le 23 janvier. Le studio a notamment sorti Ruiner en 2017 et a teasé Final Form en 2021. Il s’agit d’un titre provisoire.

La masse licenciée représenterait environ 56% des effectifs.

Little Red Dog Games - 27 salariés licenciés

Little Red Dog Games, un studio de jeux de stratégie indépendant basé à New York, a annoncé avoir fermé ses portes le 22 janvier. Les 27 salariés sont aujourd’hui sans emploi.

Eidos-Montréal - 97 salariés licenciés

Eidos-Montréal, le studio derrière Marvel’s Guardians of the Galaxy ou encore la licence Deus Ex a annoncé le 29 janvier avoir licencié 97 salariés. Dans un même temps, on a appris par le biais de Bloomberg qu’Embracer a fait annuler un nouveau Deus Ex qui était en développement depuis deux ans déjà. Il devait entrer en production cette année.

Chief Rebel - Environ 21 salariés licenciés

Kotaku a appris le 29 janvier qu’environ 21 salariés ont été licenciés de Chief Rebel, un studio indépendant basé en Suède.

Sega of America - 61 salariés licenciés

D’après le bot X qui publie les derniers avis de la WARN (Worker Adjustment and Retraining Notification), 61 employés Sega of America vont être licenciés le 8 mars.

Nimble Giant Entertainment - Environ 30 salariés licenciés

Toujours d’après Kotaku, Nimble Giant Entertainment, un studio basé en Argentine et ayant récemment proposé Star Trek : Infinite, a été frappé par une vague de licenciement d’une trentaine de salariés.

Après avoir été frappé à deux reprises en 2023 par le phénomène, il s’agirait de la troisième et dernière vague pour le studio rachété par Embracer en 2020.

Artificer - 28 salariés licenciés

Kotaku a rapporté qu’environ 28 salariés d’Artificer ont été licenciés le 31 janvier. Le studio a été racheté par Devolver Digital en 2021 et a sorti Showgunners en mai 2023.

L’éditeur a ensuite envoyé une déclaration à Kotaku.

Hier, Devolver et le studio Artificer ont pris la décision difficile de réduire les effectifs d’Artificer de 28 employés, 18 avec effet immédiat et 10 après la sortie de leur projet actuel.

Airship Syndicate - 12 salariés licenciés

Le 31 janvier, Nicole Carpenter de Polygon révélait que 12 personnes avaient été licenciées d’Airship Syndicate. L’information a dans une second temps été confirmée à Kotaku. Le studio fondé en 2014 a notamment développé Ruined King et Wayfinder.

Threaks - 25 salariés licenciés

Le 2 février, des représentants de Threaks ont confirmé la fermeture des portes du studio. Ainsi, 25 salariés ont été licenciés. Le studio a notamment travaillé sur Battle Planet - Judgement Day.

Crop Circle Games - Environ 50 salariés

Rapporté dans un premier temps par GameDeveloper le 5 février, des licenciement ont eu lieu chez Crop Circle Games. Kotaku s’est ensuite entretenu avec une personne au courant de la situation, ce qui a ainsi permis d’apprendre qu’un peu moins de 50 personnes ont été concernées.

Le studio fondé en 2022 par Jeff Strain, un acien d’Undead Labs, n’aurait pas été en mesure de payer les indemnités de licenciement. Le personnel aurait donc été mis à pied.

Threshold Games - 11 salariés licenciés

Un salarié de Threshold Games a annoncé publiquement sur LinkedIn la fermeture des portes pour le 9 février. Ainsi, 11 salariés se sont vus licenciés. Le studio avait prévu d’annoncer son existence le mois prochain.

91Act - Environ 60 salariés

Le 7 février, GameLook a rapporté le licenciement de tous les employés de 91 Act, à l’exception de son PDG et fondateur Jiang Lei. Il s’agit d’un développeur chinois de jeux mobiles, ayant récemment sorti une mise à jour majeure pour BlazBlue Entropy Effect.

Visual Concepts Austin - Environ 9 salariés licenciés

Eurogamer a repéré le 7 janvier des publications LinkedIn qui confirmaient des licenciements chez Visual Concepts Austin. Kotaku a appris qu’environ 9 salariés ont été licenciés. Le studio a notamment travaillé sur WWE 2K23, NBA 2K24 et Lego 2K Drive.

Hidden Path Entertainment - 44 salariés licenciés

Le PDG de Hidden Path Entertainement, Jeff Pobst, a annoncé le 7 février sur LinkedIn que 44 salariés avaient été licenciés du fait que le studio avait été incapable d’obtenir suffisamment de fonds pour un projet RPG non annoncé.

Daybreak Games - Nombre de salariés licenciés inconnu

Connu pour avoir travaillé sur Everquest, H1Z1 et Dungeons & Dragons Online, Daybreak Games a connu une vague de licenciements le 9 février. D’après un employé actuel de Dimensional Ink, son studio à l’origine du MMO de longue date DC Universe Online, plusieurs cadres supérieurs ont été licenciés

Disruptive Games - Nombre de salariés licenciés inconnu

Sean Stahl, directeur du game design chez Disruptive Games, a annoncé sur LinkedIn le 22 février que le studio a fait face à une vague de licenciements. Le studio a notamment travaillé sur Tony Hawk’s Pro Skater 1+2 et Diablo II : Resurrected. On ignore combien d’employés ont été impactés.

ZA/UM - 24 salariés licenciés

Video Games a révélé le 15 février que ZA/UM s’apprêtait à licencier 24 employés, soit 25% des effectifs, notamment à cause de l’annulation d’une extension pour Disco Elysium, qui aurait été pensée comme un standalone et qui se nommerait « X7 ».

Build A Rocket Boy - Nombre de salariés licenciés inconnu

Après avoir levé 110 millions de dollars pour son projet Everywhere, le studio Build a Rocket Boy vient de licencier un nombre indéterminé de salariés.

VentureBeat a en effet pu mettre la main sur un communiqué d’un porte-parole de l’entreprise.

Bien que nous ayons fait de grands progrès dans le développement de nos produits, nous sommes maintenant dans une position où nous devons apporter des changements à la façon dont nous travaillons dans l’ensemble de notre entreprise afin de devenir un studio plus agile et de répondre aux exigences que nos projets requièrent.

our atteindre cet objectif et nous recentrer, nous avons pris la décision extrêmement difficile de proposer la suppression d’un certain nombre de postes à l’échelle mondiale. Ce processus est en cours et nous travaillons avec les personnes concernées en cette période difficile

La société fondé par l’ancien producteur de GTA a récemment dévoilé une vidéo de MindsEye, un jeu épisodique AAA qui sera disponible uniquement via Everywhere.

Supermassive Games - 90 salariés licenciés

Supermassive Games, à qui l’on doit The Quarry et The Dark Pictures Anthology, a fait part sur X le 26 février de son intention de se réorganiser.

Après mûre réflexion et avec un profond regret, nous entreprenons donc une réorganisation de Supermassive Games. En conséquence, nous entrons dans une période de consultation qui, nous l’anticipons, se traduira par la perte de certains de nos collègues.

Cette décision n’a pas été prise à la légère, et de nombreux efforts ont été déployés pour éviter cette issue.

De son côté, Bloomberg a révélé que 90 salariés ont été licenciés. Encore 150 emplois sont en danger.

Le studio travaille aujourd’hui sur Little Nightmares III, The Casting of Frank Stone ainsi que la saison 2 de The Dark Pictures Anthology.

PlayStation - 900 salariés licenciés

Le 27 février, Jim Ryan, le PDG de PlayStation, a annoncé le licenciement de 900 salariés et la fermeture de London Studio (Blood & Truth). Des réductions d’effectif dans le studio Firesprite (Horizon Call of the Mountain) ont également été opérés, mais aussi dans Insomniac Games (Marvel’s Spider-Man), Naughty Dog (The Last of Us), Guerilla (Horizon) et d’autres studios, dans une moindre mesure. Les équipes technologiques, créatives et de support sont également touchées et des jeux ont été annulés

Deck Nine Games - Environ 30 salariés licenciés

Le 27 février, Deck Nine Games a annoncé sur X avoir licencié 20% de ses salariés. Le studio est notamment connu pour avoir travaillé sur The Expanse : A Telltale Series ou encore Life is Strange : True Colors. D’après le site Internet du studio, Deck Nine Games comptait plus de 150 salariés. On peut donc en déduire qu’environ 30 ont été licenciés.

Electronic Arts - 670 salariés licenciés

Le 29 février, Electronic Arts a annoncé le licenciement de 670 salariés, autrement dit 5% des effectifs de la société. Ainsi, le FPS solo par Respawn Entertainement dans l’univers de Star Wars a été annulé. D’après les dernières rumeurs, il s’agissait d’un jeu dans lequel le joueur devait incarner un Mandalorien.

Aussi, cette vague de licenciements a amené à la fermeture de Ridgeline Games, un studio qui travaillait sur une expérience narrative Battlefield. Enfin, on apprend que le développement du prochain Mass Effect continue, mais que Bioware se concentre sur Dragon Age, qui se dévoilera d’ailleurs cette année.

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Puisque le jeu vidéo c’est aussi un monde de gros sous, il est important de savoir quels sont les enjeux financiers qui se cachent derrière nos jeux et consoles préférés.

C’est Picsou qui va être content !

21 reactions

Battosai

24 jan 2024 @ 17:40

Il aurait été judicieux d’apporter également les chiffres du nombre d’embauches ainsi que les postes à pourvoir depuis le 1er janvier afin de pouvoir comparer si effectivement il y a plus de licenciement que d’embauches...

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jyhel

24 jan 2024 @ 17:50

Et je suppose que dans le jeu vidéo c’est assez versatile ? (Si le projet est terminé, on part sur un autre projet, et ainsi d’suite ?) (Et vrai que l’IA va raccourcir les chemins ? (Comme les caissières dans les supermarchés, et/ou les boulangeries ensuite)) :P Ceci-dis ! Prions pour que tout se déroule bien ! (En douceur, et dans la bonne humeur :P ) !

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Barth

24 jan 2024 @ 17:59

Tu vas rester en boucle sur ton ia encore longtemps 🙄

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odollo

24 jan 2024 @ 18:34

un job d’avenir :’-))

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Saitamouss

24 jan 2024 @ 18:48

@Barth c’est un multi compte, chaque mois il récré un nouveau compte. Il ne sait pas utiliser Tinder, du coup il squatte ici

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Benvoyons

24 jan 2024 @ 19:06

D’accord avec Battosai.

L’industrie du jeux vidéo est ainsi faite, ça bosse jusqu’à 60h/semaine, c’est (globalement) mal payé / considéré, mais y aura toujours du boulot. La dernière enquête de la gdc est éloquente et confirme la surchauffe.

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jyhel

24 jan 2024 @ 22:53

Oui, car c’est le sujet 2024 @barth, si tu n’es pas au courant ? Et, moi ? @saitamouss Non, j’n’ai pas de compte, j’me suis juste inscrit, pour commenter ! Après, pas d’soucis, j’me fait discret, et j’me tais (Pas d’problème) ! On aura l’habitude avec ces jeunes :P De pire, en pire !

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jyhel

24 jan 2024 @ 22:56

Sinon ne faut pas faire en sorte qu’on puisse commenter sur les articles (Surtout qu’y a des trucs qui n’veulent rien dire qui passent, et d’autres, quand on parle du sujet, non, on n’peux pas débâtre (On dois juste se taire) (C’est juste c’que j’remarque)) !!

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Saitamouss

25 jan 2024 @ 00:10

@jyhel je suis pas contre le débat, mais contre le fait que tu spamme les commentaires sans argumenter ni étayer et en plus tu inondes avec plusieurs commentaires d’affilés qui ne veulent rien dire

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Yubah

25 jan 2024 @ 01:22

Ces boites ne sont pas françaises et donc ce n’est pas étonnant de voir du turn over, des fins de contrats ou des personnes remerciées car le cdi n’existe pas. Il y a diverses raisons à ces licenciements : activités plus faibles, fin de projet....

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