Annoncé lors de l’E3 2018 pour une sortie initialement prévue le 11 novembre 2022, Starfield s’était vu repoussé au 6 septembre 2023. L’attente du jeu a été longue jusqu’au Starfield Direct de juin dernier où des vidéos de gameplay ont été présentées. On y découvrait notamment plusieurs détails, comme les fameuses mille planètes à découvrir et le blocage à 30 FPS. Un peu plus tard, l’information de l’existence d’une version PS5 tuée dans l’œuf par le rachat de Bethesda était lâchée, rien que ça ! Pour rappel, Starfield est la première vraie nouvelle licence du studio de Rockville depuis maintenant vingt-cinq ans et les attentes sont de taille. Le jeu a fait couler beaucoup d’encre et croyez-nous, ce n’est pas fini, loin de là !
Un univers aux multiples histoires
Starfield plonge le joueur dans un tout nouvel univers de science-fiction qui se déroule dans un futur hypothétique de notre réalité. Le système galactique qui sert de décor à cette aventure est donc plus ou moins connu et réaliste, puisque c’est tout simplement le nôtre.
L’histoire commence lorsque notre personnage, alors employé minier sur une planète éloignée, découvre un curieux artefact au fin fond d’une grotte. Cet objet au pouvoir mystérieux se réveille à notre contact et essaye de toute évidence de communiquer avec nous. De fil en aiguille, nous faisons la connaissance de Constellation, un groupe d’individus qui cherche à rassembler ces mystérieux objets afin de les analyser pour peut-être percer les mystères de l’univers. Nous intégrons alors ce groupe d’explorateurs de l’espace et l’aventure commence, enfin !
Cette introduction du jeu est le seul élément narratif qui sera présent dans le test. Pour des raisons évidentes, aucun autre détail de l’histoire ne sera dévoilé afin de ne pas gâcher la découverte de l’intrigue de Starfield.
Notre plongée dans cette épopée spatiale d’envergure est aussi agréable que de glisser nos pieds dans des chaussons, on se sent chez soi. Très clairement, la « patte Bethesda » se ressent dès les premiers instants. Grâce au savoir-faire du studio, nous sommes étrangement en terrain connu dans un univers qui ne nous est pourtant pas familier. Le jeu nous prend doucement par la main et présente ses différentes mécaniques, ainsi que ce qui le caractérise tant, l’exploration spatiale. L’accompagnement et l’assimilation des menus, des quêtes et du déroulement du jeu dans son ensemble, se font assez progressivement et efficacement. Cela permet de ne pas être noyé d’informations et d’éviter de ne plus savoir où donner de la tête.
En revanche, le design de l’interface bouscule un peu nos habitudes. Le premier contact avec celle-ci pourra, en effet, dérouter les joueurs assidus des productions de Bethesda, puisque la ligne horizontale qui faisait précédemment office de boussole et la mini-carte sont tout bonnement absents. L’accès aux différents menus nécessite d’alterner entre simple pression ou pression longue pour accéder à des raccourcis et effectuer certaines actions. Il faudra prendre le temps nécessaire pour assimiler ces nouvelles commandes, tant les options sont riches et nombreuses.
Starfield est un jeu qui a beaucoup d’histoires à nous faire vivre. Il nous a fallu pas moins de soixante-dix heures pour terminer notre premier run, dont plus d’un tiers concernait la quête principale. Celle-ci est particulièrement riche et permet de découvrir pas à pas l’univers qui nous entoure. Le scénario est captivant et propose de nombreux rebondissements, tandis que les personnages secondaires, auxquels on peut facilement s’attacher, ont tous une histoire travaillée en profondeur et disposent d’intrigues qui leur sont propres. Leurs interactions avec notre avatar et notre environnement n’est absolument pas secondaire, et font partie intégrante de l’aventure que l’on vit ensemble. Ce qui est par ailleurs surprenant et même bluffant, c’est la manière dont tous les PNJ échangent avec nous. Si habituellement cet aspect n’est pas forcément quelque chose sur lequel on s’attarde, ici il nous a vraiment interpellé, et de façon très positive.
Le travail d’écriture est assez exceptionnel car toutes les conversations sont bien amenées au point que même un simple bonjour peut être grandiose. Cette qualité est d’ailleurs sublimée par le jeu d’acteur des doubleurs. C’est incroyable d’observer comment l’interaction avec les PNJ dans leur ensemble renforce l’immersion du joueur dans l’univers, son implication dans les quêtes et les enjeux proposés et, plus généralement, son attachement avec le titre.
Contrairement à d’autres jeux, il ne nous est jamais arrivé de trouver un doublage ou une expression étrange vis-à-vis d’une situation. L’interprétation des personnages se fait avec une remarquable justesse, même si la synchronisation labiale n’est malheureusement appliquée que lorsque le jeu est doublé en anglais. Lorsque l’on passe en français, la voix est décalée par rapport à la gestuelle du personnage et à ses animations faciales, ce qui ternit quelque peu les nombreux dialogues du jeu. Vraiment dommage !
En parallèle du scénario principal, Starfield propose toute une brochette de tâches secondaires. Entre les quêtes de factions, les missions sur le tableau d’affichage proposées par chacune d’entre elles et qui nous permettent de gagner quelques crédits, les quêtes annexes classiques (que l’on appelle ici « activités »), les primes à chasser dans l’espace ou à la surface des planètes, le transport de matériel ou l’exploration exhaustive des corps célestes, il y a vraiment de quoi faire et le constat est le même : c’est bluffant. Et à plusieurs reprises, c’est le terme qui vient en premier lieu à l’esprit. La majeure partie des histoires qui sont données à jouer sont bien écrites, captivantes et intrigantes. La frontière entre quête principale et quête secondaire est parfois à peine perceptible tant la présentation des enjeux et l’écriture sont de qualité.
Qu’il s’agisse de rejoindre la faction de l’Union Coloniale (sorte de police galactique) et d’accepter une mission de routine qui se termine sur un complot interplanétaire ou bien de se charger d’une livraison de ressources en bordure du système connu et tomber par hasard sur un vaisseau colonial vieux de 400 ans à la dérive, presque tout est surprenant et offre la possibilité de vivre une aventure épique. En combinant le travail de doublage et d’écriture, Starfield offre une qualité finale rarement atteinte qui a su retenir et attiser notre attention tout au long de l’aventure.
De nombreuses décisions sont à prendre et peuvent impacter les relations avec les compagnons et les différentes factions. Parfois lourdes de conséquences, nous avons tout de même difficilement constaté l’influence qu’elles pouvaient avoir sur la fin du jeu. Les répercussions directes des choix à réaliser sont forcément visibles sur la quête principale et les objectifs secondaires, mais leur impact sur le long terme nous a paru très anecdotique, même après avoir terminé le jeu deux fois.
Sans rien divulguer, sachez qu’une fois le générique de fin atteint, un mode New Game Plus est disponible et permet d’aller encore plus loin dans la richesse de l’univers de Starfield.
L’exploration par les quêtes
L’aventure dans Starfield se vit donc principalement au travers des nombreuses quêtes disponibles, mais l’exploration libre a également son rôle à jouer. Les mille planètes sont bien là pour quelque chose, non ? Non ?
- Une planete au fond de la galaxie - screen PC
Comme expliqué plus haut, Starfield est un jeu de science-fiction « réaliste » et ne propose donc pas de mondes très fantaisistes à la Pandora d’Avatar ou bien comparables à ceux de The Outer Worlds, très dépaysants. Un arbre reste un arbre, tel qu’on peut le connaître sur Terre. Il y a bien évidemment quelques échantillons de flore excentrique, mais dans la globalité, la direction artistique se veut très réaliste.
Cela se retrouve également dans la faune. Si celle-ci est davantage diversifiée et qu’il est aussi possible de rencontrer des similitudes d’une planète à l’autre, de belles surprises peuvent toutefois arriver, avec des monstruosités bien pensées.
Par conséquent, un schéma se dessine doucement… Les mille planètes sont surtout là pour donner du volume à cet univers, permettre de dispatcher les quêtes sur différents astres et sectoriser les différentes factions qui peuplent la galaxie. Donc oui, il y a beaucoup de planètes mortes et de gros rochers vides avec parfois l’apparition d’une foreuse, d’une mine ou bien d’un complexe. Malgré certains effets d’annonce, l’intérêt de Starfield n’est pas centré sur l’exploration des astres et n’imaginez pas avoir entre les mains un No man’s Sky car ce sera une douche froide. Même s’il est plaisant (une fois ou deux) de parcourir une planète, peu importe son biome, et de scanner l’ensemble des éléments qui la compose (cinq flores, trois faunes et huit minéraux indigènes), ce n’est clairement pas l’expérience la plus palpitante que propose le jeu.
En revanche, tous ces systèmes comportent des éléments à découvrir et il y a toujours quelque chose à y faire. L’exploration est récompensée, que ce soit en fouillant une grotte pour y trouver une cache de pirates ou des métaux rares, en tombant sur une épave de vaisseau ou encore en visitant un complexe abandonné ou aux mains de hors-la-loi.
Malheureusement, c’est un peu la même chose pour l’exploration spatiale. Notre vaisseau est surtout un moyen de transport et de défense. N’imaginez pas avoir entre les mains un Elite Dangerous où l’on peut piloter un vaisseau pirate ou bien un cargo d’exploration ou de minage, sinon là aussi, ce sera la douche froide. Notre moyen de transport permet cependant de faire quand même de belles rencontres parfois. Citons par exemple une station spatiale abandonnée (évidemment infestée d’aliens), des bandits de l’espace sortis de nulle part et bien d’autres événements encore que l’on peut s’attarder à compléter selon les envies du moment.
Le côté exploration est d’autant plus « restreint » que le voyage rapide est extrêmement permissif. La téléportation d’un point A à un point B en « deux boutons trois mouvements » est monnaie courante. Il est en effet possible de sélectionner notre prochaine mission ou une quelconque planète depuis n’importe où dans l’univers, et de simplement cliquer sur "s’y rendre”. Une fois un lieu découvert, la téléportation y est possible, tout simplement…
Mais inutile de crier tout de suite au scandale, la richesse de l’expérience de Starfield se trouve ailleurs. Les bâtiments et les lieux que les quêtes nous proposent de visiter sont nombreux et intéressants à explorer. Une ville peut regorger d’éléments à visiter, d’autant que l’ATH très minimaliste ne pointe pas sur les marchands, personnages de factions et quêtes à activer. C’est à nous de parcourir et observer l’environnement dans lequel le jeu nous fait voyager.
Lorsqu’une quête nous emmène dans un complexe à fouiller de fond en comble, différents chemins peuvent parfois exister pour atteindre l’objectif (coucou Arkane Studios et Dishonored). Un conduit de ventilation, une porte dont on peut découper les gonds au laser plasma, un ordinateur à pirater pour ouvrir une nouvelle voie ou bien une chute sur une caisse remplie d’équipements, sont autant de possibilités qui récompensent occasionnellement la curiosité.
Étonnamment, pour un open world, c’est en suivant les suggestions de direction du jeu que les meilleures aventures peuvent arriver. Ainsi, Starfield propose bien de l’exploration, mais surtout via ses multiples quêtes qui font voyager jusqu’aux bordures des systèmes connus.
Finalement, les planètes de Starfield ne sont surtout que des mondes placés pour faire voyager le joueur aux quatre coins de l’espace et offrir différents terrains de jeu pour donner vie aux quêtes et créer des bases. Un temps de chargement est obligatoire pour y arriver depuis l’espace, et il n’est pas possible de survoler leur surface en vaisseau. De quoi rappeler que Starfield n’est pas un jeu d’exploration, mais plutôt un RPG classique comme Bethesda a l’habitude d’en faire.
Tout le savoir-faire de Bethesda en un jeu
Le gameplay de Starfield est assez classique. Il s’agit d’un FPS dans lequel on peut basculer en mode TPS ou vue à l’épaule d’une simple pression sur une touche de la manette. Il est préférable de privilégier la vue FPS dans les environnements fermés afin de ne pas subir de soucis de caméra avec le décor. D’ailleurs, lorsque la vue TPS est activée et qu’un élément du décor s’impose trop près du champ de vision, celle-ci passe automatiquement en vue subjective afin d’éviter toute complication.
Alors que les vidéos de gameplay pouvaient laisser des craintes concernant la nervosité des affrontements et des combats un peu poussifs avec peu de sensations de tirs, il n’en est rien. Manette en main, s’approprier les contrôles est un jeu d’enfant. Basculer rapidement entre les vues FPS et TPS deviendra rapidement indispensable pour profiter des différents environnements tels que les grottes, vaisseaux et bâtiments étroits.
Les sensations des affrontements sont très bonnes pour le style de jeu. Des mises en situation spécifiques sont d’ailleurs de la partie, en prenant d’assaut des vaisseaux spatiaux ou des bâtiments sur terre. En fonction des compétences déverrouillées, différentes approches voient le jour et proposent un gameplay qui se bonifie avec le temps.
Sans être exceptionnelle, l’intelligence artificielle arrive à tirer son épingle du jeu. Il nous arrive d’être surpris de son efficacité lorsqu’elle essaye de nous détrousser en nous contournant ou bien de se retrancher un peu plus loin lorsqu’elle est en situation compliquée. En mode de difficulté normale, elle est classique, parfois un peu perdue en fonction de ce qui se passe, mais rien n’est innovant ni alarmant.
Starfield propose un système de compétences bien différent de Skyrim, où chaque action rapporte de l’expérience dans une catégorie donnée. Ici, il faut déverrouiller chaque compétence répartie parmi cinq familles, puis l’utiliser. Par exemple, le jetpack n’est pas disponible au début et il faut acquérir son utilisation puis passer des défis pour augmenter ses paliers. De même, une compétence de combat permettra de faire plus de dégâts avec des fusils ou des armes laser et il faudra alors faire un nombre de frags donné avec le type d’arme en question pour accéder à l’amélioration. Celle-ci pourra alors être débloquée en utilisant un autre point de compétence gagné en montant de niveau.
Les compétences influencent concrètement le gameplay. Outre l’accès au jetpack, tous les éléments classiques de l’action et de l’amélioration des capacités du personnage sont concernés, tels que la furtivité, le piratage ou encore la conception de mods d’arme et d’armure. La même mécanique est déclinée pour la gestion des vaisseaux spatiaux où des compétences permettent de faire plus de dégâts ou encore de manœuvrer plus facilement.
Cela se traduit donc par une très bonne sensation de montée en puissance de l’expérience, ouvrant alors de nouvelles opportunités lors de l’exploration d’un bâtiment sur terre (comme décrit un peu plus tôt) ou bien lors d’un combat spatial quand une compétence permet de cibler les équipements particuliers d’un vaisseau ennemi. Si l’on détruit ses moteurs, il devient alors possible de l’aborder, d’en prendre le contrôle pour l’intégrer dans notre flotte ou même de le revendre.
Starfield propose une multitude d’équipements, parmi les armes classiques : fusil, pistolet, fusil à pompe et sniper. Malheureusement, très peu d’armes alien ou extravagantes complètent l’arsenal. Celles-ci sont d’ailleurs exclusivement des armes à énergie. Il y a en revanche de quoi faire et énormément d’objets différents à trouver. Le loot est réparti via un code couleur maintenant bien connu, de blanc pour les plus communes à jaune pour les plus exceptionnelles. Les armes et pièces d’équipement les plus rares peuvent offrir de jolis bonus tels qu’une réduction de dégât accrue, un rechargement amélioré ou même un bonus d’éloquence ! Il faut néanmoins bien faire attention à ne pas céder à la générosité du titre et à ramasser tout ce qui peut l’être, car comme d’habitude dans les jeux Bethesda, l’inventaire, à la taille tout de même conséquente, se remplit très vite. Heureusement qu’un compagnon peut partir à l’aventure avec nous et nous servir de mule.
Toutes les armes et armures peuvent être améliorées à l’aide d’établis. De manière assez classique, il faut au préalable faire une recherche dans les différentes catégories de bonus disponibles, puis avoir les ressources nécessaires pour créer l’amélioration. Bien évidemment, il est nécessaire d’avoir préalablement acquis la compétence dans ce domaine pour utiliser toutes ces mécaniques.
Idem pour les vaisseaux qu’il est possible de créer de A à Z via un éditeur très facile à prendre en main. Comme pour le reste, une compétence pour manipuler des pièces avancées sera nécessaire pour accéder à cette option.
Enfin, Starfield permet également la construction d’avant-postes. Tout comme dans Fallout 4, il est possible de créer plusieurs bases sur différents astres et d’y affecter des compagnons. Ces constructions permettent en premier lieu de créer « sa maison » (avec la possibilité d’en acheter parmi plusieurs modèles prédéfinis dans les villes) et de la personnaliser comme on le souhaite. En fonction des planètes et des veines de minéraux qui s’y trouvent, nos bases offrent l’option d’extraire les pierres précieuses accessibles. Le stockage de ces ressources, nécessaires à la construction de certains mods, peut ensuite être centralisé afin de pouvoir y accéder depuis n’importe quel avant-poste.
Le jeu le moins buggé de Bethesda ?
Todd Howard avait annoncé que Starfield serait le jeu Bethesda le moins buggé, c’est chose promise. Durant nos trente premières heures de jeu, effectivement aucun bug n’a été constaté, mais le bug n’est jamais loin, oh non !
Étrangement, c’est une fois passé un certain cap dans le jeu que ces derniers ont commencé à affluer. Chargement infini et textures qui disparaissent font partie du lot et malheureusement, ils arrivent trop souvent pour être anecdotiques. Parmi les curiosités rencontrées, on peut citer des personnes sans cheveux ou sans visage, où seuls les yeux et la bouche flottent dans le vide. Il peut aussi s’agir de disparitions d’échelles ou d’armes, quand ce n’est pas la totalité du décor qui se fait la malle sous nos yeux médusés… Une mise à jour sortie depuis l’écriture de ce test devrait toutefois corriger la majeure partie de ces couacs graphiques.
Quant à la stabilité, aucun crash n’a été constaté et les chutes de framerate sont très rares. Le jeu est bloqué en 30 FPS, ce qui est un peu déroutant au début, même si l’œil s’habitue très vite. On aurait toutefois apprécié atteindre les 60 FPS sur « la plus puissante des consoles ».
Concernant la direction artistique, Starfield n’est pas surprenant, il suit un fil conducteur très classique, ne propose rien d’exubérant et reste dans sa zone de confort, à savoir quelque chose de « réaliste ». La qualité visuelle du titre est plus que correcte, même si ce n’est pas une claque graphique. Les textures des PNJ et plus précisément les vêtements sont très détaillés. Les décors intérieurs, riches d’une multitude d’objets en tous genres, de textures travaillées et sans aliasing, sont certainement le domaine où brille le plus Starfield. A contrario, les environnements extérieurs sont moins détaillés et la flore détonne un peu avec le reste de la qualité générale du jeu.
Côté bande-son, les thèmes principaux sont très légers et collent parfaitement aux différents moments de l’aventure. Cette légèreté sait laisser la place à des airs plus rythmés lorsque l’action prend la relève, mais arrive aussi à s’estomper pour nous laisser savourer les panoramas ou autres instants « magiques » que propose Starfield. Mention spéciale à l’ensemble des bruitages ambiants, qui renforcent l’immersion dans cette expérience singulière.
Testé sur Xbox Series X