Rocket League fête ses 40 millions de joueurs en ligne

«50 millions avant la fin d’année ?» le 3 janvier 2018 @ 08:172018-01-03T14:45:14+01:00" - 3 réaction(s)

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Psyonix semble avoir fêté la nouvelle année un peu plus que d’habitude puisque le studio a annoncé avoir atteint un nouveau niveau de record avec son jeu Rocket League.

40 millions : c’est le nombre de joueurs en ligne qui ont été comptabilisés sur le jeu et on sait qu’il y a quelques mordus de ce jeu dans les membres Xboxygen. La célébrité du jeu ne semble pas faiblir puisque le jeu comptait quelque 30 millions de joueurs en avril dernier. A ce rythme là, on devrait atteindre les 50 millions dans l’année.

Rocket League

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Rocket League

PEGI 0

Genre : Party Games

Éditeur : Epic

Développeur : Psyonix

Date de sortie : 17/02/2016

Prévu sur :

Xbox Series X/S, Xbox One, PlayStation 5, PlayStation 4, PC Windows, Nintendo Switch

3 reactions

Face de Crepe

03 jan 2018 @ 13:07

Et du coup, on en profite pas pour lâcher une date en ce qui concerne le patch d’optimisation Xbox One X ? Mais c’est pour quand décidemment !? Je veux voir ce que donne le 60fps !

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bastoune

03 jan 2018 @ 15:18

Pourquoi j’aime Rocket League ?

C’est quoi Rocket League ? Me demande ce personnage non joueur... Rocket League petit... c’est la vie...

Basiquement RL c’est un jeu de balle, et comme tous les jeux de balles, son but est de mettre la balle dans l’embut adverse tout en évitant qu’elle ne rentre dans le sien... Basique... Simple...

Depuis une éternité ce principe défoule les passions, il a fait ces preuves partout dans le monde, décliné à l’infini, balle ronde, ovale, orange, blanche, à damier, petite, grande, à la main, au pied, de la tête, avec une raquette, un bâton, au sol, sur la glace, dans l’eau...

Chez Psyonix ils ont décidé d’y mettre des petites voitures radiocommandées... et je ne les en remercierai jamais assez...

On résume : Rocket League c’est un jeu de ballon avec des voitures...

Et ? Bah c’est tout... Le jeu est assez intelligent pour se passer de règles... y’en a q’une seule : celui qui marque le plus de but en cinq minutes (ou but en or) gagne la rencontre... point... pas de hors jeu, de touche, de sortie de but, de faute, de penalty, de coup franc, de marché, dégagement non autorisé... tout ce que tu peux faire dans le jeu est autorisé... pas de sanction, pas d’arrêt de jeu.

Mais alors il est où le plaisir ? Dans le gameplay mon petit. J’ai pour habitude de dire que le plus important dans un JV, avant son histoire, ses graphismes, son scénario, ses cinématiques, c’est le gameplay.. ; et là on tient la crème de la crème, le Graal ! La courbe de progression est hallucinante !

On débute à plat, on avance, on recule, on tourne à gauche et à droite. Et avec ça on fonce dans la balle et on essaye de la mettre dans le petit rectangle pour que ça fasse BOUM. Et on s’éclate. Et puis on est des gamers, donc on connait depuis longtemps les petites boules magiques qui filent de la nitro, alors Prrrrrrr à fond à fond à fond !! Et on découvre le saut, avant, arrière, cotés... puis le double saut qui permet de prendre de la vitesse, puis on monte un peu sur les murs... et on s’éclate encore...

Et puis un jour, sur le terrain d’entrainement, on se fait un petit match entre pote, en face y’a une team, ça bouge pas mal, on sent qu’il y a un peu de boulot, nous on est en confiance, tu penses, le match précédent j’ai marqué un retourné ! et puis sur un dégagement, une balle qui monte vers le plafond... un ange traverse mon champs de vision, tout en prenant la balle... on vient de prendre un but mais pour l’instant plus rien ne compte, je viens d’avoir une vision, de découvrir la troisième dimension... je tremble... Je passe le reste du match la tête en haut, à les regarder décoller, planer... et je me rend compte que si je veux pouvoir continuer à jouer, il va bientôt falloir que moi aussi, j’aille tutoyer les oiseaux, que j’aille contester l’espace aérien du terrain de jeu...

Alors on passe à l’entrainement, et on entre de plein pied dans une nouvelle expérience, une nouvelle perspective. Le gameplay de Rocket n’a pas de limite, la courbe de progression est fantastique et vertigineuse. Il faut tout apprendre, tout découvrir, expérimenter, oser. Le jeu te pousse a sortir des cadres et te récompense. Quand tu passes ton premier Aérial, ton premier Wall Shot, ton premier dribble « maitrisé », ton premier Freestyle, chaque compétence représente des heures de boulots, vraiment. L’autre pan du jeu, celui qui fait de toi un bon joueur, c’est le teamplay, toutes les stratégies, pour défendre ou attaquer, l’art ultime du positionnement, le soutient, les passes, les centres, les combinaisons... expérience... encore et encore... mais c’est tellement jouissif, tellement grisant...

Et c’est un E-sport, un vrai, un des plus exigeant. Avec ses champions, ses stars. Allez donc jetez un œil avide aux réalisations des Kronovi, Kuxir, Squishy, Kaydop, OverZero, ScrubZilla, Deevo, Bluey..., allez y, regardez des matchs entre les Gale Force, les G2, Cloud9, Flipside Tactics, Method... puis lancer une partie de Rocket. Vous vous rendrez alors compte du fossé hallucinant, en terme de technique, d’intensité, de présence, on a l’impression qu’ils sont dix sur le terrain tellement ils sont partout... ça rend humble, et ça donne envie de se remettre au boulot...

J’aime Rocket parce que rien n’y est inaccessible, il pousse à croire en soit, à aller plus loin, il te prouve que tu es capable de faire des choses impensables. Comme ça au premier abbord vous vous dites que je suis fou, peut être un peu, il n’empêche que ce jeu agit sur moi, il me rend meilleur... Voilà pourquoi j’aime Rocket League... sa philosophie, son propos... Rocket League, c’est la vie

topperlardz

09 jan 2018 @ 16:36

Merci Bastoune pour cette lettre d’amour.... tu m’as donné envie d’y rejouer et depuis on ne se quitte plus #chabadabada