Pas évident de montrer Elite Dangerous dans le cadre d’un salon comme l’E3 tant le jeu est complexe et ne mise pas spécialement sur le spectaculaire.
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Pour les plus anciens, pas besoin de longues présentations, la seule mention du nom « Elite » rappelle de nombreux souvenir émus d’heures passées devant l’Atari ST.
Ce Elite Dangerous en est une suite directe, déjà disponible sur PC et bénéficiant de retours dithyrambiques des joueurs (une note de 9/10 sur Steam, ce n’est pas très fréquent).
On est en plein Space-Opera, et si les phases de shoot sont bien là, en particulier en players vs players, celles-ci ne sont pas les plus intenses jamais montrées. Le cœur du jeu se situe plutôt dans l’exploration d’une galaxie entière, à la recherche de ressources pour devenir un as du commerce. Ainsi on cherchera les planètes qui ne sont pas encore explorées pour les exploiter au maximum, et revendre ses trouvailles à l’autre bout de l’univers en empochant de substantiels bénéfices au passage.
Le concept même s’appuie sur des interactions poussées entre les joueurs qui peuvent virtuellement faire ce qu’ils veulent, de la piraterie à des objectifs de croissances capitalistes, en passant par des alliances éventuelles. Pour les joueurs qui veulent tranquillement gérer leurs possessions, il y a même un mode Silent Running permettant de rester tranquille et de passer sous le radar d’éventuels prédateurs.
Dans le cadre du programme Xbox Previews, c’est avant tout un feedback sur le PvP que recherchent les développeurs, et d’après eux, ils ont en déjà reçu beaucoup alors que le jeu a été mis en ligne il y a très peu de temps.
