En voila un FPS original qui va plaire aux plus âgés d’entre nous, il nous vient d’Australie, par le studio Samurai Punk. Alors Screencheat qu’est-ce-que c’est ? Avec un peu de logique et un anglais correct, vous savez déjà. Ce jeu porte en fait le nom d’un syndrome qui avait le don de transformer une partie multijoueurs de Goldeneye en véritable pugilat (ou rigolade, c’est selon vos amis). Faire un screencheat, c’est regarder l’écran de vos adversaires pour connaitre leur position exact sur la carte, et savoir quelle arme ils ont. Tout le monde râlait, mais avouons-le, tout le monde utilisait cette technique.
Dans Screencheat, vous aurez donc tout les écrans de vos adversaires affichés sur le votre, et avec leur score. Ce qui donnera surement lieu a des alliances de fortunes et des stratégies bien fourbes pour empêcher le leader de la partie de prendre davantage de points. Rajoutez à cela des cartes avec des portions colorées pour faciliter la traque et des armes délirantes (des frags avec une piñata ça vous branche ?).
Le multijoueur pourra accueillir au maximum 4 joueurs en local ou online, avec un total de 8 cartes, 9 armes et 8 modes de jeu qui seront au programme, du traditionnel Deathmatch au plus original où chaque joueur ne disposera que d’un seul tir, et qu’il ne pourra tirer à nouveau que lorsque tout les autres auront utiliser ce premier tir (c’est pas évident à expliquer).
Screencheat est prévu pour sortir sur Xbox One dans le courant de l’année.